L'étude, menée par Dr. Helena Jernström de l'Université de Lund (Suède) avec 270 femmes, montre que chez celles ayant une variation sur le gène CYP1A2, soit environ la moitié des femmes, la consommation de 2 ou 3 tasses de café par jour est liée à une plus petite taille des seins.
Le café altère le métabolisme des œstrogènes, diminuant la production de produits métaboliques cancérigènes. Il entrave également la croissance des cellules cancéreuses.
Pour les consommatrices de café qui n'ont pas cette variation génétique, bien qu'elles contractent le cancer du sein en moyenne 10 ans plus tard, 15% d'entre elles contractent une forme difficile à traiter.
Le risque de cancer du sein est plus important chez "les femmes de poids moyen qui ont de gros seins et un nombre élevé de glandes mammaires", rapporte le journal suédois The Local.
Psychomédia avec sources: Innovations Report, TF1.
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