Des études précédentes ont suggéré que la capsaïcine réduit l'apport calorique, inhibe l'accumulation des matières grasses et abaisse les niveaux de graisses dans le sang. Mais les mécanismes sous-jacents restent largement inconnus.
Ils ont constaté qu'un régime riche en graisses activait des gènes produisant 17 protéines, incluant une protéine de choc thermique. L'activité de 10 d'entre eux est normalisée avec la capsaïcine. Une dizaine d'autres gènes étaient désactivés par les matières grasses. La capsaïcine rétablissait leur activité au niveau normal.
La capsaïcine diminuait aussi l'activité de plusieurs gènes qui contrôlent la production des cellules adipeuses alors qu'elle augmentait celle de gènes, associés à la sensation de chaleur, qui accélèrent la combustion des graisses.
Psychomédia avec source: ScienceNews (U.S. News & World Reports)
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