Si confirmés par des études supplémentaires, les résultats, publiés dans la revue Science Translational Medicine, pourraient justifier des essais cliniques avec des médicaments existants (actuellement utilisés pour traiter d'autres maladies) qui activent une voie essentielle pour réparer et remplacer les mitochondries endommagées, indiquent les chercheurs.
Ce qui suggère, dit Scherzer, que les médicaments activant la PGC-1alpha pourraient prévenir les dommages au cerveau causés par la maladie.
Le médicament antidiabétique Avandia (rosiglitazone) active une protéine essentielle dans le circuit de la PGC-1alpha mais a été retiré du marché européen en raison des risques cardiovasculaires. Toutefois, l'antidiabétique Actos (pioglitazone), qui n'a pas été fermement lié au risque de crise cardiaque, demeure en utilisation. Un essai clinique pour traiter la maladie avec ce médicament a déjà été approuvé par les régulateurs.
Psychomédia avec sources: Scientific American, Nature, Radio-Canada.
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