Pourquoi une telle reaction !?

Bonjour,

Le texte qui suit, est issu de commentaire et de réfléxions que je fait sur ma vie, car apres quelques années de repli sur moi, j'ai entamé une revolution sur moi meme. En effet, je me suis coupé du monde, et maintenant, j'en paye le prix, car je me retrouve seul, sans amis, à part ceux de mon travail. Le but de se poste et d'esayé de comprendre comment j'en suis arrivé là. Car je ne sais toujours pas pourquoi.

Si quelqu'un peux m'epliquer pourquoi j'ai reagi comme cela à une telle situation !? J'ai essayé de reflechire à d'autres causes liées à l'enfance, mais je ne vois rien de vraiment troublant. J'ai entamé la lecture du merveileur livre "Je réinvente ma vie", et bizzarement, j'ai un petit "score"(27)dans le schema "Abandon", un gros "score"(42)dans le shema "exclusion", et quatres autres shema en terme "modéré".

Je voudrais dire qu'a l'epoque j'avais 14 ans. J'en ai aujourd'hui 27 et je me sent heureusement de mieux en mieux, ses especes de toc, que j'ai eu, ont disparu à force de les metres à l'epreuves. Mon but aujourd'hui et de connaitre la raison de tout ceci. Merci de me lire.

Voici mon texte...

Je ne sais pas si le fait que je ne me lie pas aux gens, que je ne sois pas moi même en dehors de chez moi, soit la cause

d'une peur de reproduire un shema d'abandon. J'ai plutôt le sentiment de ne rien faire pour être aimé et accepté. Dans ma

vie "sociale" de travail, je met ma personnalité en stand bye, j'étouffe mon vrais moi, je n'hose me montrer tel que je

suis par peur que les autres m'aprecis. Peut être est ce le contraire, par peur qu'ils ne m'aprecis pas et donc qu'ils ne

m'acceptent pas !? Se serais donc plutôt un shema "d'exclusion". J’aurais peur que les autres m'apprécie ou ne m'apreci

pas !?

Lors du divorce de mes parents, j'ai fait une projection d'un lendemain radieux, de la reconstruction d'une nouvelle

famille. Je voyais déjà ma mère avec un nouveau marie et tout rentrerais dans l'ordre, mais rien ne c'est fait et rien ne

seras plus jamais comme avant.
Je voyais ma mère déprimé, en pleure et malheureuse. Je n'avais plus que ça en tête, faire quelle ne sois plus comme ça.

J’étais désemparé car aucune solution ne s'offrait à moi. Seul des rêves et des projections mentales pouvaient me sauver

de mon impuissance, la fuite du drame peut être.

Je me suis retrouvé, submergé par un grand vide, car le monde s'ouvrait devant moi, comme un tourbillon m'aspirant

inexorablement hors de chez moi, hors du dernier repère qui me resté après que ma famille fut brisé.

Il s'en suivi des jours et des jours de morosité. Je me levais difficilement le matin, car une journée de lutte contre le

quotidien s'imposait encore à moi. Je commençais à ritualiser mes pensées et mes gestes. Pour me rassurer sans doute, ou

pour m'assurer que tout cela n’aurait plus lieu. Je prenais les précautions qui me semblaient être bonnes. Peut etre les

seuls remparts contre les autres malheurs de la vie. Des que j'étais hors de chez moi, j'étais angoissé, et focalisé sur

la pensé de retourner chez moi le soir même.

Au début c'était un décrochage de mon esprit vers se que vivait ma mère et vers ma maison. Tout ce que je vivais à

l'instant n'avais aucune importance pour moi, cela ne me concernait pas, j'avais autres choses à faire, que d'aller

travailler au lycée. J'était donc dans un lieu, en l'occurrence le lycée, mais je n'étais pas dans se que je faisais, mon

esprit était ailleurs, focalisant toute mon attention à me tourné, vers le point de fuite de mon desepoire. Puisque je ne

pouvais pas être présent pour soutenir ma mère et l'aider, je m'efforçais de la soutenir et d'être pressent en pensé avec

elle.

Je pense cependant que la vraie cause de tout ceci, et le fait que j'aurais voulu fuir loin de tout ça. Pour effacer,

pour oublier cette souffrance. Je me souviens encore, aux poses de midi, regardant en direction de chez moi, m’entraînant

à répéter dans ma tête « se soir, je rentre à la maison, je soir je rentre à la maison, je serais bien, tranquille, chez

moi ». Mais je ne comprends pas pourquoi, je fuyais, mon quotidien, car il n'était pas la cause de mes problèmes.

Par la suite cela c'est transformé, et j'ai développé un terrible sens pour écarté les gens de ma personne. Me rendre

indifférant aux autres et au monde qui m'entour. Cela m'a permi de survire...à quoi ? Je ne sais pas encore donner un nom

à la cause. Peut être a faire survire l'enfant qui en moi était en sursis !?

Bonjour Lys,

En fait mes tocs etaient surtout liés à des rituels de protection dit "magique". Dison que mon pere etait tres branché spriritualitée, nouvel age sans etre dans une secte, je precise ;), et à l'epoque cela ma beaucoups influencé. Je me suis aussi plongé dans cette litterature, ce qui m'a permis je pense, de faire une bulle ou me sentire bien.

Sans rentrer dans les details de mes tocs, c'etait essayer le plus possible quand je me deplacais, genre passer une porte, de tourner dans le sens des aiguilles d'une montre. Tout le coté "je fait tout pour pas qu'un probeleme n'arrive" en fait.Il m'est arrivé aussi de repeter une action ou une pensé juqu'a que celui ci/celle ci ne sois pas pollué par une pensé negative :). Mais cela ne ma pas duré longtemps contrairemet au autres.

Sinon c'etait beaucoups de refu de pensées, par exemple penser à une personne que je n'aimais pas, c'etait me polluer l'esprit et le corp. Le fait de penser ou de voir des maladies, cancer, etc...le refu de ses images de ses maladies, ou defaut, me faisait imediatement projeter la maladie le defaut sur moi. Ca m'arrive encore quelques fois celui là. Je n'ai pourtant pas ete surprotegé pendant mon enfance.

Sinon dans la partie "pensée magique", c'etait des prieres de protection, et de faire en sorte quelle retrouve un compagnion au debut :).

Voila, en gros. Je me rend compte maintenant de tout ça, comme c'est rigolo, mais je pense que c'etait necessaire pour moi à l'epoque. Maintenant, je cherche à connaitre les causes inconcientes de tout ceci, mais je n'ai pas trop envie d'aller voir un psy, je suis un peu trop orgeuilleux encore ;).De toute façon si l'on est honnete avec nous meme et que l'on va au bout des choses ont trouve des pistes, mais le probleme, c'est de les "validées" comme etant reelement la cause du probleme, le psy fera exactement la meme choses, il emetra des supposition celon son experience et l'enseignement qu'il aura reçu.

A bientot ! J'aimerais bien d'autres avis, svp...

Bonjour,
J'ai lu ton texte un peu par hasard et je me suis rendue compte que tu me ressemble beaucoup!
Depuis le divorce de mes parents(il y a 20 ans environ)je me suis toujours éfforcée de lié des amitiés ou des amours "klinex" mais absolument malgrés moi car si je m'en suis rendue compte c'est que je me retourne sur ma vie et que je fais ce bilan monstrueux: je n'ai personne!!
Et finalement je me rend compte que c'est de ma faute, je ne fais jamais d'efforts pour les autres alors à force ils en ont marre et je ne les voit plus!
Tu parles de certains troubles que tu as eu, pourrais-je te demander lesquels car j'ai également développé quelques tic ou toc d'évitement ou de fuit comme on veut!
Merci de répondre afin qu'on mette en commun nos resentis!!