doit t'on tout dire a ses enfants ?

je m'explique :
est'il non de "cacher" des chose a ses enfants ou ado ?
l'on dit que certaine vérité ne son pas bonne a dire et que se que l'on ignore ne peut pas faire de mal .
oui mais jusque a quel point ceci est'il vrai ?
il arrive un moment ou la vérité eclate des années plus tard....... cette vérité qui aurait fait mal sur l'instant ne vas t'elle pas faire encore plus de dégat ?
les phrases
"si tu me l'avais dit avant, j'aurais pas agit comme je l'ai fait"
ou
" pourquoi ne me l'a tu jamais dit, j'en ai souffert toute ma vie"
ne sont t'elles pas plus teribles encore ?
jusque a quel point doit t'on ou a t'on le devoir de cacher des événements qui touche de facon profonde la vie de nos enfants ?
merci de vos reponse

je pense qu il n y a pas de cachette a faire au enfants simplement expliquer d une facon diff dependament de l age. comme une de mes fille elle n as pas connue sont pere il ne veux pas la voir il est violent et fait partie d un groupe dangereux j ai dit la verité a ma fille depuis sa naissance en ne lui disant pas le coté negatif (le group, et la violence) le coté negatif je vais lui dire quand elle poura comprendre je ne veu pas brisé la bulle du pere gentille il on besoin de positivité les enfants pour bien grandire. pas de menssonge .
j ai menti a ma plus vielle une banalité que vous aller dire peu etre son chat est mort de la rage elle était tres attacher je lui est dit que j avai envoyer son chat a la ferme parceque il avait besoin d ami et bien le résultat elle l attendais toujours alors quand elle a eu la verité par accident par un memebre de la famille elle m en a voulus tres longtemps.

Bonjour à toi,
je ne sais trop de quoi tu parles. Sois plus précise. À quel sujet...doit-on référé. Sexe...Amour....Familial....Argent...Bref tout dépends de ce que tu veux taire ou ne pas taire à tes enfants. Je sais que les problèmes de couple, les enfants peuvent savoir que ça ne va pas plus......mais ce ne sont pas à eux de décider ce qui est bon ou pas....Sois plus claire dans ce que tu veux savoir vraiment.
Amicalement Jani

il vaut mieux avouer que l apprendre par la bouche de qq1 d autre

j ai une collegue qui a su que sa soeur n etait pas sa vraie soeur par sa gd mere alors que les parents n avaient rien dit

son pere s est marie avec sa mere et a eduqué sa demi soeur, enfant que sa mere avait avant leur rencontre...

si bien qu a un repas de famille amélioré lors d une broutille ma collegue a dit a sa soeur T pas ma soeur et desormais c est le gros bordel ds sa famille

Bonjour Solon
"Pour que l'enfant se forge des règles de conduite pour lui-même, il faut bien qu'il se base sur l'expérience de ses parents ? "

On peut espérer que les enfants se baseront sur l'expérience des parents mais combien le font?
Avez-vous écouté vos parents à l'âge d'émancipation?
Avez-vous écouté et suivi leurs conseils?
L'être humain par définition de son essence même cherche à découvrir par lui-même.
Enfant il imite. Devenu adulte il refute, cherche sa propre voie et si celle-ci coïncide avec celle de ses parents c'est parce que ça lui convient.
Combien de mères ne viennent-elle pas donner leur avis lors de la naissance d'un bébé? Et leurs filles de les envoyer ballader...ou ne pas écouter...Il n'y a là rien d'anormal. Chacun cherche sa voie en fonction de sa personnalité.
Ainsi les parents doivent donner l'exemple et les enfants sont libres de le prendre à leur compte ou pas.
L'expérience des parents n'est pas un raccourci pour l'expérience de leurs enfants. C'est tout simplement un constat.

"L'enfant croit naturellement que ses parents ne se trompent jamais, mais devenu adolescent, il découvre que ce n'est pas vrai; alors, il risque de tomber dans l'excès inverse et considérer que ses parents lui ont toujours menti par omission..."
L'enfant idéalise ses parents. Et il est normal que devenu ado il se rende compte que ses parents ne sont pas parfaits puisque personne ne l'est.
Quant à considérer ses parents comme des menteurs sur la base qu'il y a eu un secret que les parents n'ont pas voulu dévoiler c'est une conclusion un peu précipitée. Un adulte est capable de comprendre ce qu'un ado aura du mal à accepter.
Justement parlons des secrets de famille.
Un enfant conçu en relation adulterinne par exemple. Mais dont le père non biologique, l'époux de la mère, accepte de taire le secret pour maintenir un foyer uni et reconstruire sa famille.
Cet enfant s'il est aimé par ce père s'identifiera à lui. A quoi bon lui dire devenu ado que son "vrai" père, le génétique, est un tel?
A le rendre malheureux.
Supposons qu'il devienne adulte, qu'il se pose des questions sur telle phrase entendue tel jour ou que la grand-mère décide un jour de lui dire la vérité (si elle la connaît par ex ou tt autre personne)...l'adulte ne pourrait-il pas mieux comprendre et accepter ce fait? Il ne remettra pas en question toute son identité du fait qu'il aura eu le sentiment d'avoir été aimé par ce père et cette mère. Et puis qui est le vrai père? Le biologique ou celui qui s'est occupé avec amour de cet enfant?
Ainsi le temps peut arranger les choses et l'adulte ne pensera pas qu'à cause de ce secret on lui aura menti constamment. Il pourra mesurer l'importance d'un tel secret et faire la part des choses.

Bonjour Fanchon
Je ne suis pas parfaitement d'accord à propos de:
<<Un enfant n'a pas à savoir toute la vérité concernant les choix des parents quand bien même ceux-ci le concernent de près ou de loin. Nous, les parents, ne devons pas nous justifier de nos faits et gestes >>
Pour que l'enfant se forge des règles de conduite pour lui-même, il faut bien qu'il se base sur l'expérience de ses parents ?
L'enfant croit naturellement que ses parents ne se trompent jamais, mais devenu adolescent, il découvre que ce n'est pas vrai; alors, il risque de tomber dans l'excès inverse et considérer que ses parents lui ont toujours menti par omission...

C'est la fameuse question des "secrets de famille"...
En principe, il faut les éviter !
Pas seulement parce qu'il y a un risque de les voir percés plus tard, mais parce que les enfants sont perspicaces et ils perçoivent quelque chose qui cloche dans le "non-dit" des grandes personnes. Et parfois, ils imaginent pire que la réalité...
Cependant, il y a un temps et un âge pour tout. Et dans certains cas, il n'y a pas d'autres solutions que de se taire à jamais .

Pour moi, tout dépend de ce dont il s'agit.
Il y a des choses à ne pas dire aux enfants du fait que ce serait une façon de les protéger et leur éviter de souffrir à un âge où ils seraient incapables de faire face à la nouvelle.
Je suis persuadée que contrairement à ce qu'on dit toute vérité n'est pas bonne à dire.
Et s'il s'agit de tout dévoiler par peur que cela ne se fasse un jour futur c'est encore anticiper un problème alors qu'il n'existe pas.
Tout le monde dit "ah oui si j'avais su alors je n'aurais pas cela" une fois que la chose est passée et qu'ils ne peuvent changer quoi que ce soit. Pourtant, en pratique, malgré toutes les recommandations et interdictions que nous donnons à nos enfants, combien écoutent-ils vraiment?
Mais il est vrai qu'il est facile après de dire "ah si j'avais su...". Notre société perd son sens des responsabilités. Un enfant n'a pas à savoir toute la vérité concernant les choix des parents quand bien même ceux-ci le concernent de près ou de loin. Nous, les parents, ne devons pas nous justifier de nos faits et gestes pas plus que nos enfants n'ont à le faire. Si la liberté est un bien, il faut qu'elle reste équitable pour tous. Si les enfants ont droit à leur jardin secret, les parents aussi.
Et si le secret vient à être divulgué un jour, c'est à ce moment qu'il faut réfléchir à comment expliquer les motifs de l'époque où ce secret est né et n'a pas été communiqué.
Il faut laisser le temps au temps. La vie est une succession d'évènements et il faut comprendre que rien n'est permanent. Pourquoi le serions-nous?
J'émets un dernier commentaire : il faut essayer de ne pas vivre dans une ambiance de secret. C'est cela qui rendrait perceptible à l'enfant qu'on lui cache des choses. Et si l'enfant questionne sur le sujet en question peut-être a-t-il compris qu'on lui cache qq chose. C'est à ce moment qu'il faut analyser la situation, comprendre avec son coeur ce qui pousse l'enfant à poser des questions, communiquer sans se sentir agressée ou coupable et faire face à la situation.
Les parents ne font-ils pas semblant que le père Noël existe? Ne font-ils pas alliance pour que le rêve de leurs enfants se réalise? Et c'est démontré par les psychologues que le rêve est indispensable à l'enfant.
Si on peut cacher des choses aux enfants pour leur bien-être, leur rêverie, pourquoi ne pourrait-on pas le faire pour leur sécurité, leur bien-être, leur développement, leur facilité, leur identité?
Cessons de croire que nous devons tout justifier. C'est la société qui nous veut comme ça, qui développe dans chaque chaîne générationnelle ce sentiment de culpabilité.
Pourtant il suffit de se rendre compte que lorsqu'une erreur a été faite, quelques soient les conséquences bien des années plus tard, la personne qui a fait cette erreur n'est déjà plus la même puisque la vie et l'erreur elle-même lui ont permis de se transformer.
Bon courage.

Fanchon

Bonjour,

Je suis d'accord avec capi, surtout si cela touche directement la vie de l'enfant. Et si l'enfants est en âge de comprendre.(Même s'il n' a pas toute la maturité.)

Les cachotteries c'est jamais bon pour personne, et comme vous le dites si bien tout fini par se savoir, et les répercussions seront beaucoup plus terribles plus tard.

Linda,

Salut!

Pour ma part, je crois que moins il y a de cachette, moins il a de mal entendu. Puis moins il a de mal entendu, mieux se sente les deux parties!

Capi