Les plaignants, réunis au sein du groupe de défense Lymaction constitué par les deux avocats, demandent 500 000 euros de dommages et intérêt chacun aux tribunaux de Nanterre, Paris et Bobigny.
Il s'agit d'une première vague de recours, Lymaction regroupant environ 500 plaignants.
Les plaignants entendent faire reconnaître l'absence de fiabilité des tests diagnostiques utilisés. Ils estiment n'avoir « pas bénéficié à temps d'une prise en charge adaptée », « faute d'avoir été correctement diagnostiqués ».
Ces tests, dits « Elisa », ne détecteraient « que 30 % des cas » selon les avocats. Or, la maladie de Lyme peut provoquer des séquelles neurologiques ou articulaires graves si elle n’est pas traitée rapidement.
La responsabilité de l'Etat et de la ministre de la Santé Marisol Touraine, devrait être engagée dans un second temps.
Psychomédia avec sources : Le Figaro, Doctissimo.
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