Les enfants portant une certaine variation génétique ont tendance à manger davantage. Ce gène (le gène FTO) a déjà été associé à l'obésité par des recherches précédentes. La présente recherche, publiée dans le New england journal of medicine, précise que le gène ne dispose pas à l'obésité par le biais de changements métaboliques mais en portant à manger davantage.
Les personnes qui portent une copie de ce gène (49% de la population) ont un risque accru d'obésité de 30% alors que ceux qui portent deux copies (16%) ont un risque accru de presque 70%.
Le gène n'influençait pas la rapidité du métabolisme et le niveau d'activité physique.
Ces résultats montrent que ce gène ne conduit pas à l'obésité sans suralimentation et suggèrent que l'obésité qui y est liée pourrait être modulée par un contrôle alimentaire attentif, conclut l'auteur.
Psychomédia avec source:
BBC