A l'aide!

Bonjour,
Je m’appelle Laurent, et j’ai 27 ans depuis le 21 juillet.
Cela va faire deux ans et demi que je fais un travail d’analyse.
Pourquoi ?
Simplement un lendemain de cuite(nouvelle an 2001/2002), une violente angoisse me saisit. La peur de la mort, de la fin. Sans plus tarder, et étant donné que j’avais toujours eu l’intime conviction d’être très mal dans ma peau, je décidais d’entamer une analyse, en janvier 2002. (Chez un psychiatre, donc docteur.
Pour continuer mon récit, il me faut faire une petite biographie.
Je suis le troisième enfant d’une famille de trois garçons. Peut-être quatre, car ma mère à du avorter, un an avant de rencontrer mon père.
Mon père est quelqu’un de tyrannique, ayant tendance à monopoliser certaines émotions comme la colère. Bref, durant toute mon enfance, je l’ai vu donner des trempes à mes frères (pour mauvais résultats scolaires etc………), mais aussi à me mère. Bien sur, cela n’était pas quotidien ! Seulement, il était impossible d’aller à son encontre, car il imposait la violence.
Etant le dernier, j’en fut épargné……même si quelques fois. Mais j’en fut témoin avant tout.
Mon père est une personne qui prônait la paranoïa. Pour lui tout le monde lui voulait du mal. Ainsi, notre vie était peu propice en manière de rencontre dite sociale.
Après nous vivions dans un contexte très précaire. Bas salaire, maison à payer. Bref, un état d’anxiété général à la maison.
Ma mère est une personne très angoissée. Elle a eut une enfance difficile. Un père violent et dépressif. J’ai toujours eu souvenir d’une femme étant angoissée, ayant peur du jugement d’autrui. Il en résultait un certain isolement. Naturellement, cette angoisse rejaillissait sur nous. Malgré tout, je n’ai pas de souvenir d’affection.
Mes frères sont eux aussi plus ou moins dans le flou. Mon grand frère, m’a toujours porté beaucoup d’amour. Quant au second, il passait son temps à me réduire en victime. Sa victime. Sans doute, transférait-il toute ses frustrations sur moi.
Bref, voici le contexte dans lequel j’ai grandi.
Inutile de vous dire que ma scolarité fût un échec ! Et ce, malgré des dons artistiques évidents.
(Il m’a fallut attendre l’âge de 26 ans, et un test de QI au cours d’un stage de reconversion, pour qu’une psychologue me désigne comme un être doté d’un gros potentiel. Potentiel non détectait par tant de professeurs ?).
Et puis, il y a le clou du spectacle ! Une agression sexuelle subit à l’âge de six ans (le garçon en avait 12/13. Ce que l’on appel : Sodomie (pardonnez-moi pour certains termes.). Celle-ci resta secrète….Jusqu’à 2004, grâce à l’analyse.
Toujours est-il, qu’après mes seize ans, une longue descente aux enfers commença.
Apprentissage en coiffure avorté au bout de six mois. Et pour cause : A partir du moment ou l’on m’observait, je tremblais de tous mes membres.
Malgré tout je persistais, et regagnais une école de coiffure. CAP à l’issue ! Mais toujours ce terrible problème.(Tremblements paniques angoisses.
Comme il se devait, mon refuge se trouvait dans la drogue et l’alcool. (Haschich, LSD, ecstasy, et deux fois cocaïne.
Tentative de Brevet Professionnel. Echec, et ce toujours pour les mêmes motifs.
Sexuellement, rien. Toujours le même problème. Impossible de prendre un verre avec qui que se soit, du sexe féminin.
Après, chômage, formation en tant que magasinier. 99 Je rentre dans l’armée de l’air.
Les classes, un cauchemar ! La phobie des armes, du tir. Panique, tremblement.
Malgré j’en ressort ! Me voilà avec un salaire, un métier, une voiture…
2000, alors parfaitement intégré au sein de l’armée, reconnu comme bon élément, je menais des week-end de débauches. Alcool (car je ne pouvais plus consommer de drogue : angoisse.
Ce qui devait arriver, arriva. Accident de voiture, ennuies judiciaire, hôpital, passager grièvement blessé. Toujours pas de filles, même motif !
Trois ans de rédemption, mais toujours des bonnes cuites. Sans voiture naturellement, mais des taxis. 2003, rechute ! Récidive de conduite en état d’ivresse ! Je prends un appartement, retour à la vie militaire, amour transi pour une jeune et jolie fille. Au final, crise de panique. Impossible de la croisée. Dépression nerveuse sévère ! Je reviens au travail au bout de deux mois. Tout va bien, j’ai une amie ! Puis panne sexuelle (ou plutôt amie ayant des problèmes sexuels car victime d’inceste. Une fille en grande difficulté : boulimique et anorexique. Naturellement, je n’ai rien vu venir !), avec phobie d’effectuer un tir en examen. Nouvelle dépression. Amour douloureux, qui prendra fin, 8 mois plus tard, à mon initiative. Rentrée 2004, gros coup de ballet ! Je fais des cours de dessins, peintures, mais aussi de théâtre !
En amont, j’assume ma phobie, et décide d’entreprendre ma reconversion. Sentiment d’échec.
2005, nouvelle dépression (attaque de panique à l’idée de croisée la même fille qu’il y a deux ans, suite à un conflit avec celle-ci), durée 1 mois. Retour, et surtout prise de conscience de certains de mes dons et passions. Rien à voir avec l’armée !
Eté 2005, suite à un énième conflit sur mon lieu de travail, nouvelle dépression ! A ce jour, je n’ai toujours pas repris…
Depuis, j’ai suspendu mon analyse. Mon généraliste estimant que celle-ci ne ma faisait plus avancer, il m’orienta chez une de ses confrères ( à ma demande je voulais essayer une femme, et puis déjà plus ou moins l’envie de changer.). Hors celle-ci m’a vivement conseillée de reprendre rendez-vous chez mon ancien thérapeute, afin d’expliquer « mon refus ». Elle m’expliqua qu’il serait dommage de couper au bout de deux ans.
Dans l’histoire j’ai simplement oublié de m’exprimer ! Je eux simplement un nouveau type de thérapie ! L’œdipe, je l’ai vu de long en large, sans compter les livres sur l’analyse, transfert, etc… ! Je veux travailler sur mes croyances, la gestion des émotions…Alors il me faudra m’exprimer, expliquer ! Cela me fait peur ! Tout me fait peur ! Reprendre le théâtre (pourtant, il paraît que je suis très doué !) ! Etc….
Je me sens dans l’impasse.
Comment réagir ? Quel type de thérapie ?
Bref, je suis perdu !

ou lalalA. pas facile ce que tu vis...je te donne mon avis, pas nécessaire de le prendre pour du cash mais c'est ce que moi je pense...Je vis avec les crises de panique depuis plus de 2 ans et je ne me suis pas encore sortie de cet enfer...quoi que ce ne sont plus des crises mais plus des sentiments angoisses qui sont omniprésent tout le temps. J,ai suivi une psycho thérapie avec un exellent psychologue et je crois que la psychanalye n,est définivement pas faite pour toi. Tout le monde que je connais qui on eu affaire avec l'analyse se sont retrouvés encore plus mal qu'avant de commencer. :? Pour supporter et grandir la dedans, je pense qu'il faut etre bien et avoir réglé nos bibittes a nous avant de gratter les plaies de notre enfance et de notre famille élargie.
j'apelle ca la théorie du stacauze...stacauze de cet évenement la que je suis comme ca, stacauze de mon pere, de ma mere, de mon rang dans le fratrie,ect... Tournes toi sur toi meme, pas sur les causes mais sur les problèmes que tu a à gérer et à réglés, un a la fois et tu devrais avec un psy humaniste ou behavioral avoir la joie de te retrouver et de vivre ta vie normalement...bonne chance sincèrement! :D