Un projet de recherche de l'Université McGill vise à colliger des données sur l’exposition des cyclistes et des piétons à la pollution liée à la circulation. Des cyclistes sillonnent la ville avec, attaché à leur vélo, un appareil qui capte l’air ambiant et mesure la quantité de particules ultrafines ou d’air ambiant pollué.
Marianne Hatzopoulou et ses collègues travaillent à la création d’applications pour cellulaires et ordinateurs qui permettront aux cyclistes d’emprunter des voies où l’exposition est réduite.
Ils travaillent aussi à la mise au point de modèles décrivant l’incidence de changements dans les circuits de circulation sur la génération d’aérocontaminants et le niveau d’exposition du public.
Les résultats devraient se traduire en politiques et lignes directrices servant à l’élaboration et à la conception de micro-environnements urbains.
Mise à jour (2014): Application déterminant l'itinéraire le moins pollué : Information sur la qualité de l'air des itinéraires cyclistes à Montréal.
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