Je suis en arrêt de travail depuis Janvier 2005 suite à une dépression majeure.
Mais le tout à commencé en 2001 et me forcant à retourner travailler dans un endroit que je détestait j'ai rechuté 3 fois et j,en suis rendu ou je suis présentement.
Mon psychiatre à essayé en vain plusieurs types d'antidépresseurs dont Effexor, le Lithium et autres dont je ne me souviens plus du nom.
Présentement je prends du Zoloft depuis environ 6 mois à raison de 100 à 125 mg par jour. Cet été j'en prenais environ 200mg mais il à du reviser la dose à cause de l'inconfort que ce médicament m'apporte. Perte d'appétit, perte de libido, difficulté à atteindre un orgasme, anxiété chronique, transpiration excessive, nervosité, migraines quotidienne, panique, impatience, peur de sortir, perte d'intérêt pour tout. Bref le Zoloft ne m'apporte que du négatif. Pourquoi mon psychiatre s'entête t'il à continuer ce traitement ? Il croit que je ment pour tirer profits des assurances..... Ça me révolte.
Même à 100 ou 125 mg par jour je constate avec consternation et découragement que le traitement ne fonctionne pas. je me sens nerveux, angoissé et anxieux sous l'effet du Zoloft. Je prends un comprimé de 50mg de Désyrel au coucher et 2 à 3 Lectopam 3 mg par jour pour combattre l'anxiété.
Le Zoloft m'a nui plus qu'autre chose car j'ai commencé à consommer de l'alcool à l'occasion afin de mieux camoufler cet effet désagréable du Zoloft sur moi. Je ne consommais d'alcool que très rarement avant et maintenant j'en suis rendu à consommer de l'alcool 3 ou 4 fous semaines. Ce n'est pas normal selon moi. Mon psychiatre s'entête à dire que le médicament est bon pour moi et j'ai beau lui dire que je m'enlise davantage et que je prends de mauvaises habitudes mais il persiste à continuer ce traitement qui est en train de me nuire plus qu'autre chose. Plus le temps avance et plus je crois perdre tout espoir de redevenir l'homme joyeux et actif que j'étais auparavant. Je pense tout vendre et partir à l'aventure voir d'autres pays qui selon moi serait beaucoup plus enrichissant que de se morfondre chez soi et de constamment avoir peur de sortir dehors. J'ai également peur de sombrer dans d'autres substances afin de me soulager.
Je n'en peux plus de vivre comme ça.
Voilà je voulais vous en parler et c'est comme un cri d'alerte quie je lance.
J'ai bien de la misère à voir la lumière au bout du tunnel.
Merci de m'avoir lu.
Alain11