Je ne sais pas si je suis vraiment dans le bon forum, si ce n'est le cas, j'epère que vous m'en excuserez ;-)
Il y a un an et demi, j'ai vécu une séparation douloureuse après une relation de 17 ans dont une dizaine d'années de vie commune.
Quelques mois plus tard, alors que je commençais à me sentir mieux (amélioration depuis le jour où j'ai décidé de ne plus rien attendre et de commencer à vivre pour moi) je me suis rapproché d'une personne de qui je suis tombé amoureux.
Au départ, cette nouvelle relation m'a tansporté mais par la suite, tout a commencé à se dégradé.
Il faut dire aussi( pour mieux comprendre la suite) que cette femme n'a pas eu une vie des plus facile tout comme moi, (mais je ne vais pas vous infliger tous mes problèmes allant de ma petite enfance à aujourd'hui) ce qui m'a sans doute également atiré chez elle ( je crois que je me reconnaissais un peu en elle sous certains aspects). Disons qu'elle avait un peu le sentiment d'avoir raté plein de choses dans sa vie, et je crois qu'elle a senti qu'elle pouvait trouver en moi pas mal de choses qui lui permettraient de vivre la vie qu'elle souhaitait.
Très vite j'ai senti que son amour pour moi était passionné, limite dépendant et ça m'a fait peur mais étant moi même dans une situation de déprimes récurantes, j'ai voulu croire que les peurs que ça créait chez moi étaient dues à mon état dépressif et j'ai décidé de ne pas la décevoir.
En fait me dire que si je n'arrivait plus à sentir tout à fait la même chose qu'au début était du à une dépresion passagère me rassurait.
Après quelques mois (à peine deux mois après avoir rencontrer mes enfants) elle m'a demandé si nous pouvions vivre ensemble. Et là encore je n'ai pas oser la décevoir.... Il faut dirte que déjà dés le début, elle déprimait dés la veille de la semaine que j'allais passer avec mes enfants car elle ne m'aurait plus pour elle et que par la suite, même si elle avait toujours son appartement, elle n'y vivait plus du tout.
Le mois du déménagement de ses dernières affaires, j'angoissais de plus en plus, et après une longue discussion, je lui ai dit qu'effectivement il valait peut-être mieux que nous mettions un peu de distances (je ne voyais pas une séparation, mais j'esperais pouvoir retrouver ce que nous vivions au début de notre relation). Elle est donc partie sur le champs, mais pour elle c'était définitif.
Finalement, après deux trois jours nous en avosn rediscuter et elle est revenue une semaine plus tard.
Nous avons ensuite passé deux semaines de vacances qui se sont assez mal passée : de plus en plus je voyais que nous n'avons pas la même vision de la vie, que j'ai beau essayer de ne rien dire, pas mal de choses me dértangent dans son comportement... Bref depuis deux mois, je ne passe plus une journée sans me torturer pour tenter de voir ce que nous avons vraiment en commun.
A notre retour de vacances, une fois à deux, nous avons passer deux jours très durs à essayer de mettre les choses à plat, mis alors que nous étions sur le point de mettre un point final (définitif ?) à cette histoire, du moins lorsque nous envisagions une séparation, elle a plus ou moins menacer de se suicider car sa vie était vide et qu'elle avait tout raté.
Finalement elle est restée en reprenant notre vie comme si rien ne s'était passé.
De mon coté, je me sens torturé, essaie de garder la face vis à vis de l'exterieur (tout son entourage m'adore et voit en moi l'homme qui lui fallait) mais je me sens torturé, fautif et rongé de l'interieur. Dés qu'on parle d'un projet j'angoisse interieurement (même si il s'agit d'une bétise qu'on fera dans 3 jours, alors imaginez un peu quand on parle de travaux qu'on va faire dans la maison) Je ne passe plus une journée sans avoir besoin de pleurer un bon coup. Je n'ai pas envie de faire souffrir et préfère encore donner ce qu'on attend de moi même si je ne sais plus trop où tout cela pourra me mener.
Je sais, ce n'est sans doute pas la meilleure des décision, mais je ne me sens plus la force d'affronter quoi que ce soit, donc je crois que je préfère encore subir en me disant que ça va surement s'arranger un jour.