Selon le policier les deux hommes prévoyaient de faire des «choses horribles» à la fillette : la violer durant tout un week-end à Rouen, la marquer au fer d'un "S comme soumise", filmer les viols et les tortures avant de la libérer.
En mai le cerveau présumé, un employé de France Telecom de Rouen, père de famille de 49 ans, a présenté au policier belge la cache dans laquelle se trouvait du matériel sado-masochiste et une paire de menottes où il entendait enfermer la fillette qui devait encore être choisie à la sortie des écoles.
Neuf jours plus tôt, son complice présumé, un peintre niçois de 41 ans, également père de famille, qui devait fournir la camionnette nécessaire à l’enlèvement, a été interpellé à Nice alors qu'il s'apprêtait à commettre une agression sexuelle sur des fillettes de son entourage. Sa responsabilité dans deux viols et agressions sexuelles commis sur des fillettes de 9 et 12 ans dans son entourage a été mise à jour.
Une troisième personne, un militaire de 30 ans, basé à Orléans a été un temps en relation avec les deux complices mais n'a pas pris part au projet et n'est poursuivie que pour possession d'images pédopornographiques. Le parquet de Rouen a fait appel de la décision de ne pas le placer en détention.
Sources:
Le Figaro
Le Nouvel Observateur
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