ça fait des années que je prends le même traitement : anti-dépresseurs, anxiolytiques, somnifères (4 h 31 et je suis toujours devant l'ordi.)
j'ai dit au medecin : "donc si ça va + mal, vous augmentez la dose; jusque quand ?, jusqu'à ce que je crève ?" en plus,il n'a pas le temps de m'écouter; ça fait 13 ans que je suis en psychanalyse avec un psy; je devrais aller beaucoup mieux. Seulement voilà : il y a des PN (pervers narcissiques) dans les deux familles, et mes enfants ayant baignés dedans avec leur père; c'est moi qui vais devenir dingue. Tout le monde s'en fout; quand on est pas soutenue, c'est dur; je suis à la retraite, et je n'ai plus les moyens d'aller chez le psy très souvent. Je fais tout pour m'en sortir, mais je ne sais pas si j'y arriverai . Esthère de Reims
À propos de ce recul
Ce recul devient une coupure de rapport qui éloigne du réel.
L'analgésie ou le risque d'être?
Évidemment, le face à face avec soi est plus exigeant et fait peur. Plusieurs préfèrent ne pas sentir sa souffrance.
Oser aller toucher l'inconnu de soi dans un relation qui peut donner du sens et augmenter sa puissance parrait insuportable voir inutile.
Désirer être plus vivant constitue un risque de soi qui nécessite le désir de dépasser l'inconnu de sa vie. Cette recherche est facilité par les rapports humanisants qui donne du sens à sa vie.
Oser aller toucher l'inconnu de soi dans un relation qui peut donner du sens et augmenter sa puissance parrait insuportable voir inutile.
Désirer être plus vivant constitue un risque de soi qui nécessite le désir de dépasser l'inconnu de sa vie. Cette recherche est facilité par les rapports humanisants qui donne du sens à sa vie.
Le recul de la psychothérapie ds le traitement de la dépression
Quel tristesse que ce recul qui traduit une déshumanisation de notre système de soin. l'aide médicamenteuse est souvent un leurre qui sape notre énergie
et notre résilience naturelle.
et notre résilience naturelle.