Deux des victimes étaient des pensionnaires du Camp Keno dans une section qu'il avait lui-même mise sur pied pour venir en aide à des enfants souffrant de déficit d'attention. Dès les premières accusations, la direction du camp avait renvoyé M. Dubois.
La troisième victime, qui était âgée de sept ans au moment des agressions, habitait le même immeuble que le psychologue.
Martin Dubois agissait aussi comme témoin expert de la poursuite dans des cas d'enfants victimes d'abus sexuels.
Il devra aussi se soumettre à une probation de deux ans, s'inscrire au registre des délinquants sexuels, se limiter dans l'usage d'un ordinateur durant cinq ans, en plus de se soumettre à une thérapie.
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