Anxiété au quotidien... SVP RÉPONDEZ-MOI !!!

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Anxiété au quotidien... SVP RÉPONDEZ-MOI !!!

#0 Posté le par Capucine8

Bonjour !

Je suis nouvelle sur ce site. Il y a presque 5 ans, je suis venue m'établir à Montréal pour poursuivre mes études et aussi parce que mon copain habitait à Laval. Pour ma part, j'ai passé mon enfance et mon adolescence en région éloignée. La grande ville me faisait peur, mais je me disais que je m'adapterais.

La première session à l'université a été un pur cauchemar. J'ai toutefois passé au travers et je me suis dit que je pourrais en faire autant pour la deuxième session. Toutefois, mes symptômes d'anxiété sont devenus complètement paralysants et j'ai dû abandonner ma deuxième session. Lors de cette interruption, j'ai pris du temps pour reprendre le contrôle de moi-même : j'ai participé à un groupe d'entraide, j'ai rencontré une travailleuse sociale, j'ai beaucoup lu sur l'agoraphobie (car c'était mon principal problème) et j'ai pris de la médication. J'en suis venue à reprendre confiance en moi et en la vie et à reprendre mes études. J'ai terminé mon baccalauréat l'an passé et me voilà maintenant en maîtrise. Ça a été une belle victoire... temporaire !

Cet automne, certains malaises se sont sournoisement manifestés, et j'ai commencé à craindre de reperdre le contrôle de ma vie. J'ai quand même passé à travers ma session, mais tout comme ce fut le cas pour mon baccalauréat, me revoilà en totale perte de contrôle depuis le début du mois de février. Cela fait un peu plus de deux semaines que je suis dans un état lamentable : très peu d'appétit, étourdissements, incapacité à aller à mes cours, palpitations presque constantes, sentiment profond de vide... Je suis angoissée au plus haut point, et à la différence de l'épisode que j'ai eu il y a 4 ans, je ne suis pas mieux lorsque je suis chez moi. L'agoraphobe est habituellement plus tranquille à la maison, où il se sent en sécurité. Dans mon cas, toutefois, rien n'arrive plus à me détendre, ni même la présence de mon conjoint. J'anticipe de devoir interrompre ma session et je l'accepte quand même bien. Le problème, c'est que je ne sais pas comment passer mon temps à la maison. Le simple fait d'avoir à passer 9 heures toute seule m'angoisse, car je suis incapable d'occuper mon temps et de m'adonner à quelque chose de plaisant. Je vis simplement pour tuer le temps en attendant le retour de mon copain (qui encore, ne me soulage que temporairement, puisque l'angoisse reprend assez vite le dessus).

Je vous ai raconté mon histoire assez en détails, mais la question que je me pose est la suivante : pour ceux qui souffrent d'anxiété depuis longtemps et qui restez à la maison, comment occupez-vous votre temps ? Que faites-vous ? Aussi, si vous êtes dépendant de votre conjoint(e) financièrement, comment il ou elle le prend-il et comment vivez-vous avec cela ? Dans mon cas, je suis très dépendante financièrement de mon conjoint et je vis bien avec cela. Par contre, je suis angoissée à l'idée de passer ma vie à tuer le temps. J'ai peur de ne jamais trouver d'occupation (professionnelle ou non) qui va apporter un petit baume dans ma vie. Évidemment, en ce moment, je me sens incapable d'occuper un emploi et j'ai la croyance que je ne serai jamais capable de le faire. Toutefois, je sais que mon état finira par s'améliorer, mais en attendant, je cherche juste comment passer le temps.

Merci de m'avoir lue jusqu'à la fin et j'espère très fort recevoir une réponse !

Messages récents

Message #15

#15 Posté le par Capucine8

Bonjour Delphy !

Je suis vraiment désolée pour la situation que tu vis. Ça ne doit pas être facile pour toi, surtout durant cette période qui est habituellement plus joyeuse. Prends-tu ou as-tu pris une quelconque médication pour t'aider à traverser cette mauvaise passe ? Dans mon cas, je ne le dirai jamais assez, c'est ce qui a fait toute la différence. Je te souhaite toute la force qu'il faut pour surmonter ton angoisse. Concernant ta carrière, j'aimerais aussi souligner qu'il y a plusieurs façons de voir les choses. Si jamais tu en venais à quitter ta profession, tu pourrais bien sûr le considérer comme une défaite cuisante (selon les objectifs et les ambitions que tu avais), mais tu pourrais aussi le considérer comme une simple acceptation de tes limites. Il n'y a rien de honteux à faire des choix en fonction de nos limites. Au contraire, c'est plutôt une victoire en soi d'accepter de faire des choix qui respectent les limites de notre corps et de notre âme. Peut-être pourrais-tu continuer d'exercer ta profession, mais dans un milieu moins stressant, quitte à être simplement moins rémunérée. Tout est une question de choix. Fais celui qui respectera le mieux qui tu es, avec tes forces et aussi tes limites.

Capucine xx

Bonjours capucine..

#14 Posté le par Delphy
moi aussi je'ai fais une rechute... et ce qui m'avais fais peur au début et même encore... c'est le fais de replonger dans cet univers qui est l'angoisse... le fais de s'avoir ce que c'Est et de ne pas s'avoir quand est-ce que l'on s'en sortira...
m'a crise de panique je l'ai fais le premier mai... j'ai été arrêter au travail pendant un mois et demi... et cela fais maintenant une semaine que j'aie recommencer le boulot... et l'angoisse est revenue... (je travaille dans le domaine de la santé) j'adore mon travail... mais il est très stressant... très difficile... changer de domaine pour moi serais une terrible de défaite... alors je persiste en pensant au jour ou je n'aurai plus ces crises...
j'ai un fiancé que j'Adore et deux charmant enfants... que j<.aime... j'ai en somme une belle vie... et pourtant j'angoisse... j'ai l'impression que je suis entrain de raté ma vie à cause de cette maladie... je sens la défaite et je me sens mal juste d'y penser juste de l'écrire... bon je vais m'arrêter d'écrire ... tu vas bien et écrire ce genre de chose parfois et les lire nous fais encore plus réangoisser....
je suis contente pour toi que ça aille mieux...
bizou Delphy

Message #13

#13 Posté le par Capucine8
Au fait, Lichen, si tu as envie de parler davantage de ta situation, ne te gêne pas. Je pense que je suis bien placée pour te comprendre. :wink:

Message #12

#12 Posté le par Capucine8

Bonjour Lichen !

Désolée de répondre si tard, mais je viens peu souvent sur le site, sans doute parce que je vais beaucoup beaucoup mieux. Effectivement, j'ai réfléchi maintes fois à mon avenir professionnel, et chaque fois j'en revenais au même état de fait : j'étudie dans le bon domaine, dans un domaine qui me satisfait entièrement, et quand j'aurai fini, je pourrai trouver un emploi à temps partiel ou à tout le moins, pas trop éreintant. Toutefois, je dois finir ma formation. C'est comme un grand coup à donner, mais une fois rendue au bout, je serai satisfaite et fière d'avoir persisté malgré mon angoisse. Toutefois, je suis entièrement d'accord avec toi : si je n'avais aucune bonne raison d'aller au bout de mes études, je viserais moins haut, c'est certain. Mais je suis si près du but à présent...

Et sincèrement, les anti-dépresseurs sont vraiment ce qui manquait à mon bonheur. Parfois, on dit que les anti-dépresseurs sont les "pilules du bonheur" ; dans mon cas, l'image est tout à fait appropriée. J'espère seulement que mon problème n'est pas saisonnier. On verra l'an prochain !

Merci pour ton commentaire !

Bonne chance aussi à danonyme ! J'espère que votre problème de santé se traite bien !

Message #11

#11 Posté le par Lichen
Salut!
Moi aussi, j'ai du abandonné l'université depuis quelque mois. maintenant, je me demande si je ne devrais pas trouver un domaine moins stressant. Parfois, il vaut peut-être mieux modifier notre mode de vie à nos limites et faire le deuil de nos idéaux. On est pas en vie pour se faire chier, non?
Je te lance cette piste comme ça. je ne sais pas si c'est une bonne façon de voir la chose, j'y réfléchis en ce moment... Bonne chance!

Message #10

#10 Posté le par danonyme

Il y a quelques années j'ai eu des crises d'angoisse. Il fallait pour ma part que je sorte. Une fois je suis meme sorti dans le jardin en pleine nuit.
En fait je suis malade mais a cette époque je ne savais aps ce que j'avais.
Des lors que ma maladie a été diagnostiquée, ces troubles ont disparu.
Ce que j'ai est grave, mais je sais ce que c'est.

En ce qui concerne les anti depresseurs j'en prend un car je me suis appercu que certains de mes symptomes recoupent ceux de la fibromyalgie, et comme on la soigne a base de prozac ou assimilé, j'ai décidé de tenter l'expérience.

Donc je prends de l'Anafranil, mais pas pour la déprime, pour faire chuter ma fievre permanente. Et bizarrement ca marche, et pas au bout de 3 semaines, l'esffet est immédiat, disons dans les deux heures qui suivent. Par conte ca endort...

Pas beaucoup de rapport avec les crises d'angoisse, mais on peut en sortir de ces crises, c'est ce que je voulais dire.

De toute façon, on a peur de quoi ? De mouriri ? Je me suis vu mourir une fois, je n'ai aps paniqué. Quand je me susi réveillé j'ai compris que c'etait une fausse alerte... Mais au moins je sais qu'on n'a rien a craindre. Le monde continuera a tourner sans moi, je fais confiance aux autres, et mourir pour moi maintenant, c'est comme dormir. Alors quand on n' a plus peur de ca, de quoi on devrait avoir peur ?

Message #9

#9 Posté le par lalala

salut capucine,

quel plaisir de te lire ce matin, tu sembles enfin reprendre pieds,
saches que cet état de malaise profond peut revenir mais que l'on en sort aussi,
j'ai vécu des moments difficiles aussi, depuis 4 ans je prend des anti dépresseurs en petite dose, comme dit mon médecin c'est une béquille, cela me permet de ne pas dramatiser les petits soucis de la vie et de rlativiser un max, je continue d'en prendre car la vie est plus rose ainsi et un jour quand je serais une vieille sage je n'en aurais plus besoin.
Bon vent à toi,

Message #8

#8 Posté le par Capucine8

lalala :
Ton message me fait sourire, car effectivement, mon état s'est beaucoup amélioré en l'espace de quelques jours. Quand j'ai écrit mon premier message, j'étais en pleine crise. C'était vraiment intense. La seule idée d'être seule m'angoissait. Je vivais dans l'attente que mon conjoint revienne du travail. Je n'avais pas la concentration nécessaire pour faire mes lectures pour l'école. J'avais mal partout. Je mangeais à peine. J'étais vraiment en détresse.

Heureusement, je suis fière de vous dire que je vais beaucoup mieux. J'ai recommencé à prendre de la médication et je vois une psychologue. Je ne comprends presque pas pourquoi je vais mieux, car mes médicaments ne devraient théoriquement pas encore faire effet (seulement dans 2 semaines encore), et comme j'en avais été bien avisée, je ne me faisais pas d'attentes. Ça ne peut pas être l'effet placebo qui s'est opéré ! Alors, je ne sais pas ce qui s'est passé, mais il ne vaut peut-être pas la peine de comprendre. L'important, c'est que je me sens bien en ce moment. Je reste vulnérable, et je ne peux pas dire si ça va durer, mais j'ai vraiment confiance. S'il faut que je prenne un anti-dépresseur (je prends Zoloft) toute ma vie, j'en prendrai. Je l'accepte. Ça ne me dérange pas. J'aime cent fois mieux me sentir bien dans ma peau que me sentir vide, angoissée et misérable.

J'espère que mon message peut en encourager certains parmi vous.

Merci pour votre soutien !

Capucine8

Message #7

#7 Posté le par lalala

bonjour Capucine,

rien de grave,
nous passons tous des moments plus difficiles,
il faut savoir que c'est comme une maladie, une faiblesse passagère, il faut consulter pour être aider et se soigner, puis avec de la patience on se rend compte que ça passe, que la vie est belle et que les journées sont trop courtes pour faire tout ce qu'on voudrait... :lol:

il faut vraiment que tu prennes conscience que ça ne va pas durer et que ce malaise se soigne, ensuite tu seras plus sereine !

je reste à ta disposition, bon courage

Re: angoisses

#6 Posté le par Capucine8
Notre angoisse vient de ce que nous n'avons plus de but... Et non, ce n'est pas facile d'en retrouver un.

Ce que tu as vécu n'est pas facile ! Je comprends un peu comment tu peux te sentir, même si, comme tu dis, notre situation est différente. C'est vrai que ça doit être très diffcile de se retrouver aussi seule après avoir tant donné aux autres.

Je suis entièrement d'accord avec le fait que l'angoisse vient quand on n'a plus de but. Je n'aurais pu mieux l'exprimer. Personnellement, je suis effectivement angoissée quand tout d'un coup, j'ai peur de ne plus avoir de plaisir, de ne plus pouvoir faire des choses intéressantes, de ne jamais être capable de trouver un emploi qui me convient. C'est la peur du vide.

Je te souhaite de trouver un but auquel t'accrocher !

Capucine

angoisses

#5 Posté le par christine007

Bonjour Capucine,

Je comprends que ce n'est guère facile. Nous sommes toutes dans des situations différentes et pourtant nous souffrons de la même chose. Moi je suis divorcée, puis mon fils est parti chez mon ex, ensuite j'ai été pré-pensionnée et enfin j'ai soigné nuit et jour ma maman et mon beau-père. Après tous ces efforts, je me suis retrouvée seule ... comme seule au monde et mes angoisses ont commencé aussi. Il m'arrive de me trouver seule trois jours et trois nuits en suivant... Je ne retrouve pas ma voie non plus. Je peux m'occuper seule longtemps (lecture, internet, tv) , mais après trois jours.. je n'en peux plus. Le bénévolat, cela ne me dit rien, car quand on a soigné ses parents jour et nuit pendant 6 ans.. Le sport, je n'en suis pas capable. Le soir et le matin je me réveille aussi avec des crises d'angoisse. C'est sûr qu'il faut essayer d'organiser sa journée et tenir un livre de ce qu'on doit faire c'est bien. Barrer ce qu'on a fait aussi. On voit au moins qu'on a fait quelque chose. Pour le reste, je ne suis pas bien capable de vous aider, car j'ai du mal aussi... Il faudrait pouvoir se réinvestir dans quelque chose, nous toutes, mais ce qui est difficile, c'est de trouver quoi quand plus rien ne vous aide (je n'ai plus que mon fils)... Le peu de famille et le peu d'amies qui me restaient, m'ont laissée tomber aussi... Cela m'a fort choqué, mais de nos jours on se jette facilement et c'est pour cela que je n'arrive plus à m'attacher. De plus après une période de 6 ans et demi où je n'ai pas eu une minute à moi à soigner mes parents, je me suis retrouvée à devoir m'occuper de moi ... dans l'indifférence totale des autres... Je suis aussi révoltée quelque part.. Notre angoisse vient de ce que nous n'avons plus de but... Et non, ce n'est pas facile d'en retrouver un. Bon courage à toutes. Ceux, celles qui ne vivent pas la situation ne comprennent pas et ceux/celles qui vivent la situation, ont bien du mal à s'entraider car trop semblables... On se comprend, mais on ne sait pas s'entraider. Bien amicalment.
christine

Message #4

#4 Posté le par Capucine8

Aux trois personnes qui m'ont répondu jusqu'à maintenant, je veux vous remercier sincèrement pour votre appui, vos conseils et votre témoignage. Il est vrai que de noter dans un cahier ce que je fais pourrait être une bonne idée. Le seul fait d'avoir cela à faire représente presque une activité en soi ! Je n'ai tellement rien à faire, c'est effrayant !!! Je suis là, toute tendue sur mon divan, à changer nerveusement les postes et à espérer trouver quelque chose d'intéressant pour me faire oublier le temps...

Pour survivre à cette mauvaise passe, j'essaie d'élaborer différents plans au cas où j'interromprais mes cours et pour ne pas devenir folle à la maison. J'ai pensé au bénévolat, effectivement. Peut-être aller dans le CHSLD pas très loin de chez moi rendre visite à des personnes âgées qui sont peut-être encore plus seules que moi. Je ne veux pas passer ma vie à attendre le retour de mon chum du travail.

Il y a près de 2 semaines que j'ai recommencé à prendre de la médication, mais il s'agit d'anti-dépresseurs qui ne feront pas effet avant encore un bon 2-3 semaines. En attendant, il faut bien que je survive, pas vrai ! :wink: J'essaie de m'encourager par tous les moyens possibles pour ne pas sombrer davantage.

Un gros merci pour vos réponses ! :wink:

Message #3

#3 Posté le par loly25

Bonjour

Je tenais moi aussi à parler de ce que je ressens quotidiennement depuis le 1er janvier ( après une grosse crisse d'angoisse).

J'ai été beaucoup malade à la suite de cette crisse d'angoisse et depuis maintenant 2 semaine, je suis souvent angoissée et je ne sais même pas pourquoi la plupart du temps. Moi non plus la présence de mon conjoint ne me rassure pas et j'ai aussi de la difficulté à rester à la maison seule et sans rien faire.

Je n'ai jamais été anxieuse auparavant, mais depuis le 1er janvier, c'est le cas. Parfois, je me surprend à me poser des questions sur les sentiments envers mon conjoint et je sais que ce n'est pas la vrai moi qui est comme ça.

Il m'arrive aussi de me poser des question sur tout et je vais parfois très creux. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi je suis anxieuse à ce piont. Tout ce que je sais, avant de faire ma crisse d'angoisse, j'étais fatiguée et cela étais dû à une carence en fer et en vitamine B-12. Je croit que notre système nous lance parfois des cris d'alarme comme cela ( anxiété, angoisse) et il faut savoir l'écouter.

De plus, depuis le 1er janvier, j'ai cesser de fumer et je sais que cela ne m'aide pas à ne pas être anxieuse (malgré le fait que je ne ressens presque plus le besoin de fumer). Moi je te conseille d'aller voir un psy et de voir ce qui peut être fait. Moi, on m'avait prescrit de l'Ativan ( en cas d'extreme besoin) et ça m'a aidé. Je n'ai pris que pendant seulement 4 jours, et ensuite, je n'en n'ai pas eu besoin à nouveau.

Bref, je te souhaite bonne chance et redonne nous-en des nouvelles.

Message #2

#2 Posté le par oceane24

salut capucine!

je comprend tout a fait ce ke tu resent car je vie exactement la meme chose ke toi ennui perpetuel et sentiment de survivre et combler le temps plutot ke de vivre et de profiter de la vie.

mes angoisses se tranforme en maux divers tel ke gorge noué en permanence,vertige et un sentiments de somnolence permanent

j'en avait ras le bol
Jai décidé de reprendre ma vie en main et d'aller voir un psy
le résultat du premier rdv été que je souffré d'ennui et ke je débordé de vitalité et le fait de ne pas faire de chose ke jaime vraiment me confine dns cet état d'ancienneté.

en clair il faut je voit du monde et faire des activités ki me plairont, en tout cas essayer des activités nouvelles, et la je saurait si j'aime l'activité

je pense ke ton pb c ke tu ne fait rien ki te motive réelment.
jai par exemple décider d'aller faire du bowling avec un ami et comm par hasard ca fait 4 jours jai plus les pb d'anxiété.

moi non plus je ne supporte pas de rester à la maison, donc je sort je vais voir des amis, j'essaye de me bouger et en bougeant j'ai de plus en plus en vie de bouger.

Essaye de faire une activité, du bénévolat, du sport....

plus tu restera a te morfondre sur toi même plus tu déprimera et plus tu angoissera, comme jai fait jusqu'a aujourd'hui

je suis pas guéri mais ssuis sur la voie

un conseil essaye de faire des activités nouvelles, si tu n'as pas d'argent c pas ce ki tempèche de faire des autres , et puis éventuellement kes ki tempèche de faire des heure dan sun resto en serveuse ou babysiting??

comme moi, le pb c ke tu te pose trop de question, sache ke le fait de voir les autres tu t'apercoit kil y a toujours pire ke non et k'il faut relativisé!!

je t souhaite une bonne soirée et te souhaite bon courage je me tiens a ta disposition

bon courage et bouge, tout est dans la tête il n'y a rien de pathologie tout est psychologique

@+

Message #1

#1 Posté le par eldodo

Bonjour Capucine,

Je peux comprendre votre angoisse, pour le quotidien à la masion, ce qui est bien c'est d'avoir un cahier ou un agenda et d'écrire ce que vous faites d'heures en heures, cela vous permettra de voir ce que vous faites et c'est encourageant, disons que vous faites 2 heures d'entretiens dans l'avant midi, ensuite une pause, puis vous faites de la lecture, plus tard vous voyez aux comptes et factures.. etc., à chaque étape complétée vous l'inscriver dans le cahier avec l'heure correspondante.

En fait, ce qui est important c'est de bien profiter de cette période à la maison, d'abord évidemment pour prendre du repos, mais aussi pour améliorer votre sens de l'organisation, je pense que c'est plus motivant de voir cet arrêt de travail de cette façon.

El dodo