soit mélangée avec une autre huile végétale (canola, tournesol, etc.), soit mal étiquetée (extra-vierge alors que ce n’était pas le cas), soit rance ou périmée (sans danger pour la santé)», rapporte Alain Roy de l'émission L'Épicerie sur le site de Radio-Canada.
Sur plus de 140 marques concernées, 44 ont été prises en défaut par l’Agence à un moment ou à un autre, ce qui représente un échantillon sur trois.
Claudia Pharand, propriétaire du magasin Olive and Olives, suggère au consommateur de goûter l’huile qu’il achète. « Une huile d’olive extra-vierge de qualité a un goût de fraîcheur et des notes végétales un peu piquantes, alors qu’une huile d’olive pure ou raffinée ne goûte rien et procure seulement une sensation de gras dans la bouche.
»
« Il est aussi recommandé d’acheter des produits d’une marque de confiance dont l’étiquette mentionne la provenance, le nom du producteur, l’année de récolte et la date d’expiration. Le prix à payer pour une huile extra-vierge authentique commence à 12 $ le litre et peut être beaucoup plus élevé. Donc, si on voit un produit à 5 $ le litre, il ne faut pas s’attendre à des miracles.
»
En novembre 2015, rapportait le magazine Protégez-vous en juin 2016, la justice italienne a ouvert une enquête contre sept marques d’huile d’olive (Antica Badia, Bertolli, Carapelli, Coricellu, Primadonna, Santa Sabina, Sasso) soupçonnées d’avoir vendu sous l’étiquette « vierge extra » des huiles de qualité inférieure.
Psychomédia avec sources : Radio-Canada, Protégez-vous.
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