Victime de harcèlement moral

Vous êtes la victime de déficients extrêmement dangereux,comme moi.Le véritable problème est de trouver des personnes honnêtes qui s'occupent de ces comportements et le plus souvent,il faut que ces personnes possèdent des pouvoirs d'intervention pour pouvoir vous aider.Si j'aurais terminé mon barreau ou mon cours de psychologie,je me serais spécialisé dans ce domaine qui est pour le moins inexistant dans nos régions.Je suggère aux personnes atteintes par ces agressions extrêmement dangereuses de dénoncer constamment aux autorités supposées compétentes et de vous dire que les harceleurs sont des malades mentaux extrêmement dangereux et que cette dangerosité cache le plus souvent des personnes déficientes mais très organisées.Le véritable secret des victimes de sectes réside dans le fait que les harceleurs sont très organisés et cela le plus souvent avec les systèmes judiciaires et même juridiques et que plus vous contactez de personnes honnêtes pour dénoncer et plus il y a de chance de démanteler ces personnes déficientes extrêmement dangereuses.Au Québec et même en Amérique,nous sommes loin d'une société qui s'occupe de ses malades mentaux et que nous devons nous battre pour intégrer une protection adèquate contre ces malades mentaux extrêmement dangereux et contre la technologie actuelle dont se sert ces déficients extrêmement dangereux.Dans les conférence d'Angélo Sauries,de la chaire de l'UQAM,ils nous définissent,nous,les victimes,comme étant en danger de mort mais personne ne s'occupe de cette dangerosité,c'est inacceptable et complêtement irraisonnable.Le harcelé est le plus souvent interné,maltraité et même emprisonné et les déficients extrêmement dangereux continuent leurs crimes crapuleux,le plus souvent en connivence et protégé par les services judiciaires.Il est important de dénoncer et de dénoncer.....
Merci de votre attention.

Bonjour,

J'ai lu ton témoignage avec l'impression que c'était moi qui écrivais - j'aimerais très sincèrement pouvoir échanger avec toi et qui sait, peut -être trouver des idées à deux

ce que tu vis est un vrai cauchemar et personne ne peut comprendre sans être passé par là...(je sais de quoi je parle malheureusement) je suis en train de lire bcp au sujet des pervers narcissiques et c'est fascinant car je me retrouve tellement dans le camp des "victimes" : c'est ^pour moi reconfortant de voir que je ne suis pas la seule dans ce cas, et que ces "êtres" immoraux ont enfin un nom... il reste à guérir mais comment...

à très bientôt je l'espère

Je pense, suis presque certaine d'avoir eu a faire à un pervers, quel art si subtil de la manipulation, d'autant plus aisée pour moi qui, outre un dérèglement de l'humeur, suis dépendante affective. A distance, le manège a continué. Des centaines de fois j'ai tenté d'arrêter la machine. J'ai mêm mis en confidence mes amis. Résultat, plus on en parle, moins on est crédible, d'autant qu'a chaque fois partiquement, c'est moi qui ait craqué" et l'ai recontacté...A croire "quelle aime ça";..bien sûr, c'est plus subtil que cela, mais, c'est ce que je lis ds les yeux incrédules de mes amis...que je commence à détester. Je sais que ce sentiment n'est pas bon, qu'il signifie sa vistoire à lui...mais je suis ds un étét proche de la dépression car j'ai reçu 3 lignes de nouvelles aujourd'hui....J'ai un psy a qui je me suis décidé a en parler. Mais, toujours cette mêm ilmpression de n'être entendu "oublie le" m'a t-il dit....je sais plus quoi faire et me sens tellement vide...a force d'entendre que je me complais, que je suis une pov' fille, je finis par le croire, et j'arrive mêm a me faire du mal physiquement. J'ai des puulsions qui ne m'effraient mêm plus, j'ai , je l'avoue envie d'être en paix, de ne plus entendre ces injures qui résonnent...qqs jours après mon IVG...tjous avec mon bourreau...mon propre frère m'a juste traité de pute en me disant que je n'avais qu'a sourire et écrater les jambes devant un bidasse comme celui ci. Ma famille est un cocon, un cocon d'amour mais parfois un enfer....je ne sais plus ce que je fous ici, j'en peux plus ce soir...