C'est pour cette raison que « des médecins choisissent de prescrire le stimulant à l'adolescence et à l'âge adulte, une tendance lourde aux États-Unis mais qui divise encore le Québec ».
Dans le même esprit, certains spécialistes recommandent également la prise du médicament tous les jours de l'année. « Pour la directrice de la Clinique TDAH de Sainte-Justine, prescrire un stimulant sur une base strictement scolaire lance un message ambigu aux parents comme à l'enfant. “Avant, on avait tendance à ne regarder que ce qui touchait l'école et à négliger le reste ; aujourd'hui, on reconnaît que c'est un problème qui touche la vie d'un enfant et de sa famille au quotidien”, note la Dre Ageranioti-Bélanger. »
Psychomédia avec source : Le Devoir.
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