« Notre but était de trouver si des facteurs psychologiques pouvaient protéger les gens d’un fort niveau d’interleukine-6 » présente le Dr Elliot Friedman. Pour cela, il a suivi 74 femmes de 61 à 90 ans.
Finalement, un bon sommeil et une vie sociale active seraient deux facteurs primordiaux pour réduire le risque d’avoir un taux d’interleukine-6 élevé. Ce qui augmenterait ainsi ses chances de bien vieillir.
Le sommeil serait encore plus important que le reste.« Les femmes qui dorment bien ont, par rapport à celles qui ont de nombreuses relations sociales, un plus faible taux d’interleukine-6» précise le chercheur américain. Des facteurs psychologiques réussiraient bien à influencer des facteurs biologiques…
«Avoir un bon sommeil et une vie social mouvementée est l’idéal, conclut le Dr Elliot Friedman, mais avoir un de ces deux facteurs est mieux que de n’en avoir aucun ! ».
Source: sante.nouvelobs.com
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