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#0 Posté le par Nayla

Bonjour,
Je vous parle pour une amie, que j'appelerais M, qui n'a pas d'accès Internet et qui vit une situation souffrante. Je m'explique...

Voila, elle a deux enfant en bas age (2 et 4 ans). Son conjoint est un alcoolique qui malgré une thérapie, ne s'en sort pas et n'a pas l'intention de changer. Évidemment d'après lui c'est mon amie M qui est le problème et qui est folle... Elle vit dans la peur, dans un environnement ou elle subit de la manipulation et du contrôle incessant. Elle est complètement isolée car depuis qu'elle a les enfants elle ne peut quitter la maison pour s'amuser et même travailler car lui il boit et oublie qu'il a des enfants (elle rentre et les enfants sont seuls, lui chez le voisin ... saoul, cela est arrivé 2 fois donc elle ne sort plus).

Faute d'argent, elle ne peut quitter la maison. Le peu qu'elle gagne elle doit le gérer car lui, il flambe ses payes dans la boisson. Elle travaille a domicile donc tout ce qu'il lui faut c'est la possibilité de déménager et d'être certaine d'arriver financièrement. Elle est épuisée physiquement (tombe souvent malade) et moralement... donc le courage manque. Ils possèdent une maison ensemble et lui ne veut pas racheter sa partie. C'est une façon pour lui de s'assurer qu'elle ne partira pas.

Connaissez vous des ressources au Québec qui pourrait a tout le moins aider sur un plan moral ou même d'hébergement (avec les enfants) le temps qu'elle se replace? J'ai fait des recherches mais je ne trouve rien.
Il faut quelle parte, elle commence a penser au suicide. Elle sait que ce n'est pas elle le problème, mais bien la boisson. Je ne sais pas comment l'aider!

Tout témoignage est bienvenu. Merci d'avance!
Nayla

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#1 Posté le par leo51

bonjour

je sais qu'en France ce genre de problème se règle en consultant en premier lieu une assistante sociale, ne serait-ce que pour placer les enfants en sécurité le temps qu'1 des parents trouve la solution pour se retourner.

d'autre part il y a toujours des possibilités pour lui faire payer sa partie de la maison... avec un médiateur (il y a sûrement l'équivalent au Québec) et si ça se passe vraiment mal : divorce et avocat !

bon courage à ton amie.