Des médecins de l’Université Rockfeller affirment, dans la revue The American Journal of Medical Genetics, que certaines personnes sécréteraient naturellement une grande quantité d’un dérivé morphinique appelé dynorphine. Ces individus auraient biologiquement moins de risque de développer une dépendance à la cocaïne. Pour les auteurs de l’étude, ces résultats annoncent la future mise au point de traitements pour les toxicomanies.
Inégaux devant la cocaïne
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Des médecins de l’Université Rockfeller affirment, dans la revue The American Journal of Medical Genetics, que certaines personnes sécréteraient naturellement une grande quantité d’un dérivé morphinique appelé dynorphine. Ces individus auraient biologiquement moins de risque de développer une dépendance à la cocaïne. Pour les auteurs de l’étude, ces résultats annoncent la future mise au point de traitements pour les toxicomanies.