Mais "GSK pouvait et aurait dû donner cette information plus tôt qu'il ne l'a fait", a déclaré Kent Woods, directeur général de l'Agence.
L'Agence a annoncé qu'elle ne poursuivrait pas en justice suite à ce rapport en raison d'importantes faiblesses dans la législation en vigueur à ce moment.
Cette dernière sera revisée pour renforcer les obligations des laboratoires pharmaceutiques de communiquer les résultats de leurs essais cliniques a annoncé la ministre de la santé Dawn Primarolo.
GSK a réagi au rapport, dans un communiqué, en assurant que la sécurité de l'usage de ses médicaments avait toujours été sa priorité. "Nous sommes convaincus d'avoir agi comme il le fallait et de manière responsable, en procédant d'abord à ces essais cliniques et en informant ensuite les régulateurs quand nous avons identifié un risque potentiel", affirme le géant pharmaceutique.
Ce rapport survient peu de temps après que deux recherches aient montré que l'efficacité des antidépresseurs a été surestimée en raison des essais que les laboratoires choisissent de ne pas publier.
Psychomédia avec source : BBC.
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