"On a beaucoup discouru récemment sur les objectifs de l'enseignement de l'histoire, sur les raisons de la connaissance du passé. On a insisté sur l'importance de cette connaissance pour développer l'identité socio-politique de l'élève, pour donner forme à sa conscience de citoyen. De tels objectifs, valables, sans doute, ne font cependant qu'effleurer l'intention première du retour sur le passé;
celle-ci est de développer chez le jeune sa capacité de conceptualiser la notion de temps, de se situer dans la durée, c'est-à-dire de percevoir les diverses dimensions du présent, la temporalité du passé et le passage au futur.
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Voyez également:
La réforme scolaire est un échec selon les enseignants (Québec)