Le sujet est plus que jamais d'actualité, j'ai comme la plus-part d'entre vous vu des émissions ,entendu des témoignages, je me suis dis c'est impossible j'aime trop ma cigarette, celle du matin du soir e celà devenait à longueur de journées et d'années.. J'ai donc atteint une dépendance de huit sur dix, et une consommation de Gauloises sans filtres de deux paquets par jour pendant 35 années.
j'en suis arrivée à la conclusion toute simple, que c'était "une affaire uniquement entre ma cigarette et moi ".
je me suis fais violence et après une préparation mentale de deux mois, j'ai donc arrêtété de fumer', je me suis fais "violence", j'ai évité les coins ou je fumais beaucoup (devant le pc) pendant plusieurs mois et je me suis mis aux travaux manuelles, perles , canevas, puzzles dès que j'avais un moment de libre jusqu'au coucher, et conséquences du sevrage il faut affronter les insomnies etc...J'apréandais le lever, et penser je ne vais pas fumer, mais je marchais pour vite penser à autre chose.Bref celà demande une concentration sur son arrêt, d'en parler je sais qu'il existe des forums sur le net non merci car on parlerai de ce qui me manquait le plus.
au mois de Janvier le 9 (j'ai laissé passé les fêtes) cela va faire un an qu eje ne fume plus.
et vous savez aussi bien mes enfants que même mon propre medecin m'ont dit "après coup" s'il y en a une qu'on n'aurait jamais cru qu'elle puisse arreter de fumer c'est toi...
je ne vous cache pas que bien des fois ma cigarette me manque mais je me dis que c'est comme les alcooliques si j'en grille une c'est fini je recommencerai alors je m'abstiens, mais rassurez-vous le manque est moins virulent (sauf en période de stess intense).
si jamais je peux aider ne serai-ce que une ou deux personnes à me suivre, j'en serai heureuse.
Au plaisir de vous lire :D