Selon cette étude, menée par Dana B. Hancocket ses collègues, la caféine et le tabac permettent de réduire les facteurs génétiques et environnementaux qui influencent le développement de la maladie, mettant ainsi davantage en lumière l'action des substances étudiées.
Les associations entre ces substances et la maladie étaient étudiées chez 356 personnes ayant la maladie et 317 membres de leurs familles n'ayant pas la maladie.
Les mécanismes biologiques à travers lesquels le tabac et la caféine peuvent agir chez les gens à risque pour la maladie sont inconnus. Ces résultats montrent l'importance des interactions entre la génétique et l'environnement dans la détermination de la susceptibilité à la maladie. Le tabac et la caféine modifient possiblement les effets génétiques dans les familles avec la maladie de Parkinson.