Ayant été mise sous neuroleptique caché durant 16 mois, et ayant eu d'importants effets secondaires, je pense que ces experts devraient élargir leurs recherches.
Par exemple, en questionnant les personnes qui ont eu des effets secondaires et les personnes qui n'en ont pas eus ; en les questionnant sur leur petite enfance. Alors pourquoi pas impliquer également les psychologues.
Mes effets secondaires n'étaient pas les mêmes que ceux des autres personnes, en regardant dans mon passé, j'ai pu constaté qu'ils étaient liés à mon passé.
En discutant avec les personnes qui avaient pris ce même produit et qui avaient des effets secondaires, j'ai pu relier certaines choses.
Toutes les femmes qui ont fait une dépression grave avaient été marquées dans leur enfance, elles n'avaient pas eu une enfance heureuse, et elles racontaient toujours une partie de leur histoire, mais elles n'avaient pas pardonné à un ou aux deux parents. Toutes avaient également une dépendance.
J'ai eu une enfance douloureuse, mais j'avais pardonné du vivant de mes parents, je n'ai pas fait de dépression.
Et je sens qu'il me manque un élément de mon enfance, car je suis toujours dépendante : dépendante au travail, plus de travail >>> alcool, arrêt de l'alcool >>> dépendance au tricotage, au ménage, au tabac, à internet (que je remercie il m'a beaucoup aidé à comprendre).
Le mensonge dans l'enfance fait terriblement de dégât, et le refus de pardon également. Le mensonge est enregistré par le cerveau, et blesse le coeur. Si le coeur pardonne, le cerveau va mieux.
Les femmes qui ont eu des effets secondaires mais pas de dépression, avaient eu, parfois une enfance difficile en raison de certains facteurs, mais l'encadrement des 2 parents était là.
Mes effets secondaires :
- je ressentais la cruralgie que j'avais eue plusieurs années auparavant ;
- mes tremblements étaient ceux que j'avais eus pendant la plus grave période de mon alcoolisme ;
- j'ai beaucoup maigri, mais ma perte de poids s'est arrêtée au poids que j'ai toujours atteint lorsque j'étais malade.
Le coeur a ses raisons que le cerveau ignore.