Les personnes ayant une seule copie de la variante, représentant 38% de la population, ont un risque d'obésité plus élevé de 30%.
Il s'agit, selon les chercheurs, des meilleures indications à ce jour, d'un facteur génétique pour l'obésité qui est relativement courant dans la population. D'autres liens génétiques connus sont rares et ne concernent qu'un petit nombre de gens.
Ces résultats ne doivent cependant pas changer l'approche de l'obésité, considèrent les auteurs. Ce gène seul, ne peut expliquer pourquoi certaines personnes pèsent plus de 10, 20 ou 30 kilos que d'autres dans le même environnement, précise Mark McCarthy de l'Université Oxford.
La meilleure façon de contrôler l'obésité demeure toujours l'exercice et une meilleure alimentation, ajoute-t-il.
La fonction de ce gène n'est pas connue, ni les mécanismes par lesquels il favorise une plus grande prise de poids.
Science (Medpagetoday)
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