Troubles Bipolaires - Justice sauvage !!

Dépité, écoeuré, humilié.

Je suis un bien triste papa face à l'injustice.

Une bien triste histoire qui met en péril la vie et l' avenir de mon petit garçon de 18 mois.

Sa risque d'être un peu long.

J'ai vécu 2 années de cauchemars avec une femme pour qui j'ai mis ma vie socio-professionnelle en aparté. Au départ tout était beau et merveilleux, mais cela a vite dégénéré lorsqu'elle est tombé enceinte. Je me suis aperçu qu'elle n'était pas du tout normale dans son comportement et j'ai commencé à m' apercevoir qu'elle ne me racontait que des mensonges. Je me suis mis alors a jouer les psychologue et à lui poser un tas de questions et là aï aï aï!!! Madame a un passif qui m'a fortement perturbé car j' ai un coeur gros comme sa et que je ne suis pas insensible, je suis déjà père de 2 enfants et grand père à 43 ans.
Elle a été diagnostiqué bipolaire et pendant sa grossesse c'est une infirmière psy qui venait à la maison et là j'ai eu droit au musée des horreurs dans toute sa splendeur! Viol non dénoncé, viol de son père, prostitution gratuite pour ne pas appeler sa nymphomanie etc etc. Et des nombreuse "fugues" qu'elle faisait ,10 en 2 ans et qui me mettait systématiquement en dépression car j'étais dans une emprise sentimentale vis à vis d'elle très forte. La première dépression lorsque j'ai appris tout sa ma conduit directement à l'hôpital tant d'apprendre tout ceci était insupportable pour moi et on failli nous conduire à la mort moi et mon fils le 27 décembre dernier. Car dans cette énième et dernière dépression, j' ai fait le mélange fatidique en plus du manque de sommeil et du manque de nutrition, de prise d'antidépresseurs et d'alcool et je me suis endormi ou perdu connaissance au volant, car je n'ai plus de souvenir de cette journée ou je devais ramené mon fils à sa mère et qui m'avais miné toute la journée! C'est grave sa je le conçoit et j' en paye un lourd tribu. Car c'était bien là ma plus grande faiblesse et je ne l'ai jamais nier, a chaque dépression qu'elle me faisait faire j' y avais recours le temps d'une soirée, me sentant impuissant face à sa maladie. Bien évidemment elle se servait de sa systématiquement pour m' atteindre et m' envoyer les gendarmes en vue de me faire passer pour un alcoolique, alors que je ne bois jamais habituellement. Mais n'était-ce pas là le but recherché dans ces multiples manipulations quotidiennes ,qui m'empêcher de chercher du travail car vu son comportement nympho et les craintes justifiées que j'avais à se sujet, la confiance ne s'installer pas ? Elle faisait passer mon prédécesseur pour un pervers manipulateur narcissique alors que bien évidemment il n' en était rien et que ses propos ressemblent plus à un effet miroir qu'autre chose.
Lors de son avant dernier départ, j'ai saisi le tribunal, qui m' a donné gain de cause et qui m'a confié notre fils sans hésité, elle a évidemment fait appel de cette décision et à la grande surprise générale il lui ré attribut la garde 5 mois après du jour au lendemain alors qu'il s'était enfin stabilisé dans son comportement ce qui n'était pas le cas auparavant en présence de sa mère qui lui mettais sans arrêt des objet dangereux entre les mains et oublié régulièrement de l' attaché dans son transat ou dans la chaise haute occasionnant à chaque fois des chutes et ou je devais intervenir systématiquement, ou il ne dormais pas avant 1h du matin tellement elle l'excité continuellement et c'est sans parlé des sollicitations verbales continuelles et répétitives qu'elle avais avec lui et ou je la retrouvé avec les mêmes propos en pleines nuits au pieds de son lit à lui parler comme s'il était réveillé! Tout citer serai bien trop long...
Toujours est'il que la cour d'appel n'a pas hésité à transférer notre enfant avec une mère totalement instable et irresponsable dans un 2 pièces ou elle partage sa chambre avec notre fils!! Alors que et j' en ai la preuve par textos ,car la aussi elle me faisait des atteintes faisant croire au gendarmes que je la harcelée et que j'ai du changer de numéro pour avoir la paix, que sa nymphomanie avais repris le dessus. Quand j' allais voir ma psy on mettais mon enfant au secrétariat pour qu'il n'entende pas ce qui se disait de sa mère, je vous laisse imaginé se qu'il va voir et entendre maintenant! Tous sa à causes de faux témoignages de son entourage et d'attestations fournit le jour même du jugement, sans même qu'on est pu consulté et contesté quoi que se soit, un superbe coup de vice, sur les quelles la cour s'est appuyer sans même tenir compte de toutes les mises en évidences et toutes les pièces que j'ai fournis, ne s'en tenant qu'au conséquences et de se fichu accident et qui me valent aujourd'hui une étiquette d'alcolo-violent!!! Car madame lors de sa dernière "fugue" c'est empêtrée sur une barrière et a fait valoir que ces blessures était dues à des coups et blessures, se qui est totalement faux. Je vous laisse là aussi imaginé le sentiment que j'ai lorsque je doit présenter un tel document pour faire valoir mes droits!
Elle a fait valoir aussi des attestations de sa psy et de l'infirmière psy, d'une PMI, qui atteste que cette mère tendre et affectionnée peut sans craintes prendre en charge l'enfant, alors que moi-même je n'ai pu en obtenir aucune car leur déontologie l'interdit! Mon avoué ne veux pas se lancer dans un pourvoir en cassation, car il craint que l'on ne considère encore une fois que les conséquences.
Tout ce que j'ai pu lire ici et là sur cette maladie font pourtant états des mêmes conclusions, le conjoint subit et dois souvent faire face à des conséquences graves et dramatiques !!
Je suis alarmé quand je vois sur le site bipolaire-info que les dernières études menées disent qu'un enfant de parent bipolaire et vivant avec une personne atteinte à 78% de chance d'attraper à son tour cette maladie, qui une fois acquise l'est pour la vie et avec toutes les contraintes et conséquences qui vont avec.
Est ce là dans l'intérêt d'un enfant que l'on prône tant ici et là que de devoir dés son plus jeune âge prendre un tel risque, de lui faire acquérir cette maladie-poison et avalé une tonne de cachet et d'un suivi psy perpétuel ?
A plusieurs reprises j'ai signalé que le traitement de madame était inefficace et je me faisait rembarré à chaque fois en me disant que c'est pas à moi d'en juger, la encore quand on consulte des sites tel que doctissimo ou sur la maladie ,le dépakote se préconise au début de la prise en charge à 750mg, pour atteindre le plus rapidement possible les 2000 à 2500 mg, plus le lithium qui est absolument nécessaire et un antidépresseur de type prozac, or depuis 1an et demi tout se qu'on lui donne c'est 500mg de dépakot et un demi cachet de séropram a 0.10 mg. Là le traitement et franchement à remettre en cause ! De plus quand j'appel la psy pour lui signalé que sa nymphomanie la reprends depuis qu'elle est seule et sans aucunes surveillances, elle me réponds que si cette femme veut pas se soigner c'est pas son problème !!! Hallucinant. Pour un psychiatre sois disant spécialisé dans le domaine, je met en doute ces compétences.
J'ai évidemment saisi le juge pour enfant, mais mes espoirs sont très minces et je ne sais plus quoi faire pour sortir mon garçon de cette fâcheuse situation. Dommage que sans aucuns doutes n'existe plus.

Faites moi part de toutes vos suggestions, conseils si vous avez vécu la même chose etc...

Il y a urgence.
Merci à tous

Je suis actuellement dans le mème cas suite a une sortie de hdt de mon épouse qui a enlevé mes deux enfants a l ecole. si kelkun a une solution pour que mon epouse en phase maniaque soit soignee.... je suis preneur...
Elle a manipulé le psy ki l a levé son hdt qui ne m a ni consulté, ni étudié le dossier.... je suis a bout aprés 8 mois de souffrance ou ma femme n est plus elle....., merci par avance....

J'ai fourni 41 pièces au dossier qui démontrer tout se que j' avancer, malheureusement la cour ne s'en est tenue qu'au conséquences et uniquement aux conséquences, sans même tenir compte de tout se que j'avais fourni. C'est sur pour eux c'est plus facile comme sa, je faisais un coupable parfait sans qu'ils se creusent plus la tête, c'est toujours difficile pour un père de mettre en cause une aussi gentille maman!. On privilégie une patiente à la vie d'un enfant.
Quand au psy, elle n'a voulue me fournir aucune attestation car sois disant elle ne pouvais pas, mais elle communiquée beaucoup avec celle de mon ex qui elle a pu en obtenir une bizarrement et je n'ai plus aucunes confiance en elle. Idem pour l' assistante sociale et l'infirmière PMI, normalement sa leur est interdit de fournir quoi que se soit, mais elles me soutiennent, car elle ne sont pas du tout d' accord pour lui laisser la garde de l' enfant, elles ont vu la différence flagrante du comportement de mon fils lorsqu'il était avec moi et celle en présence de sa mère. Merci de ton soutien

Bonsoir,

Ton témoignage est bouleversant. La seule chose que je peux te conseiller actuellement, c'est trouver des moyens de prouver tout ce que tu dis, car malheureusement pour obtenir justice les paroles ne suffisent pas... Il faut que arrives a réunir toutes les preuves que tu peux pour montrer que la mère de ton enfant n'est pas en mesure de l'élever (je sais bien que c'est terrible de le dire comme ça): lettres, textos, prescriptions médicales... Elle a visiblement su bien s'entourer, notamment avec cette infirmière qui l'a soutenue, il faut que tu puisses faire pareil, pour prouver en même temps ta propre capacité à élever ton enfant: si on t'accuse d'être alcoolique, montrer que tu cherches à t'en sortir, etc. Tout ça avant de pouvoir entamer une nouvelle action en justice. As-tu quelqu'un pour t'aider dans toutes ces démarches (avocat, psy...)?