lorsque il a casser mes espoir,
rendant mon corps transparent,
invisible devant tout miroir.
que pouvai-je faire,
même ma voix était muette,
oublians tout de cet univers,
alors que je portait encore des cuettes.
mes seules armes,
était mes larmes,
mais même mes pleures,
ne m'ont laver de ce malheur.
personne ne m'avait expliquer,
que l'homme est dangereux,
qu'il y a des obséder,
qui rendent les enfants malheureux.
j'ai rien pardonner,
car je n'était qu'une enfant,
depuis les mains de ce cinglé,
dans ma tête le mot "attouchement".
boudinage