Personnalité borderline (état limite)

j'ai 25 ans et je me suis faite diagnostiquer borderline à 17 ans,peut après je me suis faite hospitaliser involontairement en psychiatrie pendant 1 ans ce séjours a été suivi de plusieurs autres de plus courte durée certain volontaire d'autre non je viens d'arreter ma psycotherapie après 7 ans avec le même therapeute et 3 ans avec un que j'ai eu au debut. Je ne suis pas sur d'être guérie de cette saloprie de trouble maladif, parce que ça fait vraiment très mal!!! Mais aujourd'hui je me sens a peu près vivre et non plus survivre. J'ai toujours ce côté noir-blanc, mais j'ai réussi à mettre non seulement des nuances de gris mais en plus rajouter des couleur qui n'existait pas dans ma palette qui ne contenait que deux couleurs. mon truc a été de cérner mes comportements qui me faisaient souffrir du rejets, de ce besoin intense d'être accepter, le comportement de ma psy ma énormement aider et appris, par sa fidélité, sa confiance en moi et en mes capacités même dans mes moments les plus dur mon permis de me stabilisé et de prendre assez confiance en moi pour me permettre d'apprécier la vie.J'ai toujours mon regard borderline sur ce qui fait m'as vie aujourd'hui mais j'ai réussi à développer d'autre point d'observation pour pouvoir réagir d'une façon plus réspectable envers moi, d'observer mes réactions de plusieurs angles différents, ce qui fait que le jugement que je porte sur moi est moins incisif et moins décisif.

Bon courrage à vous tous dans ce long chemin qui est la découverte de ce soi qui ne tue pas et qui même aime la vie. Garder patiente et espoir.

Je suis présentement sur du Wellbutrin, Seroquel, Trazodone (Desyrel), Risperdal, Lamictal, Atenolol et de l'Ativan au besoin.

Salut darius,

Je peux sympatiser avec toi. Moi aussi, quand j'ai quitté la maison, j'avais à peine 17 ans, pour aller étudier, tout à commencé à tourner pour le pire. Environs un mois plus tard, je n'étais plus du tout capable de fonctionner. La seule chose qui me retenait était le sport. Je faisais des efforts effrènés pour plaire a mes amis...leur amour, leur approbation comptait plus que tout. Je ne suis jamais tombée dans la drogue ou l'alcool par contre, je n'ai jamais touché ca car je sais que ce serait fatal.

Après trois sessions d'université, en trois domaines différents, toutes échouées, je me suis retrouvée hospitalisée pour un mois suite a ma première tentative de suicide. On me donne le diagnostique de borderline. Un mois après, une deuxième... (sans compter toutes les courtes visites à l'hopital entre temps) J'ai fais l'hopital de jour, je me suis brûlée, je me suis coupée, c'était de pire en pire et puis hop! me voilà encore à l'hopital, cette fois-ci pour 4 mois. Je suis bien droguée rendu ici, je prends asser de médicaments pour 3 personnes. Je me sauve de l'hopital, je fais une autre tentative de suicide.

Me voilà maintenant loin de ma famille, loin de mes amis, dans une grande ville inconnue et je vis dans un centre d'hébergement. Mais, 7 mois plus tard, depuis le dernier mois avec l'aide que ma dernière hospitalisation m'a apportée, celle des intervenants ici, ma thérapie de groupe, je suis bien maintenant, . Mais dans mon coeur je sais que ca ne durera pas, je sais qu'aussitot que je quitterai le centre et que je me retrouverai seule, tout va re-dégringoler. Mais pour le moment j'en profite.

J'ai bientot 21 ans, je fais du bénévolat, des activités, je dois absolument me tenir occupée car ennui est synonyme de déprime. Oui, je me choque encore tout le temps pour un rien (je suis du genre à tout garder en dedans). Défois je me sens glisser, mais c'est de le reconnaitre dès que ca commence, avant que ca tombe trops loin qu'on peut mettre un stop.

Bonne chance à toi, et souviens-toi, on passe des fases difficiles mais elles finissent tous par passer.

apparement cela faisait deja un bout de temps que j'étais en depression, car diabète depuis 20 ans mais mal accepter et sclerose en plaques depuis 4 ans.

mais après mures et longues reflexions, je me suis rendu compte que tout savait commencer il y a 20 ans.. donc j'avais 10 et ne plus pourvoir manger de sucreries etait mon pire calvaire surtout a cet age là.

et j'ai fais des crises de plus en plus fréquentes mais de relativement petite dimension. jusqu'au jour ou j'ai, par un de ces jours colereux, j'ai mis un gros coups de piong dans la porte d'entree de chez mes parents et que j'en ai cassé porte et chambrant. ensuite est venu l'automutilation, peut être pour que les gens fasse attention a ma personne ou alors pour faire chier mes parents... dsl pour eux. tjrs est t'il qu'il me fallais demolir quelque chose pour me calmer drole d'idée non? j'ai ete suivi par des psychologues qui au bout de quelques séances m'on renvoyer chez moi en me disant que savait ce que j'avais et comment y remédier...??¿¿¿, 20 ans plus tard, en mois de 2 mois j'ai fais deux sejour en hopital psychiatrique. le premier avec mon accord et le second involontaire parceque j'avais dans mon sac un petit couteau a couper le jambon, pain, beurre,...

et j'ai eu beau expliquer au toubib de garde chez qui j'avais ete avec le bras ensanglanter que si je voulais rien ne m'empechais de me planter un crayon dans le bras ou dans les yeux,. mais que mon truc a moi etait de connaitre mes limtes quelles qu'elles soient. et il s'est offusquer de ma reponse et m'a interner de force avec juge et tout le toutim. alors evidement sachant ce que c'etait, du a mon premier sejour, j'ai fait gentillement ce que l'on m'as dit et g fermer ma geule donc ça a ete plus court de 1 mois j'en suis rester a la secondce que 5-6 jours.

et c la que g rencontrer un gars qui disait qu'ici dans l'iunité d'observation, y'avait que des gars intelligent(je me jette pas des fleurs...) et cette personne m'a enseigner quelques bases du tai chi. des ma sortie de ce que j'appelle l'aquarium, je me suis reseigner j'ai acheter un livre ou deux une tenue de tai chi, et j'ai commencer a faire des <exercices,

il y a peu de temps de cela, je me suis inscrit a un cours, et niveau relaaxation pour le moment j'ai rien trouver de mieux enfin c une autre filosophie de vie qui serait trop lomgue a decrire ici tjrs est-il que la , tout vas bien et je suis très Zen en ce moment même si je sait que la colère flotte au dessus de moi tout comme la depression et de me prend une bonne quantité de mécocs il m'on rajouter un antipsychotrope en plus du diazepam a raison de 80 mg par jour, des somni. pour dormir, du neujrontin a raisonde 1200 mg/jour, et un anti depresseur enfin une quinzaine de pastille par jour, sans compter les medocs pour le diabète et pour le sclérose.

mais le tai chi m'apprend a relativiser bcps plus les choses. le ying le yang les oppposés s'assemblent... et je sais avoit mon chi bloquer mnt c'est a moi de faire le travail de debloquer tout ça..... donc au boulot!!!!!!!

a ce propos y'a une phrases qui m'a fait reagir en fait je v essayer de le gtraduire de l'esp vers le fr:

le taoiste n'as pas d'ambition,

c'est pour cela qu'il ne peut jamais rater qq choses,

celui qui n'a jamais rien rater, triomphe tout le temps,

celui qui triomphe toujours est tout puissant.

moi ça m'pa fait bouger ces linges mais a chaqun son truc..... a++++++++++++

Quelle saloperie ce trouble !

C'est quoi ton parcours, tu as quel âge, suivi depuis quand etc etc...

Je compatis. Bon courage... Quel calvaire ce trouble !!

Benzo

ben voila,... comme je l'avais dit plus haut un mois apres être sorti du centre d'obsevation pschyatrique, j'y suis retourner pour de nouvelles automutilsations mais cette fois plus séveres on ne parlais plus de coupures superficielles sinon de coupures plus sérieuses :(
donc nouveau sejour de 5 nuitées...lol
mais la c bon je suis dehors, ils m'on rajouter un antipsychotique-neuroleptique, on v erra pour le moment je me sent plutôt bien car je commence des cours de thai-chi (tai chi, taiji..) et ça m'aide pas mal au niveau de mon self control..,
mais ce sport necessite un changement de mentalité pour que cela fonctionne... le ying le yang,.. le chi.. ou point d'energie vitale donc plus basé sur un autre concept des choses une certain detachement des habitudes et un detachement des choses "inutiles"...
pour le moment, je me sent bcps mieux et arrive petit a petit (mais tres petit) a relativiser les choses et donc de changer ma façon de penser face a certaines situations.....

j'en peux plus de tout ces medocs qui me rendent naze toute la journée, je passe mon temps a me soigner et ça me bourre...
mais ce qui me fais le plus peur, c moi-même. l'automutilation je connais bien. et j'ai plus confiance en mes reactions lors de crises, jusqu'ou je peux aller?? d'un autre coté j'ai envie de connaitre mes limites, peut être que ça remetras de l'ordre dans ma tête....
mais ça implique bcps de choses...
je me fais peur car jh'ai envie d'aller plus loin mais pas genre je me coupe le bras histoire de voir du sang..
j'ai une saloperie d'idee de sucide en tête et une fois que qu'on l'a en tête, c difficile de s'en de¡barrasser.
et la au début les medocs me faiait du bien mais la 3 semaines après j'ai les mêmes idées et pensée qu'avant..
ça me sape le moral...

bonjour à vous tous,

C'est difficile de lire tous ces témoignages, toutes ces souffrances.
En ce qui me concerne, un neurologue m'a diagnostiqué une fribromyalgie depuis un an, et je suis traitée avec 2800 mg de neurontin par jour.Je ne me suis pas trompée sur les doses, elles sont bien exactes!
mais la fibro concerne essentiellement les douleurs physiques, je souffre de douleurs également morales.Les excès qui nous poussent jusqu'au bord du gouffre, lorsque l'on n'arrive pas à lire une page d'un livre, à déchiffrer 2 lignes d'une partition, une prison de laquelle on ne peut plus sortir, alors on ne veut plus vivre...
Le sommeil n'est même pas réparateur, je m'endors fatiguée et je me réveille dans le même état, les gens, je les aime ou je les déteste, et en lisant tous les points relatifs au trouble borderline, je me sens plus que concernée.J'entame une psychotérapie analytique, je veux m'en sortir, la vie est belle et il faut se battre lorsque l'on a encore un peu de courage, tous les psy ne sont pas forcément mauvais, il suffit de trouver le bon,(je suis a mon 2 ième!)je témoignerai afin de vous transmettre mon évolution.Nous réussirons peut être à nous tous à trouver des solutions positives.
A bientôt
Mezzo.

He bien voila.. en bref je vis a barcelone,30 ans, marié j'ai un boulot qui a foiré, un fils qui allait arriver.
A la base j'était assez nerveux et me mettais en colère sans raisons apparentes. puis petit a petit, est venue l'automutilation, le blanc, le noir, des moments euphoriques...mais les ultimes semaines les crises de colères étaient de plus en plus fortes. une violence contre des objets pour ne pas être violent avec moi-même, sinon...
Ayant 2 autres maladies chroniques, ma forme de suicide j'avais choisit etait le suicide passif d'arreter de me soigner aléatoirement cad, un jour oui 3 jours non, jours qui se sont, transformer en mois... mon corps se sentais lours et devenait de plus irritable... et la dernière crise a été trop spectaculaire et je ne souhaite pas spécialement en présciser les raisons...
Toujours est-il que avec un brin d'insitence de la part de ma femme qui dû suporter tout ça.. je me suis fait interner volontairemenr pdt 3 semaines. c dur a accepter d'être enfermer dans ce que j'appelais l'aquarium, une zone d'observation. c probablemennt pas comme dans un vrai asile, mia s c une unité très stricte et a la fois tres serviable. niveau médicament je recevait du diazepam , du neurotin et du prisdal(seropren)je ne sait pas encore trop ce que c'était comme medicaments mais je chercherais par curiosité, ça doit faire 24 heures que j'ai quiter l'hopital. et je me sent totalement perdu, et très calme , forcément(lol) et comme j'ai jamais vraiment éte comme ça, ça me fait bizare, je me sens etranger a moi-même mais peut être ce sont les médocs ...
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ct juste un temoignage comme ça sans ghrand intéret mais aussi afin d'expliquer a ceux qyui en ont peur un centre psychiatrique c pas ce que les gens pense ... mais moi j'ai ete content de passer par la a la fin car j'ai l'impression de retrouver gouts aux choses...
medocs 1 prisdal(seropram)20 mg
2 neurotin 300mg
1 diazepam 10 mg... le matin
la journee et le soir pareil sans le neuropram et le soir du dormodor... ets-ce grave docteur?¿
j'ai lam teête qui s'embrouille et contiuerais une autre fois probalement

il y en as t-il parmis vcous qui sont passez dans des centre d'observations posychiatrique=?¿
Bye++