Les fumeurs étaient beaucoup plus susceptibles que les non fumeurs de présenter cette variation génétique dans cette recherche avec 435 participants. Ils étaient aussi 8 fois plus nombreux à rapporter que leurs premières cigarettes leur avait apporté un buzz agréable que ceux qui avaient déjà fumé mais n'étaient pas devenus dépendants.
"Si l'usage de la cigarette est soutenu, la dépendance à la nicotine peut se produire en l'espace de quelques jours à quelques mois", ajoute-t-il. "La découverte d'une association génétique avec les premières expériences agréables peuvent aider à expliquer comment les gens deviennent dépendants et, en conséquence, continuent de fumer pour le reste de leur vie."
Les chercheurs soulignent que la variation génétique n'explique qu'une partie du comportement de tabagisme, celui-ci étant également influencé une combinaison d'autres gènes ainsi que des facteurs sociaux et environnementaux.
(1) Le gène CHRNA5 agissant sur les récepteurs de nicotine
Psychomédia avec sources: Science Daily
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