Irva Hertz-Picciotto du UC Davis MIND Institute et ses collègues ont mené cette étude avec 462 enfants, âgés entre 24 et 60 mois (249 ayant un diagnostic d'autisme, 60 ayant d'autres formes de retard du développement et 143 se développant normalement). Ils ont analysé les sources de mercure: consommation de poisson, produits de soins personnels, vaccination et plombages dentaires.
Cette analyse, précise Hertz-Picciotto, ne prouve pas que le mercure ne joue pas de rôle causal dans l'autisme car les niveaux n'étaient mesurés qu'après que les enfants aient reçu un diagnostic.
Les études jusqu'à présent suggèrent que l'autisme résulte de la combinaison d'une susceptibilité génétique et de facteurs environnementaux, dit-elle.
(1) Cette étude s'inscrit dans le projet Childhood Autism Risks from Genetics and the Environment (CHARGE), une étude
Psychomédia avec sources:
Los Angels Times
Science Daily
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