salut,je te trouve super de poursuivre avec ton psy..moi j'ai peur, je me sent rejetee de ma famille qu s .loigne de moi, je veux dire soeur,frere beau frere et enfants..je me sent si seule interieurement,m je ne peut parler, je ne fait que sourire lorsque je les voit de loin, un bye byem, et bonsoir...je vais déménager loin d eux peut etre pourraisje oublier, j ai 60 ans et je voit qu les gens s eloignent ont ils peur de prendre soin de moi, pourtant je ne demande rien..
quidam
Re: Enroute : la raison/ les émotions
bonjour personnellement depuis 3 mois je vie un rejet. je n ai rien vue venir.J ai arreter de manger et de boire je me suis retrouver a l hopital et maintenant je prend quelques medicament qui ne me von pas dutout.J ai de l aide de ma famille et d une amie mais aussitot que je me retrouve seul je ne fait que pleurer et m apitoyer sur mon sort.Pourtant je suis une femme qui a toujours eu confiance en elle et j avais du caractere.Je ne me reconnais plus dutout et ma famille non plus et il son tres inquiet pour moi.Ma soeur ma recommender se site ses la premiere fois ce soir que j ecris.Je me suis laisser infentiliser et je me suis laisser abaisser et je ne sais pas quand tout cela vas finir j ai mal de vivre.
Gina
Gina
Re: Enroute : la raison/ les émotions
Bonjour Enroute,
Egalement, je suis en psychothérapie depuis plus de 6 mois déjà. J’ai été, car même si j’ai du mal à le reconnaître, j’étais plus bas que terre psychologiquement et physiquement. J’étais devenu un véritable déchet humain, une véritable épave suite à des nombreuses expériences de ma vie. Heureusement pour moi, je me suis repris et revenu comme auparavant une personne qui contrôle et maîtrise tout. Avant cette prise en charge, j’ai accepté pour la première fois (et la dernière) de faire confiance en une personne et d’accepter de l’aide. Je dois avouer que grâce à elle, je ne serai peut-être plus en vie actuellement. Mais malheureusement, celle-ci s’est retournée contre moi. Je ne lui en veux pas car il est vrai que je lui ai empoisonné la vie et qu’il ne peut pas comprendre car il n’a pas vécu les mêmes expériences que moi. Une chose qui est certaine, jamais de ma vie, je n’ai voulu faire de mal ou empoisonné la vie de la moindre personne. A tout dire, j’aurai préféré mourir. Malheureusement, nous ne pouvons pas changer le passé. Il est comme il est.
Très vite, je me suis repris comme à l’accoutumée. Depuis lors, je ne ressens quasiment plus rien. J’en fais des efforts ; suivre une thérapie, des séances d’auto hypnose, des lettres,… Malheureusement, rien ne vient à tel point que je n’ai même pas d’attirance sexuelle malgré mon jeune âge 22 ans. Bien entendu, j’ai interpellé ma psychothérapeute car j’ai l’impression de n’apporter que du vide. Je ne sais pas quoi lui raconter car ma vie n’est pas intéressante et de ce fait, je n’ai rien à lui apporter. Je suis un véritable néant. Malheureusement, elle ne m’a pas apporté beaucoup de solutions à tel point, que lors d’une de nos séances, nous sommes un peu querellés à ce sujet. Par mes doutes et mon manque de résultat ou de ligne de conduite, elle a cru que je remettais en cause sa méthode. Bien au contraire, je voudrais qu’elle m’apporte quelques astuces afin de ramener mes sentiments à mon cœur et non à ma tête. J’ai l’impression de n’avoir fait qu’un stand-by depuis le début.
Jusqu’à présent, je pensais être seule dans cette situation et ton petit mot me réconforte d’un certain côté. Je peux en conclure que ce n’est pas une fatalité personnelle. Si tu peux reposter un message pour expliquer ton évolution cela me ferait plaisir également…
Bonne chance.
Sébastien
Ps : M. ARENSTEIN,
Dans votre réponse, vous dites que l’on doit demander à notre psychothérapeute des astuces afin de ré apprivoiser graduellement ses émotions. Pour ma part, je n’ai pas eu de réponses à cette question. Auriez-vous la délicatesse de nous aider ce sujet.
Merci d’avance…
Egalement, je suis en psychothérapie depuis plus de 6 mois déjà. J’ai été, car même si j’ai du mal à le reconnaître, j’étais plus bas que terre psychologiquement et physiquement. J’étais devenu un véritable déchet humain, une véritable épave suite à des nombreuses expériences de ma vie. Heureusement pour moi, je me suis repris et revenu comme auparavant une personne qui contrôle et maîtrise tout. Avant cette prise en charge, j’ai accepté pour la première fois (et la dernière) de faire confiance en une personne et d’accepter de l’aide. Je dois avouer que grâce à elle, je ne serai peut-être plus en vie actuellement. Mais malheureusement, celle-ci s’est retournée contre moi. Je ne lui en veux pas car il est vrai que je lui ai empoisonné la vie et qu’il ne peut pas comprendre car il n’a pas vécu les mêmes expériences que moi. Une chose qui est certaine, jamais de ma vie, je n’ai voulu faire de mal ou empoisonné la vie de la moindre personne. A tout dire, j’aurai préféré mourir. Malheureusement, nous ne pouvons pas changer le passé. Il est comme il est.
Très vite, je me suis repris comme à l’accoutumée. Depuis lors, je ne ressens quasiment plus rien. J’en fais des efforts ; suivre une thérapie, des séances d’auto hypnose, des lettres,… Malheureusement, rien ne vient à tel point que je n’ai même pas d’attirance sexuelle malgré mon jeune âge 22 ans. Bien entendu, j’ai interpellé ma psychothérapeute car j’ai l’impression de n’apporter que du vide. Je ne sais pas quoi lui raconter car ma vie n’est pas intéressante et de ce fait, je n’ai rien à lui apporter. Je suis un véritable néant. Malheureusement, elle ne m’a pas apporté beaucoup de solutions à tel point, que lors d’une de nos séances, nous sommes un peu querellés à ce sujet. Par mes doutes et mon manque de résultat ou de ligne de conduite, elle a cru que je remettais en cause sa méthode. Bien au contraire, je voudrais qu’elle m’apporte quelques astuces afin de ramener mes sentiments à mon cœur et non à ma tête. J’ai l’impression de n’avoir fait qu’un stand-by depuis le début.
Jusqu’à présent, je pensais être seule dans cette situation et ton petit mot me réconforte d’un certain côté. Je peux en conclure que ce n’est pas une fatalité personnelle. Si tu peux reposter un message pour expliquer ton évolution cela me ferait plaisir également…
Bonne chance.
Sébastien
Ps : M. ARENSTEIN,
Dans votre réponse, vous dites que l’on doit demander à notre psychothérapeute des astuces afin de ré apprivoiser graduellement ses émotions. Pour ma part, je n’ai pas eu de réponses à cette question. Auriez-vous la délicatesse de nous aider ce sujet.
Merci d’avance…
Re: Enroute : la raison/ les émotions
Bonjour Enroute,
Je ne sais pas si je peux t'aider, mais je tiens à partager ma toute petite expérience avec toi. Cela, j'espère te donnera la force et la volonté de persévérer dans ta thérapie parce que ça en vaut vraiment la peine.
Moi aussi j'ai commencé une thérapie il y a peu de temps, et je parlais toujours avec ma tête. Pas de sentiments pour moi... du moins pas question de les voir et d'y faire face. Pas question de les accepter et de les transmettre. J'avais l'impression que la thérapie tournait en rond, que ça ne débouchait à rien, l'impression comme toi que rien n'évoluait.
Néanmoins, lors de la dernière rencontre, mon psychoéducateur à pousser un peu plus. Je réssistais, j'avais peur. Il a tenu à me mettre un ourson en peluche dans les bras et je me sentais tellement ridicule!
Et lui il insistait pour que ça soit mes émotions qui lui répondre et non pas ma tête, et moi je résistais. Comme il y avait une feuille de papier sur la table et un crayon, j'ai demandé à écrire, parce que j'étais incapable de parler.
Il m'a expliqué ensuite que les sentiments c'était le monde de l'enfance et que j'avais besoin d'un objet pour faire la liaison avec mes émotions que je repousse si loin en moi.
Ce n'est pas parce que le toutou a fonctionné avec moi qu'il le fera avec toi. C'est à ton thérapeute de t'aider, mais tout cela peut te démontrer que la patience et la détermination peut réussir à faire évoluer ta thérapie.
Aie confiance, ça en vaut la peine.
Je ne sais pas si je peux t'aider, mais je tiens à partager ma toute petite expérience avec toi. Cela, j'espère te donnera la force et la volonté de persévérer dans ta thérapie parce que ça en vaut vraiment la peine.
Moi aussi j'ai commencé une thérapie il y a peu de temps, et je parlais toujours avec ma tête. Pas de sentiments pour moi... du moins pas question de les voir et d'y faire face. Pas question de les accepter et de les transmettre. J'avais l'impression que la thérapie tournait en rond, que ça ne débouchait à rien, l'impression comme toi que rien n'évoluait.
Néanmoins, lors de la dernière rencontre, mon psychoéducateur à pousser un peu plus. Je réssistais, j'avais peur. Il a tenu à me mettre un ourson en peluche dans les bras et je me sentais tellement ridicule!
Et lui il insistait pour que ça soit mes émotions qui lui répondre et non pas ma tête, et moi je résistais. Comme il y avait une feuille de papier sur la table et un crayon, j'ai demandé à écrire, parce que j'étais incapable de parler.
Il m'a expliqué ensuite que les sentiments c'était le monde de l'enfance et que j'avais besoin d'un objet pour faire la liaison avec mes émotions que je repousse si loin en moi.
Ce n'est pas parce que le toutou a fonctionné avec moi qu'il le fera avec toi. C'est à ton thérapeute de t'aider, mais tout cela peut te démontrer que la patience et la détermination peut réussir à faire évoluer ta thérapie.
Aie confiance, ça en vaut la peine.