Voilà, j'ai entrepris des démarche de changement (retour aux études et recherche d'emploi). à 48 ans, c'est déjà difficile. Quand on est affligé du trouble panique, d'anxiété généralisé, de stress post-trauma et de variations de l'humeur dû à un trouble bipolaore consécutif aux anti-dépresseurs, c'est pas la joir! :evil:
J'ai aussi tendance à m'isoler (personnalité évitante) lorsque ça va pas.
J'avais trouvé un emploi qui semblait parfait pour moi, mais les doutes et recommandations de prudence émit pas mon Doc. et la confirmation que mon assureur s'apprêtait à me nuire sciemment m'ont jeté à terre. J'ai cessé de dormir, suis devenu hypersomniaque par la suite et j'ai dû appeler l'employeur éventuel pour renoncer à sa proposition. Beau gâchis. Je n'avais pas besoin d'un échec de ce genre! :evil:
Je ne sais plus où j'en suis! Il reste la formation et l'auto-formation, mais je n'ai plus du tout la tête aux livres. Pourtant, il faut que je continue mes démarches, mais la peur et l'insécurité me barrent la route. :cry: Mais j'ai aussi peur de ne pas bouger! 8O Cela m'insécurise beaucoup d'être dans l'attente de quoi que ce soit! 8O J'en veut beaucoup à la compagnie d'assurance, même si je sais qu'ils ne sont pas là pour se faire aimer! :evil: Cela n'excuse pas le mensonge, selon moi! :evil: On n'a jamais à dire quelque chose et écrire le contraire :!: Cela signifie qu'on ment pour en retirer un avantage. :twisted: Et cela est fait par une personne, non une Compagnie! Est-il excusable qu'une personne mente et veuille causer un tort au nom de son emploi :?: :twisted: :evil: 8O :cry: :twisted:
Premier message
Message #20
Pour la discrétion à l'école, je n'ai pas besoin de parler: mon comportement commence à en intriguer quelques-uns. J'ai dû être hospitalisée pendant la période d'examen et j'ai pu les reprendre et cela devrait aller. Par contre, j'ai coulé un cours car je n'arrivait pas à approcher quelqu'un pour un travail d'équipe de 40% de la note.
Il y a aussi les infirmières de psychiatrie qui sona aussi dans mon cours. Elles ne m'importune pas, mais jette des coups d'oeil rapides dans ma direction à tout moments! J'ai de la difficulté à rester stable et j'ai peur qu'on ne m'hospitalise de nouveau, ce qui retarderais mes cours. Et puis, je ne travaille pas comme les autres étudiantes dans des centres, des hopitaux ou en communautaire, alors je dois expliquer au prof que je n'ai pas accès à des clients pour les travaux appliqués. J'ai aussi peur de décompenser dans le cours de psychiatrie que je commence en janvier et qui est obligatoire. Je dois aussi m'assoir au fond près de la porte pour être suffisamment à l'aise pour comprendre le cours (phobies). Je me trouve lourde à porter et ne sais pas combien de temps je vais réussir à tenir.
C'est gentil de t'être souciée de moi! :lol:
Il y a aussi les infirmières de psychiatrie qui sona aussi dans mon cours. Elles ne m'importune pas, mais jette des coups d'oeil rapides dans ma direction à tout moments! J'ai de la difficulté à rester stable et j'ai peur qu'on ne m'hospitalise de nouveau, ce qui retarderais mes cours. Et puis, je ne travaille pas comme les autres étudiantes dans des centres, des hopitaux ou en communautaire, alors je dois expliquer au prof que je n'ai pas accès à des clients pour les travaux appliqués. J'ai aussi peur de décompenser dans le cours de psychiatrie que je commence en janvier et qui est obligatoire. Je dois aussi m'assoir au fond près de la porte pour être suffisamment à l'aise pour comprendre le cours (phobies). Je me trouve lourde à porter et ne sais pas combien de temps je vais réussir à tenir.
C'est gentil de t'être souciée de moi! :lol:
Message #19
Bonjour clairel,
Je viens de lire ta correspondance avec fanfan. Vous avez fait un bon duo fac aux difficultés cet été. En fait, tu te bats bien, tu tiens le choc. J'admire ton courage.
En formation, contrairement à fanfan, je pense que tu ne devrais pas trop parler de tes points faibles, réserve tes confidences à des personnes en qui tu peux vraiment avoir confiance, ça ne regarde pas les profs.
Donne-nous de tes nouvelles...
Message #18
bonjour clairel- je constate que ta fille n'est pas très indulgente- si tu ressents le besoin de parler, fais-le sans regret car ainsi tu "vide ton sac" et crois-moi cela fais beaucoup de bien- tu retires un gros poids de ton coeur sans t'en rendre compte- les personnes qui ne parlent pas, qui gardent leurs chagrins et soucis bien cachés, finissent très souvent dans une grande déprime- que tu n'aies pas le moral en ce moment, je te crois bien- pour ce qui est du travail, il faut d'abord que tu te sentes en pleine forme- sinon, je ne vois pas l'intéret de commencer quelque chose dans la négativité- soigne toi bien, ton moral ira bien quand tu seras mieux physiquement prends-toi en main avec volonté- décide de t'en sortir, et ça ira- il faut le vouloir clairel- la vie serait plus belle pour tout le monde, si chacun y mettait du sien- il y a bien une chose que tu aimes faire, cherche ce que tu préfères, fais-le en y mettant tout ton coeur, en ne pensant à rien d'autre- j'espère avoir de tes nouvelles - il faut à tout prix que tu te soulages en parlant- sans pudeur- tout dire- je suis une mamy, je comprends beaucoup de choses car j'en ai vues de "belles" dans ma vie- courage- je t'embrasse- fanfan-
Message #17
2 cours d'été. ça a été, travaux pratiques supervisés aussi. Je suis maintenat en stage supervisés et ça va, sauf que chraleur-diarrhée et effets secondaires du Lithium m'ont obligé à ralentir et prendre repos une journée. Je recommence demain. Entre temps, j'ai dû expliqué un peu au prof et ça me fâche d.être toujours en train de raconter mon état, J'ai l'impression de me marginaliser ainsi. De plus, certains profs sont les mêmes que ma fille et elle ne veut pas non plus être marginalisée à cause de sa mère. Je n'arrive pas à m'empêcher de parler (trop entière) et après, je regrette. Cela augmente mon anxiété. Je me promène alors à la frontière des illusions et j'ai peur de sombrer. Je ne sais plus très bien ou j'en suis! Je fais de l'exercice et de la relaxation, en espérant passer au travers. Je prend mes médicaments et âche de me changer les idées quand je recommense à penser aux moens d'en finir. On dirait que tout va trop vite et trop lentement en même temps. Je ne sais plus si je dois chercher activement un emploi en juillet-août ou attendre après mes cours de septembre à décembre (temps plein). Dois-je courir au devant ou attendre les évènements? J'en fais trop ou pas assez? :?
Message #16
bonjour- bien sur que rien n'est facile, et que la vie ne change pas en claquant des doigts, mais il suffit d'une étincelle pour repartir à zéro- plein de bonnes choses- je pense bien à toi et te souhaite force et courage- amitiés- fanfan-
Message #15
Les cours et examens, ça va et le petit contrat de travail de trois jours aussi. Ça devrait m,aider à me remettre sur pied. Je sui encore facilement anxieuse et me protège par une sur-organisation. Mais ça devrait rentrer dans l'ordre. Cependant, je suis encore très fragile et à l'affût de l'échec, continuellement. J'espère que tout ira bien! Je m'inquiète encore de plein de choses et ne sais pas encore comment je réagirait à un revers. Je ne tiens pas à le savoir!
Message #14
bien contente d'avoir reçu de tes nouvelles, c'est un début, le reste suivra, j'en suis sure- tu tiens le bon bout- amical bisou- fanfan-
Message #13
Salut Fanfan93! J'ai passé un oral en classe et j'ai une entrevue lundi prochain pour un petit boulot de trois jours. Ça bouge un peu et je commence à socialiser dans les cours. Le médecin m'a ajouté un médicament qui semble m'aider. J'espère que cette fois, je vais continuer sur la bonne voie! Merci de ton appui! :lol:
Message #12
je souhaite de tout mon coeur que dans très peu de temps, tu puisses enfin voir tes désirs se réaliser- je compte sur toi pour me donner de tes nouvelles quand tu peux- toujours à ta disposition pour te lire- amitiés- fanfan-
Message #11
Le médecin me recommande de ne pas me piéger, car il sait qu'alors je m'écroule et qu'il est possible que je ne me rate pas le prochain coup. Alors il essaie de gagner du temps et de me munir des outils nécessaires pour que je me relève. Il me freine donc un peu et me remet en action si je reste trop longtemps sans bouger. Il est pour moi une forme de bâromètre. Je ne crois pas que ce soit un manque de confiance en mes capacités, plustôt comme une réaction à mes propres réactions. En attendant, j'ai eu une réponse négative pour un autre emploi. Je vais me concentrer un peu sur mes études et voir venir pour le reste. La fin de l'été avec le retour aux études des employés d'été me réservera peut-être de plus belles surprises. Et la formation d'été m'aidera à reprendre pied. Merci pour tes encouragements.
Message #10
le principal est que ça bouge un peu- laissez-vous aller et dites vous que si ce n'est pas pour cette fois, il faut à tout prix que ce soit pour un futur proche- ce n'estpas facile de vivre d'espoir, mais il n'y a pas le choix pour le moment- le docteur a t'il peur pour vous, il a l'air de ne pas avoir trop confiance en vos capacités, pourtant je vous sent pleine d'énergie, et de désir de travail- soyez confiante- bon courage- fanfan-
Message #9
L'assurance a finalement donné quelques précisions. J'ai repris contact avec l'employeur, mais ils ont quelqu'un d'autre pour l'été et ne peuvent accepter de bénévolat à cause du syndicat. Un autre employeur éventuel me demande de le rappeler lundi. Cependant le médecin m'a mis des limitation plus grande et il manque encore certaines précisions de l'assureur. Je me retrouve donc en grande anxiété et suis improductice en cette fin de semaine. Des anciens symptôme ressurgissent et je n'aime pas ça. Je m'isole pour me calmer un peu et j'espère reprendre le dessus bientôt. J'ai des cours lundi et j'espère que ça va aller. :roll:
Message #8
Merci fanfan, je n'ai pas encore reçu de réponse. Je vais essayer de reprendre mon autoformation cette semaine. Il faut que je m'active, même si la concentration n'y est pas! Je te donnerai des nouvelles. Merci! :roll:
Message #7
très bien- j'ai l'impression que cela va mieux, et que l'espoir revient, j'espère apprendre de bonnes nouvelles de votre part très bientôt- tout va très bien se passer- bon courage, amitiés- fanfan-
Message #6
Merci Fanfan pour le compliment sur mon âge :oops: . C'est délicat et gentil! Pour le reste, j'ai vu un psychiatre aujourd'hui et ça ma permit de prendre connaissance de mes désirs. Je désire parfaire ma formation un peu, mais aussi retourner mettre les pieds dans le travail. Je vais écrire à ma compagnie, voir s'ils acceptent le bénévolat! On verra bien. À +
Message #5
ce n'est pas de la naiveté mais de la confiance- vous êtes honnête et vous ne pouvez-pas vous imaginer ce qu'il y a comme tromperie autour de nous- on en revient tous un jour- cette histoire d'assurance ne peut-elle pas être revue? - il faut s'accrocher avec eux- et surtout exiger des écrits- les promesses sont une chose- c'est facile de parler et de redonner espoir aux gens- vous y avez cru un moment, je comprends votre chagrin- je souhaite de tout mon coeur que vous retrouviez le travail qui vous convient- mais il faut de la patience et de la persévérence- bon courage- vous savez que les femmes sont encore jeunes à votre âge-
Message #4
J'ai 48 ans, un époux (malade) et deux enfants (17-19). Pour mes parents, mon père est DCD et ma mère est autonome. Mes enfants sont aux études et font se qu'ils peuvent pour aider. Mon conjoint cherche, mais a de lourdes restrictions. J'ai toujours travaillé depuis l'âge de 18 ans. Je n'ai pas besoin d'un salaire faramineux, mais suffisant pour prendre soins des miens. Je suis aussi en démarche de formation/perfectionnement, car mes qualifications sont anciennes dans plusieurs domaines. Il n'y a qu'en santé au travail, hygiène industrielle et soins d'urgence que je suis à jour. Médecine, chirurgie et gérontologie ainsi que le maniement des nouveaux appareils doivent être revus. Je fais de l'autoformation et j'auraid du coaching au niveau CEGEP et une mise à niveau à l'aide d'un certificat au niveau universitaire. Cependant, comme cela fait 14 mois que je n'ai pas travailler, j'aurais aimé travailler à temps partiel en même temps. J'avais trouvé cet emploi (surtout pour période estivale) ou la charge était moins lourde, mais ou j'étais à l'essai 60 jours. L'attitude de la compagnie d'assurance m'a sidérée. Il ne s'agit pas de décisions bétons, mais bien de dire une chose et d'écrire le contraire. C'est là que ça me fait mal. Comment savoir qu'elle partie de leur promesses seront tenues. Même mon conjoint est témoin. Cela m'a déstabilisée. Si ce que je choisit va se répercuter sur eux, je vais choisir en conséquence d'eux. J'aimerais être comme avant et travailler 50-60 heures en faisant tout très bien, je n'y arrive plus! Même étudier demande une concentration que je n'ai plus. Les postes du type de mon ancien emploi sont contre-indiqués ainsi que tous ceux avec un potentiel de stress ou d'agression élevé. Pourtant, c'est là dedand que j'ai de l'expérience. En tous cas, je ne peux pas commencer par ceux là. Je me retrouve donc à chercher des emplois ou j'ai peu d'expérience et c'est ma mise à jour prochaîne qui attire un peu les employeurs. C'est déjà insécurisant les études et la recherche d'emploi, ça devient :twisted: si on ajoute des problêmes financiers.
Je vois le médecin demain, peut-être que d'autres médicaments peuvent m'aider. Mais je reste à croire qu'un représentant doit dire la vérité, autant de vive voix, par téléphone ou par lettre. Maintenant, je doute des intentions de tout le monde. J'étais trop naive, surement!
Je vois le médecin demain, peut-être que d'autres médicaments peuvent m'aider. Mais je reste à croire qu'un représentant doit dire la vérité, autant de vive voix, par téléphone ou par lettre. Maintenant, je doute des intentions de tout le monde. J'étais trop naive, surement!
Message #3
voila le problème avec l'administration- ils ont des lois et on ne peut pas faire du cas par cas- bon et bien voyons autrement- donc il est inutile pour vous de songer à travailler à moins d'un très gros salaire, ce qui est tellement difficile qu'il vaut mieux ne pas y penser- vos parents ne sont pas retraités? ils ne touchent aucune subvention? - vous êtes seule à vous occuper d'eux? pas de famille pour vous aider à supporter ce poids? c'est bien dur pour vous d'avoir à assumer tout cela- avez-vous demandé de l'aide auprès des assistantes sociales?- ce n'est pas de la curiosité, j'essaie seulement de vous aider à vous sortir de cette impasse morale qui mine votre santé-
Message #2
Le problème, c'est qu'aussitôt que j'ai peur de nuire à la sécurité financière de ma famille, je m'écroule. Je suis soutient de famille et bénéficie d'une assurance salaire. J'ai peur qu'il cessent de me couvrir si je retourne travailler et ne réussit pas à gagner suffisamment pour subvenir aux besoins de ma famille. Il est donc primordial pour moi de recevoir l'assurance de mon assureur qu'il vont continuer de me couvrir si je tente un retour. Tout ce que mon médecin m'a suggérer, c'est d'obtenir un écrit de ma compagnie qui spécifie cela. C'est le contraire que j'ai reçu, à savoir qu'ils se désengagent si je tente un retour. Je me sens incapable de courir le risque que ma famille n'ait plus aucun revenu si je n'arrive pas à maintenir un emploi. Je m'en voudrais trop de les faire souffrir davantage. l'assurance couvre environ 60% de mon ancien salaire. Le petit emploi que j'avais trouvé aurait représenté un revenu insuffisant à lui seul. J'aimerais probablement cet emploi, mais ne suis pas sûre de réussir, car je suis encore très fragile: dors peu, anxiété généralisée, trouble de concentration, panique. Si on ajoute le risque de perdre l'assurance salaire, je n'y arrive plus. Je sais qu'il sera difficile de recommencer à 48 ans, et en plus je dois le faire dans des emplois pour lesquels j'ai peu d'expérience. J'ai entrepris de la formation pour me rassurer, mais j'ai de la difficulté à me concentrer. J'ai jusqu'au début de 2007 pour me remettre les pieds sur le marché du travail. Après, les risques de perdre le filet de sécurité que représente l'assurance-salaire augmentent. Il restera l'assurance vie si je ne suis pas arrivé à me débrouiller avant cette date. Je suis incapable de laisser tomber les miens. Je me sens piégée! Si au moins l'assureur pouvais me confirmer par écrit que je peux travailler sans perdre ma sécurité! Mais ce n'est pas le cas à date. Ils me le disent, mais écrivent le contraire. De là ma grande anxiété. :cry: Je n'arrive pas à réfléchir comme avant. J'ai peur! 8O
Message #1
bonjour- quelques mots pour vous redonner courage- peut-être auriez-vous du passer outre les conseils de votre médecin et tenter le travail- bon, je ne vous connais pas, mais si ce travail vous plaisait, vous auriez quand même du essayer, vous vous seriez rendu compte par la suite si le docteur avait raison- je sais qu'à partir d'un certain âge, même jeune, on a du mal à trouver du travail- ne laissez pas passer une seconde chance si elle se présente.....vous verrez bien par vous même si vous êtes capable ou non, d'assumer- amitiés- fanfan93