Il est clair que la société de capital et la mondialisation n'ont servi qu'à une chose. Faire des riches encore plus riches et des pauvres encore plus pauvres.
Au milieu, la classe moyenne qui se débrouillait voit de jour en jour, son pouvoir d'achat diminué.
Oui, nous revenons au type de société des nantis et des pauvres, la classe moyenne sans cesse aspirée par le bas.
Regarde simplement ce qui se passe en soins de santé (je suis de Belgique). Chez nous, de nombreuses personnes ne consultent plus (bien que nous ayons la sécurité sociale) parce que la part du patient est de plus en plus élevée.
Nous sommes conditionnés à une société qui nous a donné l'illusion qu'en travaillant nous pouvions vivre décemment. Ce que nous avons d'ailleurs fait durant plusieurs décennies. Mais à présent, la crise grandissante nous replonge dans le gouffre.
Nous nous sommes hissés pour mieux retombés; et pauvre de nous, car nous avons acquis des habitudes qui vont faire mal...
En même temps que cette société de consommation a grandi, les solidarités humaines se sont détricotées. La société du luxe et de la possession joue malheureusement la carte de l'égoïsme.
J'ai connu pour d'autres raisons ce manque de solidarité. J'en ai souffert.
Quand tu vois qu'on se moque des handicapés, de ceux qui ont un surpoids ou encore des personnes de plus de 50 ans qui ne sont plus "productives", tu comprends alors que l'homme est son pire ennemi.
Il est grand temps que l'homme n'oublie pas qui il est et où il va. Seul, le retour aux vraies valeurs peut sauver l'homme du désastre qui l'attend.
Alors, ne soyons pas utopique. Mais agissons chacun dans notre coin et en fonction de nos possibilités pour essayer d'humaniser un peu ce monde....
Patricia
Bien sûr que nous revenons à une société à deux vitesses...
Il est clair que la société de capital et la mondialisation n'ont servi qu'à une chose. Faire des riches encore plus riches et des pauvres encore plus pauvres.
Au milieu, la classe moyenne qui se débrouillait voit de jour en jour, son pouvoir d'achat diminué.
Oui, nous revenons au type de société des nantis et des pauvres, la classe moyenne sans cesse aspirée par le bas.
Regarde simplement ce qui se passe en soins de santé (je suis de Belgique). Chez nous, de nombreuses personnes ne consultent plus (bien que nous ayons la sécurité sociale) parce que la part du patient est de plus en plus élevée.
Nous sommes conditionnés à une société qui nous a donné l'illusion qu'en travaillant nous pouvions vivre décemment. Ce que nous avons d'ailleurs fait durant plusieurs décennies. Mais à présent, la crise grandissante nous replonge dans le gouffre.
Nous nous sommes hissés pour mieux retombés; et pauvre de nous, car nous avons acquis des habitudes qui vont faire mal...
En même temps que cette société de consommation a grandi, les solidarités humaines se sont détricotées. La société du luxe et de la possession joue malheureusement la carte de l'égoïsme.
J'ai connu pour d'autres raisons ce manque de solidarité. J'en ai souffert.
Quand tu vois qu'on se moque des handicapés, de ceux qui ont un surpoids ou encore des personnes de plus de 50 ans qui ne sont plus "productives", tu comprends alors que l'homme est son pire ennemi.
Il est grand temps que l'homme n'oublie pas qui il est et où il va. Seul, le retour aux vraies valeurs peut sauver l'homme du désastre qui l'attend.
Alors, ne soyons pas utopique. Mais agissons chacun dans notre coin et en fonction de nos possibilités pour essayer d'humaniser un peu ce monde....
Patricia
Au milieu, la classe moyenne qui se débrouillait voit de jour en jour, son pouvoir d'achat diminué.
Oui, nous revenons au type de société des nantis et des pauvres, la classe moyenne sans cesse aspirée par le bas.
Regarde simplement ce qui se passe en soins de santé (je suis de Belgique). Chez nous, de nombreuses personnes ne consultent plus (bien que nous ayons la sécurité sociale) parce que la part du patient est de plus en plus élevée.
Nous sommes conditionnés à une société qui nous a donné l'illusion qu'en travaillant nous pouvions vivre décemment. Ce que nous avons d'ailleurs fait durant plusieurs décennies. Mais à présent, la crise grandissante nous replonge dans le gouffre.
Nous nous sommes hissés pour mieux retombés; et pauvre de nous, car nous avons acquis des habitudes qui vont faire mal...
En même temps que cette société de consommation a grandi, les solidarités humaines se sont détricotées. La société du luxe et de la possession joue malheureusement la carte de l'égoïsme.
J'ai connu pour d'autres raisons ce manque de solidarité. J'en ai souffert.
Quand tu vois qu'on se moque des handicapés, de ceux qui ont un surpoids ou encore des personnes de plus de 50 ans qui ne sont plus "productives", tu comprends alors que l'homme est son pire ennemi.
Il est grand temps que l'homme n'oublie pas qui il est et où il va. Seul, le retour aux vraies valeurs peut sauver l'homme du désastre qui l'attend.
Alors, ne soyons pas utopique. Mais agissons chacun dans notre coin et en fonction de nos possibilités pour essayer d'humaniser un peu ce monde....
Patricia