« La vie secrète des arbres » de Peter Wohlleben a été numéro un des ventes en Allemagne avec plus de 650 000 exemplaires. Il a été traduit en 32 langues et est maintenant disponible en français (Les Arènes, mars 2017 ; Multimondes, fév. 2017).
« Forestier, Peter Wohlleben a ravi ses lecteurs avec des informations attestées par les biologistes depuis des années, notamment le fait que les arbres sont des êtres sociaux
» (Multimondes).
Peter Wohlleben, rapporte Le Monde, « nous révèle le langage des arbres, capables de communiquer entre eux par les odeurs et par les signaux électriques qu’ils émettent, mais aussi par un étonnant réseau racinaire comparable à un “Wood Wide Web”, toile souterraine où s’échangent des informations sur les insectes environnants ou la sécheresse du sol.
»
« On y apprend comment les populations sylvestres mettent en place des stratégies collectives de défense contre leurs agresseurs, à l’image des acacias de la savane africaine dont les feuilles se gorgent de substances toxiques pour éloigner les girafes qui les broutent, en même temps que la libération d’un gaz avertisseur alerte leurs congénères du danger.
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Présentation des Arènes :
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Dans ce livre plein de grâce, acclamé dans le monde entier, le forestier Peter Wohlleben nous apprend comment s’organise la société des arbres. Les forêts ressemblent à des communautés humaines. Les parents vivent avec leurs enfants, et les aident à grandir. Les arbres répondent avec ingéniosité aux dangers. Leur système radiculaire, semblable à un réseau internet végétal, leur permet de partager des nutriments avec les arbres malades mais aussi de communiquer entre eux. Et leurs racines peuvent perdurer plus de dix mille ans…Prodigieux conteur, Wohlleben s’appuie sur les dernières connaissances scientifiques et multiplie les anecdotes fascinantes pour nous faire partager sa passion des arbres.
(...) Peter Wohlleben a commencé à travailler pour l’administration forestière d’État en tant que jeune forestier. Dans le cadre de son poste de responsable d’emplois de 3 000 hectares, il a été amené à abattre des arbres centenaires et à pulvériser des insecticides sur des hectares. Puis il a commencé à étudier des approches alternatives. Après une décennie de lutte, il a introduit des chevaux, éliminé les insecticides et a laissé pousser les bois de manière sauvage. En deux ans, la forêt est devenue rentable. »
Les facteurs psychologiques de l'effet antistress d'une marche en forêt (ou « bain de forêt »)
Psychomédia avec sources : Les Arènes, Le Monde.
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