La fréquence cardiaque est influencée par la respiration. Elle augmente pendant l’inspiration et diminue pendant l’expiration. Ce phénomène est appelé « cohérence cardiaque » ou « arythmie sinusale respiratoire ».
Certains neurones respiratoires dans le tronc cérébral modulent directement l’activité de neurones cardiaques, plus précisément des neurones parasympathiques, dont l’activité a un rôle de frein sur le rythme cardiaque. (Qu'est-ce que les systèmes nerveux sympathique et parasympathique ?)
Quelques études « documentent les effets bénéfiques d’exercices respiratoires présentés comme des techniques de cohérence cardiaque
», rapporte l'Inserm (2023). Mais « le problème, c’est que la frontière devient parfois très mince entre les connaissances scientifiques actuelles et les interprétations et usages prodigués au grand public
».
Psychomédia avec source : Inserm.
Tous droits réservés.