Solitaire..choix ou galere ?

J ai toujours etait peu sociable , car j ai du mal a rejoindre les interet des gens de mon age (je n aime pas la tele ,l alcool , les ragot, la mode )
et j ai souvent le sentiment de perdre mon temps dans des converstion vide ou des lien affectif trop faux . de plus je ne voi pas ce que je pourrai leur apporter ...quelquefois il me semble que m a lucidité me nui

je ne pense pas etre vraiment timide car j arrive sans peine a communiquer avec les gens (travail en commun , discution interessante,exposé oral ) ou a faire rire le groupe lorsque je suis avec des amis .
je ne pense pas etre insuportable au quotidient , je ne sui ni jalouse ni radine ni collerique , je ne me brouille jamais avec mes amis.

j ai aussi un assez bon contact la premiere fois , mais la ou je peche c est lorsqu il s agit de cree un relation sur la durée . la plupart de mes amis sont des gens avec lequel la relation c est etabli alors que nous etion "forcer" de nous rencontrer souvent (travail en commun , voisin de palier )

la situation tipyque pour moi qand j integre un nouveau millieu c est de parler avec les gens d etre ouverte de plaisanter et puis au bout de quelque semaine de commencer a trouver tout ca bien superficiel , d etre fatiguée de papilloner et couper les pont et de me desinteresser de laplupart de mes nouvelle relation

je croi que ce qui me pose le plus de probleme c est la structure de "groupe" ca me donne le sentiment de ne pas etre en face des vrai persone que chaqun jou un role ... j ai trop souvent entendu des gens que je connaissait bien dire le contraire de ce qu il pensait ,ou trahir des valeur importante a leur yeux simplement pour plaire au groupe
c est une situation que je ne suporte pas , je sais que ca peit paraitre execif....mais pour moi c est anormal de ce comporter avec tant de lacheté

je ne soufre pas vraiment de la solitude , mais je sais que le regard des autres n est pas tendre et je me dis que quelquepart il y a peu etre des chose a changer en moi

voila si vous vivez quelquechose de semblable j aimerai connaitre votre experience ...
si vous connaissez des gens un peu comme moi j aimerai aussi savoir comment vous les percevez et comment vous agissez avec eu

moi je suis d'accord avec vous tous en lisant

Moi de meme je suis solitaire j'ai actuellement 16ans.
Je suis solitaire surtout par obligation que par choix ayant des opignions sur certains sujets peux de gens m'aime bien . Je ne vai pas specialement vers les autres pour ne pas faire la bombe à retardement car j'ai peur de faire exploser un groupe ou peur d'en etre directement rejeté ,la seul chose que j'ai toujours fais c'est d'encaisser et tracer ma route mais je me rends comptes que bientot se chemin me menera au mur de la solitude complete .
Meme si ej discute avec les gens je n'arrives jamais à me faire des ''amis''
Les seuls que j'ai eu étais plutot des ''rejeté'' de la société à cause soit de leur physique trop ''imparfait'' ou de leur attitude non conforme à la générals

J'espere que certain sont dans le meme cas que moi car parfois je me demande si je suis le seul au monde

Coucou,
C'est une question de tempérament, il faut rester libre, car contrairement à ce que les gens "à l'aise en société" laissent paraître, ce sont peut-être bien eux les plus crispés, car toujours à l'affut, à essayer de maintenir leur image de gens normaux qui ont de la conversation et qui sont ouverts au monde. Ca peut devenir une sorte d'esclavage de la normalité...
Ce sont souvent ces personnes qui montrent du doigt les gens plus introvertis.
Alors il ne faut pas oublier que ce n'est pas celui qui fait le plus de bruit qui réussit le mieux sa vie.
Etre ouvert à sa façon, ça n'empêche pas de faire ses petites activité pépères dans son coin, d'avoir des activités sociales quand ça nous chante, et de rentrer dans son terrier tout seul bien au chaud quand on en a marre, bref d'être libre de la tyrannie de la pseudo-bienséance.
Bisou d'un ours de son terrier!

Coucou!
La solitude c'est subjectif. Il y des gens qui choisissent de tout faire pour s'entourer de monde, qui sortent, discutent de tout et de rien, etc., juste pour être sûres qu'elles sont sociables, et par là même, "normales"...
Un solitaire est sociable à sa façon, et souvent plus libre dans sa tête qu'une personne qui est toujours à la recherche d'un groupe, de conversations, même si elle n'a rien à dire ou n'a pas envie de parler ce jour-là. Là ça devient presque un esclavage fatiguant pour les neurones, une obsession quelque peu encombrante...
Et puis c'est une question de tempérament. Il y a des "moulins à paroles", des gens "muets comme des carpes", et des gens entre les deux. Ca dépend des aspirations de chacun.
Mais le pire, je trouve, est de se forcer à rentrer dans des relations dont on n'a pas envie, juste parce qu'on préfère être mal accompagné qu'être seul.
Après, si une personne est montrée du doigt parce-qu'elle reste parfois dans son coin, dans sa coquille, ben c'est la personne qui se moque d'elle qui met le doigt dessus, dont c'est cette dernière qui est le moins bien dans ses baskets, hi hi hi.
Solitaire, bizarre, asocial, schizoïde, c'est bien souvent des étiquettes que l'on aime se coller sur le front ou sur celui des autres, mais ça ne sert à rien!
Parler si on a envie de parler, se taire quand on ne veut pas parler, et tout va bien.
Et je cite pour finir un de mes collègue : "CELUI QUI SAIT NE PARLE PAS. CELUI QUI PARLE NE SAIT PAS".
Bisou les ptits solitaires, profitez de la vie!
Un solitaire de plus, goutte d'eau dans l'océan de la vie!

Une petite citation:

L'aigle vole seul ; ce sont les corbeaux, les choucas et les étourneaux qui vont en groupe.
[John Webster]

J'ai lu vos réflexions sur la solitude forcée ou par choix. Cette citation aurait tendance à rassurer ceux qui ne se sentent pas à l'aise en société. Je cotoïe certains corbeaux qui m'ont dégouté de me réjouïr en société. Je touche le fond de solitude au point de m'exprimer sur un forum. Famille, collègues, voisins, nouvelles relations; j'ai l'impression de faire d'énormes efforts de relationnel, mais sans jamais de partage profond. Je perçois les difficultés de chacun, et j'écoute beaucoup, mais au fond je n'arrive pas à gagner la confiance au point de parler de moi sans retenue. Les ragots, commérages, interprétations, jugements, critiques j'ai l'impression de vivre dans un nuage d'étourneaux. Lorsqu'on lâche un détail de sa vie , on a l'impression que les autres s'en approprient pour faire la leur. Dans ce contexte, la solitude est une ressource.
Soyez heureuses dans vos nids d'aigle.

Pour moi la solitude est devenue une nécéssité, pdt toute mon enfance et mon adolescence j'ai recherché la compagnie des autres sans réel succès, j'ai toujours été rejetée ce qui m'a poussée à me refermer sur moi-même alors que j'étais déjà timide. J'ai fait beaucoup d'effort, j'y ai beaucoup pensé, observé les gens sociables mais je n'ai jamais réussi à tisser de réels liens amicaux avec quelqu'un, chez moi quand le téléphone sonne ce n'est JAMAIS pour moi, je dois être maladroite mais je ne sais pas vraiment où ça cloche...
aujourd'hui je n'ai aucune amie et je ne fait plus d'effort pour en avoir, je me suis habituée à ma solitude et je ne peux plus m'en passer au point où la présence des autres me pèse, me derrange, maintenant c'est moi qui les rejette.

J'ai lu vos témoignage et cela m'a touché de voir que d'autres personnes vivent les choses un peu comme moi.
J'ai toujours eut des problemes de solitude, je ne suis pas associable, je parle tres facilement mais j'ai du mal à faire en sorte que les gens s'attachent à moi. Je me sens souvent inintéressante, j'ai toujours trop tendance à parler de moi, et je n'écoute les autres que dans l'espoir qu'il s'intéresseront plus à mes problemes.
En fait je vois trop peu de monde et quand j'ai l'occasion de rencontrer quelqun c'est comme si une partie de moi se jettait sur l'occasion pour décharger tout ce qui n'avait pas pu sortir. ça fait que les rares amis en ont marre. En plus j'ai récement perdu tout mes amis liés au théatre, qui ne se sont pas révélé être des amis. Cette expérience ( que j'ai raconté sur ce forum) m'a encore plus renfermé sur moi meme parceque je ne fais plus confiance aux gens maintenant. Je sens qu'ils peuvent me trahir à tous moment, ça ne m'obsede pas mais ça reste comme une "arriere pensée ".
Et pour arranger le tout j'ai des tendances cyclo timiques qui sont tres dur à gérer pour les amis et la famille. Un jour je me sens grandiose et le jour d'apres mon moral est à -5 !
Tout ça fait que j'ai tres peur de ne jamais arriver à trouver des amis ou même à avoir une relation amoureuse qui dure plus de 15 jours !! J'espere qu'avec le temps j'arriverrai à gérer u ntel caractere et à l'améliorer

Pour moi la solitude n'est pas un choix. C'est plus qu'une prison c'est l'enfer sur terre. J'ai toujours eu du mal a me faire des amis et à garder les copains ou copines que je me faisais à cause des aléas de la vie. A 27 ans célibataire et sans véritable ami s avec qui sortir (à par mes collèques plus agés que moi et mariés), je vis depuis trop longtemps repliée sur moi même. De nature timide et réservée je ne sais comment me faire des amis mais je fais tout aujourd'hui pour changer cela en sortant plus et en allant sur certain sites internet comme celui là.
De ce fait j'ai du mal a comprendre ceux qui se disent solitaires ou qui aiment la solitude. Moi je recherche le contact, l'amitié, l'amour, l'échange et le partage. Sartre disait que "l'enfer c'est les autres" mais sans les autres on est rien. On n'existe pas.

Bonjour,

Je suis souvent confrontée à la solitude. Ca m'arrive depuis que je suis entrée au lycée ( j'ai 17ans) et ça me pèse...
J'ai peur de me dévoiler et de montrer réellement qui je suis aux autres. La solutide est pour moi une contrainte: j'aimerais tellement me faire acceptée par tous ls autres.
je ne m'accepete pas moi même dc comment les autres pourraient-ils m'accepter. je ne veux pas leur montrer ce que je suis je ne maime pas.

c'est bizzare,je lis vos mails et je me reconnais...surtout dans le premier je pense...voila,j'ai peur des gens,j'ai peur des groupes...
toujours,je me tais...
Je déteste l'hypocrisie des gens,je n'aime pas ceux qui se mettent en avant,je ne veux pas jouer le jeu...
Au début,je me plaisais dans ma solitude puis maintenant j'en suis prisonnière...je ne sais plus me faire de nouvelles connaissances,les discutions me semblent toutes futiles,je ne sais plus parler de moi...
JE me sens vide et inhumaine...j'en ai marre de ce calvaire ca fait presque deux ans et ca ne fait qu'empirer!
Alors,je fais la fete,c'est la seule manière de me sentir vivante...apres je trouve ca LAMENTABLE...spirale infernale...

Il reste un avenue qui n'a pas été dit.

au début devenir solitaire dans mon cas, à été par obligation, non pas par peur des autres, mais par avoir été blessée, trahis, et manipuler, par des personnes qui se disaient mes amis(es) , que j'étais tout pour eux etc....

je l'ai fais pour me protéger, même si les gens qui me côtoyait disait
que j'étais sauvage, jusqu'à me traiter d'anti-sociale, parce que je me retirais des groupes de gens. malgré leur moqueries et tout, j'ai fini par apprivoiser la solitude, je m'en suis faite une alliée.

je suis devenue solitaire par obligation au début et par la suite par choix.
je ne suis pas obliger d'écouter , de me ranger derrière les autres pour me sentir bien.

je suis mieux être seule que d'être accompagner de supposer amis(es)
qui ne chercheront qu'a prendre une partie de moi et de me jeter par la suite.

je n'ai plus l'envie de sortir de L'ombre pour me faire des amis(es)
j'en ressens plus le besoin, j'aime bien faire mes choses seule ( ou avec mon mari) mais sans plus.

La solitude à la longue devient la seule amie , de la personne solitaire, et ce n'est pas malsain , mais bénéfique pour moi du moins!!!!

Quand, j'ai envie de voir du monde, bien je vais prendre une marche et je dis simplement bonjour à a personne que je croise et voilà , je me sens mieux.

Bonne soirée !!!
TiteBrise

jusqu'à ce que je m'aperçoive que pour mon cas, c'était une forme de protection contre les autres, cela explique aussi pourquoi je m'y sentais si bien, j'étais comme dans un cocon rassurant, dans mon univers

depuis que je me suis rendu compte, qu'en fait c'était de la peur de vivre, j'ai décidé d'ouvrir à nouveaux les portes, et de ne pas me contenter de l'amitié déjà acquise et rassurante de mes "vieux" amis.
Même si je ne me fais guère de nouveaux amis, cela ne se commande pas, même si on peut travailler à approfondir la relation, je serai désormais ouverte au monde, et sur le qui-vive dès que je commencerai à me renfermer dans ma tour d'ivoire

Merci... C'est tres instructif se que vous écrivez.. J'adore tes.. Mots Samy.. tres bien écris.. et bien rendu.. Merci...

Salut

Ça ne m'offense pas ce que tu dis, pourtant je me sens concerner. Je suis consciente et je vis avec les conséquence de ce que je suis et je peux dire que je fais parti des solitaires par choix qui donne rarement des coups de fil. Je ne le fais pas méchamment, seulement par façon de voir les choses. J'avoue avoir perdu des amis à cause de ça. Je ne leur en veux pas et je ne m'en veux pas. Je suis bien comme je suis et eux auront une place pour trouver une personne qui correspondra à ses attentes.

Malgré ces pertes, il m'en reste encore qui respecte ma façon de vivre. Ils savent qui je suis, mes intérêts. C'est clair pour eux que je ne les appelle pas pour parler de la température, je les appelle seulement quand j'ai quelque chose d'important ou que pour une raison ou pour une autre j'ai le goût de faire quelque chose. Eux par le même fait, ils ne m'appellent pas pour m'inviter puisqu'ils savent que la plupart du temps je dis non et il m'appelle lorsqu'ils ont quelque chose à raconter. Pas en l'espoir que je ferai de même. Du donnant-donnant, je crois que c'est un peu hypocrite et dans mes intérêts c'est pire qu'une personne solitaire par choix.

Je trouve que par rapport à mes intérêts c'est pousser trop loin de dire que les personnes solitaires par choix sont dans le "non dit des émotions, dans l'abondance de son angoisse ". Pour être une solitaire par choix, je peux te confirmer que je vis des émotions et que je suis loins d'être angoisser. La seule chose que je peux voir dans cette phrase, c'est que la personne subissait sa solitude, peut-être une phobie ou je ne sais quoi, ou bien, ce sont des termes employés par ta personne pour décrire une personne ou un état incompris puisque ça ne fait pas parti de tes intérêts. Encore là je ne le dis pas méchamment, je respecte cette façon de voir les choses. Je veux juste dire qu'il n'est pas nécessaire de généraliser pour tout le monde puisque ce n'est pas le cas, vue que ça ne me concerne pas.

Puis pour ce qui est de la liberté, oui j'ai réfléchi et toi? Pour ce qui est de celle par rapport à l'opinion d'autrui est que je ne suis pas obliger de tout prendre pour vrai, c'est à dire de tout partager, mais je me dois de l'écouter s,il veut la dire et la même chose pour ce qui est de la mienne. J'ai le droit de la partager ou non, j'ai le droit d'être écouter, sans que la personne se sente obliger de partager mon point de vue. Dans ce cas pour moi la liberté c'est une règle qui respecte les deux côtés de la médaille au même niveau sans aucune faiblesse.

Puis celle concernant mon opinion que j'ai sur moi, bien ça revient à peu près au même. J'aime ce que je suis, si je n'aime pas ou je n'aime plus, je change. J'accepte mes défauts et mes qualités. Je suis fière de ce que je suis et je ne me morfond pas sur ce que j'aurais pu être, car je ne serais pas ce que je suis. Je ne pleure pas sur ce que j'ai perdu non plus, sinon encore une fois, je ne serais pas ce que je suis présentement.

Je veux juste te dire que les personnes que tu as perdu sont surement très bien présentement pendant que tu te poses des questions par rapport à leur sujet. C'est ce genre d'indépendance, de bien-être et de liberté que je parlais plus haut. Donc ça peut juste être bien pour toi que ces personnes aillent quitté puisqu'il avait surment trop peu d'intérêts réciproques. Peut-être que cette place libéré occasionnera pour toi des liens plus durables et plus sociables à ta valeur.

bonne soirée

Moon

Salut Yeltas!

Je ne veux pas m'obstiner sur ta manière de penser, c'est une philosophie comme un autre de vivre qu'en écoutant son corp, mais je voulais juste faire une constatation. Tu dis n'avoir aucune connaissance sur la psychologie, la philosophie et la littérature. Tu en aurais pas plus que tu penses? Tu dis te baser que sur ton corps, alors pourquoi donnes-tu des noms à ce que ton corps ressens?

Puis je ne partage pas ton point de vue par rapport à la solitude et être solitaire. Tu fais une différence entre les deux et pour ma part, je ne crois pas qu'il en a. J'aime la solitude ce qui fait de moi une personne solitaire. Solitaire est l'adjectif qui désigne une personne en état de solitude. Ça ne fait pas de l'un mauvais et l'autre non. Si tu es mal à l'aise avec la solitude, ça ne fait pas de toi une personne qui aime être solitaire. Puis au contraire si tu aimes la solitude alors tu aimes être solitaire! Pis ça ne veut pas dire que tu dois être nécessairement tout un ou tout autre, tu peux être un plus que l'autre ou moitié-moitié tout dépendant des occasions! Mais si tu es tout un solitaire ou tout sociable, est ce qui en a un qui es mieux que l'autre?

Ça prouve justement le fait par rapport à la question que je me posais dans mon message précédent, qu'il existe réellement des personnes qui classent la solitude comme étant malsaine. Mais pourtant je ne me sens pas malsaine parce que j'aime la solitude, je ne me sens pas faible ou quoi que se soit. Existe-t-il au moins des recherches qui prouvent qu'un être solitaire est plus ou moins à risque d'être malade mentalement, d'être plus ou moins intelligent ou être plus ou moins réceptif au émotions qu'une personne sociable? Ou se base-t-on sur des dires de personne forcés de vivre solitairement quand se n'est pas ce qu'ils recherchaient?

bonne soirée

Moon

Je n’ai aucune connaissance en psychologie, philosophie ou littérature.
Ma seule source de connaissance est mon corps, ses perceptions, ses émotions et les sentiments que je définis comme un tableau sensitif créé à partir de sensations présentes ou mémorisées qui donne un état d’âme ; la peur, la colère, le plaisir, la joie, l’indifférence....
La solitude c’est quand j’ai pleinement conscience d’être séparé des autres par mon corps, qu’aucun sentiment ne me donne l’illusion du contraire et qu’il me prend l’envie d’être avec l’autre.
Etre solitaire, c’est cette même conscience mais associé à une sensation de toute puissance et de maîtrise de mon monde, qui n’a besoin d’aucun autre.
Je n’aime pas me sentir en solitude, mais j’adore être solitaire. La solitude est mélancolie, être solitaire est passion.
être solitaire est une force qui effraie, c'est une liberté, une indépendance qui laisse pas de place pour les liens conventionnels. Ma famille et mes amis m'acceptent comme je suis et savent la valeur unique que je donne à la relation. Puisqu'il n'y a rien d'obligé, de convenu, chaque rencontre devient importante.
Bien sûr certains peuvent me croire égoïste, indifférente, parce que je ne cherche pas la compagnie, c'est leur droit et ça ne me touche pas.
Bonne soirée et merci de vos mots

La solitude n'est pas seulement un symptôme de maladie, ni même une maladie comme j'ai l'impression que beaucoup de personnes croient! J'entends souvent je souffre de solitude, la solitude est blessante et même meurtrière. Les côtés négatifs sont flagrants, mais il y a toujours deux côtés à la médaille, mais où le deuxième est-il repésenté?

Quand on aime être solitaire, j'ai l'impression qu'on doit toujours se battre pour essayer de prouver qu'on est sain d'esprit, qu'on n'est pas malade, ni bizarre, qu'on aime seulement être solitaire. On doit tellement se battre que parfois le monde nous fait sentir mal à l'aise, jusqu'à un tel point de vouloir se cacher de l'être. Ce n'est pas mon cas, mais j'avoue qu'étant plus jeune je le vivais très mal. Est-ce qui en a qui on cette impression là aussi?

Bien à vous,

Moon

Il y a deux sortes de solitude, celle qui se vit par propre choix, et celle qui est imposé par les circonstances de la vie. La solitude imposé est une prison car elle nous empêche de croître, d'aprendre, de partager, d'aimer. La solitude par choix est un regard vers notre interieur. Elle nous permet de nous connaître mieux, et du même coup de mieux conna^tre les autres. On devient plus tolérant, plus comprehensifs, c'est une experience enrichisante si on veut bien chercher le bon côté de toute experience. La solitude par choix est le plus souvent passagère, un laps dans le temps. Un don du ciel. Si on vit la solitude imposée, rien ne nous empèche d'en profiter et de tenter d'en aprendre quelque chôse de positif pour notre vie personelle. Ca a été mon cas et je ne m'en porte que mieux. Pour que le monde qui nous entoure change, il faut juste changer notre perception du monde.

La solitude n’est ni l’absence ni le manque.
La solitude c’est la conscience d’être unique, d’être seul et entier quoi qu’il arrive. C’est un regard aiguisé sur le monde, la certitude de ne jamais attendre de l’autre, de faire pour soi.
La solitude c’est la lucidité et la valeur de la rencontre qui ne dure qu’un temps.
La solitude est ma force, ma liberté.

Salut!

Je peux moi aussi me déclarer comme une grande solitaire. :? Je me sens mieux ainsi au grand désarroi de ma famille, surtout ma mère. On dirai que puisque c'est hors du commun ou moins fréquent de voir des gens solitaire, on passe pour des anti-sociales ou malade. Pourtant ce n'est pas le cas, je m'entends très bien avec les personnes moi aussi, au travail je suis appréciée de pas mal tout mes collègues, je blague, je discute, je travaille avec eux sans problème. Et je sors parfois dans des party quand le coeur m'en dit et je me fais du plaisir. Mais c'est rare que j'ai le goût.

J'ai pas de misère de vivre ainsi, c'est mon choix, je suis bien ainsi, mais le plus dur, c'est ma mère (même si je ne reste plus chez elle) qui me pousse dans le dos assez souvent pour que j'appelle des amis d'enfance ou des collègues de travail pour faire des activités, ou que j'aille chez elle quand elle reçoit de la visite, elle me dit que ça me ferait du bien de voir du monde, que ça me remonterait le moral, blablabla! Dans ce temps là je reste comme ça :arrow: 8O Pourquoi? Est-ce qu'être solitaire veut dire que j'ai le moral à plat ou que je ne feel pas? Au contraire, avant je me brulais à sortir même si ça ne me tentais pas, à me mentir sur ce que j'étais parce que je voulais être comme tout le monde. Maintenant je sais qui je suis et je sais que sortir ne fais pas parti de ma vie, le sociale plus ou moins aussi. Je m'écoute je fais ce qui me plait quand ça me plait que ça plaise ou non. Il n'existe rien de plus pour être heureuse je crois! Non c'est pas vrai, il manque peut-être l'amour de sa vie :D

Moi aussi j'ai l'impression que mes intérêts ne sont pas ceux de la majorité du monde. Moi aussi l'alcool, ne fait pas parti de ma vie même si quelque fois je fête fort. la télé non plus mis à part quelques émissions qui intéresse pas ceux de mon âge, l'argent, la mode, le matérialisme non plus. Et encore moins les ragots, sauf peut-être s'il me concerne, ça peut toujours être intéressant! :P

Pour ce qui est des liens affectifs qui sont faux ou des conversations vides, je ne suis pas du même point de vue que toi. Je ne sais trop comment dire, ça dépends des personnes et ce n'est pas parce qu,on ne partage pas les opinions ou les intérêts de la relation ou de la conversation que c'est nécessairement faux ou vides. L'autre personne peut tenir énormément à toi sans que ça soit réciproque et la conversation peut être très constructive même si son contenu ne comprends pas nos intérêts.

Puis c'est vrai qui a beaucoup de gens qui ne se rende pas compte de se qui dise et qui font le contraire, je partage encore ton point de vue la dessus, mais ce n'est pas tout le monde qui est ainsi. Et ceux qui le font, je me dis que c'est peut-être fait inconsciement, donc ce n'est pas nécessairement un mensonge. C'est comme s'il manquait un lien entre la pratique et la théorie. C'est comme à l'école en Science. Ce n'est pas parce que tu possèdes complètement et parfaitement la matière que tu passeras haut la main dans les cours en Laboratoire, y va falloir de la pratique. Alors j'imagine que c'est du pareil au même dans la vie, on peut possèder la théorie et le dire, sans trop savoir la mettre correctement en pratique, mais je ne crois pas que c'est malsain pour autant y'a au moins 50% du chemin de fait dans le bon sens, c'est toujours mieux que pas pantoute. :lol:

Moi j'adore être seul et philosopher, regarder le monde fonctionner. À l'école (CEGEP), je me plaisais de regarder le monde dans le hall, regarder le comportement de chacun. Je m'installais au deuxième, parfois au troisième et je m'accotais après le garde et je regardais en bas, au premier. C'est peut-être une de mes passions qui fait que je suis solitaire. C'est plutôt dur de philosopher en groupe! :lol:

bonne soirée

Moon