Stephen Bloom (Imperial College de Londres) et ses collègues ont mené une étude avec 12 participants une dose de PYY3-36 ou un placebo. Ceux qui ont reçu l’hormone, la quantité de nourriture consommée était diminuée du tiers. Les chercheurs y voient un nouvel espoir de traitement de l’obésité.
La liste des «hormones de la satiété» n’a cessé de s’allonger ces dix dernières années. La plus connue est la leptine. Découverte en 1994, cette hormone régulatrice du poids a suscité beaucoup d’espoirs, pour l’instant déçus.
Psychomédia avec source:
Le Nouvel Observateur