Je suis assis dans le coin gauche tout près de la fenêtre, nous sommes en octobre 1978, Micheline est ma nouvelle institutrice. Je ne suis pas fier, car de toute façon, je n’ai pas envie d’être en classe .Ma tête oscille entre la maison et le devoir d’être assis sur ce banc laid et inconfortable.
Du même élan, elle me tape fort sur le bureau pour me dire, « « aille Hommemauve, as-tu appris ton notre père ? » » Je lui fit signe de la tête négativement. Cette frustrée sexuelle n’aurait jamais eu l’idée de voir plus loin que le bout de son nez car la veille, j’avais reçu au moins 10 coups de ceinture, et je suppliais mon père d’arrêter. Il avait baissé mon pantalon pour faire cet acte, il disait qu’il allait me casser le caractère. -Soudain, elle se mit à crier devant tous les camarades de classe « « sort de la classe et va faire du piquet dans le corridor ». Je vivais une frustration de la part de cette marâtre, qui n’avait pas envoyée les autres camarades, qui tout comme moi n’avaient pas appris également le notre père. Elle savait pertinemment bien que je venais d’une famille à trouble et que valait mieux selon moi, pour elle ,de s’occuper des élèves modèles, car elle n’avait pas le temps à concentrer aux perturbateurs. -Ce n’étais pas une garderies l’école……
Ce jour devint « «le jour du blocage franciser» »je ne pouvais rentrer dans la classe qu’à compter du jour ou j’aurais récité le (notre père) devant la classe. -Hommemauve ne voulait pas céder encore une fois à cette immorale personne au quotient intellectuelle déficiente profonde ! Une catastrophe cette femme. J’ai resté dans le corridor 4 jours, j’ai du abandonner ma riposte car mon père avait été mis au courant et j’avais récolté une volée de plus, j’ai dû alors apprendre le notre père.
Lors de la citation de mon (notre père) cette paraplégique d’esprit me regardait d’une air à dire, tiens toi. En ce jour, une deuxième information était inscrite à mon inconscient.
Inutile de vous dire que je ne passais même pas les qualifications requises pour pouvoir aller en 3e secondaire en français, ma note était de 57%..Je ne peux compter les jours ou cette institutrice m’a mis de coté parce que je dérangeais ou parce qu’elle reproduisait son incompétence sur moi. Ne croyez pas, que je vais vous dire, que j’étais un ange, alors là non !,j’ai fait péter les plombs à plus d’un prof dans ma carrière, j’étais un enfant perturbé, point à la ligne. Selon les conversations que j’avais alors épiés du coté de la porte du local des enseignants. « Il a rien à faire avec les tout croche »
Suivant la logique des choses, tous les cours de français que j’ai eu à traverser m’ont été un calvaire ! Une atrocité de l’esprit du Rebel ! Je n’ai jamais écouté un seul discours provenant de la bouche d’un professeur de français .j’ai coulé tout les cours de français de toute classe et cela avec preuves, il m’ont toujours laissé passer à l’étape suivante ayant des 58,59,54.
Pourquoi ce français est pour moi le signe de « Cadory » car je l’hais profondément .J’ai vécu « « le jour du blocage franciser » »
J’ai jamais pu avoir mon diplôme secondaire, car j’ai échoué le 4e secondaire en français, l’ayant refait sur le tard car c’étais une risée ce test du ministère, qui n’étais en fin de compte q’une dictée, mais attention, j’ai resté accroché au test du 5e secondaire, car j’avais fait du 1er secondaire au 4e secondaire en deux mois, ne passant que les tests et ne prenant pas le suivi des livres au sérieux,ni d’avoir lu quoi que ce soit.
Il me fallait donc me résilier à rester dans un travail qui n’exige pas gros de qualifications, ou tout de moins qu’un DEP..
Mais je commence depuis mon introspection à aimer le français, j’ai trouvé cette incroyable richesse en écrivant toute sorte de pensées avec vous tous sur le Web . En seulement 1 ans, je sens que j’écris de mieux en mieux ne sachant même pas ce que veux dire les multiples règles de français….
Je dois aller voir ce que me cache le français……car il me revient à moi depuis que j’ai arrêté de l’haïr.
Hommemauve