Je suis un accidenté du travail. En 1986, je me suis fait cassé une jambe dans un appareil hydraulique dans un moulin à papier à Trois-Rivières. J'étais debout et à une hauteur d'environ 3 pieds quand l'accident est survenu.J'ai perdu conscience et je suis tombé à la renverse et me suis retrouvé à semi-couché et l'arrière de la tête appuyée sur des gardes de sécurité.Je n'ai aucune idée du temps que j'ai perdu conscience car je travaillais seul à cet endroit.Quand j'ai repris mes esprits, j'ai réussi à demander de l'aide au téléphone. Jwe fus transporté à l'hôpital pour fracture à la jambe gauche. De 4 à 5 semaines plus tard, j'ai remarqué que j'avais de la difficulté avec ma vision. La vision s'est dégradé graduellement sur 1 1/2 an et a provoqué un décollement de rétine aux 2 yeux. Jamais la C.S.S.T. n'a voulu reconnaître que ma perte de vision était due à ma chute sur la tête. Leur version était à l'effet que c'était héréditaire même si dans ma famille,il n'y a eu aucun cas semblable. Après les opérations subies à Québec,quelques années plus tard, je récupérais mon permis de conduire lequel me permettais de conduire jour et nuit sans restriction. Comment expliquer que l'hérédité retenue par la C.S.S.T. soit disparue mais que la compensation qui m'aurait été due m'ait été volée? Personne n'a jamais pu me l'expliquer et pourtant je me suis retrouver pratiquement dans la même situation que monsieur Jean Godbout. On s'est fait voler notre santé et notre indemnisation par des
'' Yes man ''. Jacques