trouble panique qui m'empeche de vivre
merci de me repondre et de m'avoir lu
j'ai trop besoin de parler en ce moment j'ai envie de sortir de cette merde
Bonjour!
je te suggère vraiment d'écouter ton corps et d'y aller étape par étape.. ne t'en veut pas et laisse le temps replacer les choses. Et surtout, réfléchit tranquillement sur ta vie. Qu-es ce que tu pourrais mofifier à ton environnement, à ta manière de voir les choses, à tes activités pour que tu reparte sur des bases stables?
Bonne chance
Bonjour Nopanic
Et bien ,moi aussi j'ai fait la dernière année au moins 5 grosses crises de panique d'ont 3 auquel je me suis ramasser aux urgences croyait sincèrement que j'allais mourir d'un infractus.
Une au volant de ma voiture en revenant de faire des courses
Une en prenant une marche à moins d'un Km de chez moi
et une aussi,comme ca chez moi,en regardant la télévision
Donc comme tu lis,3 dans des contextes forts différents
Moi ce qui me causait mes crises,c'est L,angoisse,le peur de tout,voir la peur d'avoir peur,ce malaise qui viens de l''intérieur de nous,de nos trippes, et qui nous fais perdre notre controle.
Et en plus,la paranoia s'installe et J'avais peur de faire queck chose,de sortir de chez moi,j'étais en prison.
Alors un jour je me suis carrément facher,et je suis sortis prendre une marche,et je me suis dis,tant qu'à mourir dans ma prison doré aussi bien mourir dans queck chose que je j'aime.
Ce geste m'as beaucoup aider et ensuite J,ai fait des recherche sur les CAUSES de mes paniques.Faut que ca viens queck part,dans mon enfance,de mes phobies,d'un point de départ.
Et J,ai aussi trouver qu'une crise crise de panique est moins exigeant sur notre système qu'un orgasme,la seule différence qu'un est de L'énergie positive et L'autre de L'énergie négative.
et que la pire chose qui peux nous arriver c'est de perdre connaissance et apres la crise,revenir à la normale.
j'ai aussi découvert des trucs comme apprendre à respirer quand on sends venir un début de crise et qu'aussi il as que 2 facons de réagir à une crise, c'est soit de l'affronter où de fuir.
tout ce que je te dis,c'est pas facile du tout,c'est un entrainement,un combat de chaque jour.
Aussi il as la médication ,consulter,qui vas aider mais règle pas tout,faut revenir au point de départ,soit trouver d'ou viens ses crises,soit le pourquoi du pourquoi.
Soit pourquoi moi,pourquoi toi et non les autres....
Si tu veux en parler,je suis sur internet.fais moi signe
Bonne chance,bon courage et surtout,surtout,ne désespère pas
Tohi
Bonjour, c'est encore moi. Je sais à quel point c'est important pour toi d'être conseillée, mais il faut absolument que tu saches faire un tri dans ce que les gens te diront. Pour ce qui est de sortir seule, ce que j'ai fait au départ' c'est de me procurer un cellulaire, et de faire quelques pas sur la rue où habitent mes parents. Mon père était à la maison, et me regardait de la fenêtre, et on se parlait au téléphone. Jour après jour, je pouvais aller plus loin. Ça aura été une de mes première victoire. Ensuite, mes parents ont eu la bbrillante idée de me procurer une voiture, que j'ai encore. C'est toute une autonomie. Ça peut faire la différence. Le bus pour moi, c'est terminé. J'ai mis ça de côté, amis je ne vois plus cela comme un échec. Ça n'est pas tout le monde qui prend le bus ! Je fais partie de ceux qui ne le prennent pas. C'est tout. Mais j'avoue que l'idée du cellulaire est géniale. Je marcahis seule, mais accompagnée de la voix de mon père. Et je savais qu'il pouvait me voir.
Un autre truc que j'ai développé : ça a lair nul, mais ça fonctionne... À la longue, c'est dur pour le moral... Alors je souris. Je force ce sourire, et ça va mieux quelques minutes après. J'ai appris que lorsqu'on sourit, le corps fabrique des trucs d'humeur qui se rendent au cerveau. C'est une réaction chimique. Pourquoi ne pas en profiter ? Notre corps est bien fait ! ;-)
Bonjour à toi. Premièrement, bravo. Le fait de parler de ce qui t'arrive est déjà un très bon départ, crois moi. J'ai vécu exactement la même situation que toi. Je suis une femme de 27 ans, qui habite Montréal. J'ai commencé à vivre les symptômes vers 17 ans, mais avec le recul, je constate que j'étais malheureuse avant cela, et que l'opinion des autres à mon sujet m'importait beaucoup dès ma trendre enfance. Pour moi, il est évident que mes troubles de panique sont dûs à cette piètre estime de moi que j'avais, et à ce que je pensais que les autres s'imaginaient de moi. Donc, les paniques se sont déroulées dans des lieux et rencontres sociales. J'ai dû moi aussi arrêter d'aller à l'école, et me réfugier chez mes parents. J'ai pris des anti-dépresseurs durant des années (j'en prends même encore aujourd'hui une dose minime). D'après ce que j'ai compris de mon cas, il s'agit d'un volcan qui veille depuis très longtemps, et qui explose un jour sous forme de panique. Il faut trouver la source, la cause, et l'enrailer. Moi, il s'agissait de phobie sociale : la peur de ce que pensent les autres à mon sujet. Je ne pouvais même plus aller au cinéma, et prendre un café. Mias ça passe, à force d'efforts. Le pire là-dedans, c'Est la frustration que ça nous soit arrivé à nous. Je n'avais rien fait pour mériter cela. Ça m'a pris des années à accepter mon sort, mais finalement, je vis aujourd'hui en appartement avec mon copain qui est merveilleux, et je ne fias plus aucune crise. Je recommence l'école dans moins d'un mois, après plus de 9 ans d'absence sur les bancs d'école. Durant cette période, j'ai bien eu quelques emplois, mais qui se sont tous soldés par des échecs, vu ma peur des autres, et de leur jugement. Aujourd'hui, je suis plus craintive face aux autres, et je m'attache beaucoup moins vite qu'avant. Il ne me reste plus beaucuop d'amis du temps où tout cela à commencé. Soit ils sont partis car je n'étais plus «vivante» (je ne faisais plus aucune activité en groupe), soit je les ai laissés derrière, car on se rend compte en ces temps durs qui sont nos vrais amis. Mes parents on été des perles. Sans eux, j'aurais eu beaucuop plus de difficulté. Je comprends les gens qui te disent de partir de chez eux. C,est pour ton bien qu'ils le font. Mais je sais que tu ne peux probablement pas. Il y a un temps pour chaque chose. Tu dois digérer ce qu'il t'arrive avant de passer à une autre étape. Il ne faut pas être trop sévère envers toi-même, car il y en a des échecs quand on s'attaque à ce problème. Il ne part pas facilement, il faut faire de gros efforts, mais crois moi, on en ressort gagnants. Un jour, si tu relis ce message lorsque ta vie aura repris un cours agréable, tu comprendras de quoi je parlais. Mais d'ici là, il ne faut pas se le cacher. La route est semée d'embûches. Surtout, entoure-toi de bonnes personnes, et parle. Puis, vas suivre une thérapie (peu importe laquelle, car il y en a une bonne pour toi, et c'est différent pour chaque personne). Mais garde ton libre-arbitre. Ce n'est pas parce qu'un professionnel te suggère quelque chose que c'est bon pour toi. Il faut que tu reste allumée tout le tmeps. Ne mets pas ton sort entre les amins de quelqu'un d'autre. Tu dois régir toi-même les choix qui te seront proposés, et prendre tes décisions. Par exemple, moi mon docteur m'a proposé de prendre des médicaments, et j'étais tellement désespérée que j'ai fait ce qu'il me demandait sans me poser de questions. Et bien j'a pris 90 livres (oui, c'est a triste vérité) et j'avais un autre problème sur les épaules. J'ai reperdu ce poids depuis, mais cela aura été une des pire chose qui me soit arrivé, presque ex-aequo avec les paniques. Je ne dis pas que tu ne dois pas prendre de médicaments pour te calmer, car tout est différent pour chaque personne qui a son propre parcous à vivre. Je dis simplement de garder ton libre-arbitre en toutes circonstances. Je te dis maintenant bonne chance, et n'oublie pas : chaque chose en son temps. Chaque étape n'est pas que physique. Il y a plein de choses qui se passent également dans ta tête et il faut te donner le temps de digérer tout ça.
Bonne route !
P.S.: j'ai remarqué que ce genre de problème se manifeste très souvent chez les personnes artistiques. Ce qui prouve que la sensibilité y est pour quelque chose. Ne lâche pas, et dis-toi que ton art est un bon exutoire.
Faith.
Bonjour,
Retourne vivre dans ton appartement à Nîmes. Cherche toi un psychologue ou psychothérapeute pour faire une thérapie. Peut-être tu trouve aussi un groupe de parole à Nîmes. Va consulter un psychiatre sur place, peut-être il te faut un traitement pendant quelque temps. Essaie de ne pas trop éviter les situations, si non ton agoraphobie risque de s’aggraver.
twingo
:lol: Tu dois au contraire, commencer une thérapie cognitivo-comportementale le plus vite possible . J'ai tout essayé avant (thérapie freudienne, humaniste, etc...et yoga, rebirth, etc...).
La seule chose qui marche est la thérapie cognitivo-comportementale. Et commence tout de suite avant de paniquer dans toutes sortes de situations que tu devras affronter. Plus on attend et plus on fait ensuite de l'évitement.
Oublies ce que le doc te dit. Il y a un tas de doc et psychiatres qui m'ont dit un tas de trucs cons.
Oui il faut se relaxer mais il faut AGIR le plus vite possible.
Bonne chance!