J'espère que le gouvernement s'interroge sur la non-efficacité patent de son plan anti-violence scolaire. L'actualité fait partie des «faits tétus».
Les interventions du service d'accompagnement des élèves violents seront condamnés à l'échec si le comportement de ces derniers n'est pas fortement stigmatisés et que les causes liées à la mauvaise éducation, voire l'absence de celle-ci ne sont pas identifées voire dénoncées avant d'être corrigées.
La jeunesse est une période d'initiation à la société: il faut sortir de l'approche mercantile qui considère les jeunes comme une classe sociale autonome. Les jeunes ont à apprendre la société, le respect des autres, la politesse. ... Apprentissage implique effort et contrainte, car ces valeurs ne sont pas innées mais acquises.
Une action généralisée dénonçant la violence scolaire comme un fléau «nationale» et précisant des procédures de lutte serait une vraie solution.