L'APA s'est limitée à réaffirmer son opposition à la torture et a appeler ses membres à ne pas participer à des interrogatoires de prisonniers impliquant des techniques comme les simulations de noyades ou d'exécutions.
Une position similaire avait déjà été adoptée en 2006.
Certains membres souhaitaient un moratoire total concernant la présence de psychologues dans les prisons telles que Guantanamo, comme l'ont fait l'American Medical Association et l'American Psychiatric Association.
D'autres faisaient valoir qu'il valait mieux assurer une présence dans ces lieux pour apporter une aide aux détenus.
Un rapport du ministère de la Défense récemment déclassifié confirme que depuis 2002, des psychiatres et psychologues ont aidé les interrogateurs militaires à développer de nouvelles techniques afin de soutirer des informations aux prisonniers.
Psychomédia avec sources : Le Monde, Le Nouvel Observateur.
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