Un combat difficile
Je vis avec ce problème depuis que je suis petit.
J'ai aujourd'hui 40 ans (marié avec 1 enfant) et je n'ai pas de dossier criminel. (Mais ca vraiment pas passé loin)
En voiture il m'arrive très souvent de crier après les autres voitures.
Je me calme seulement si je vois que l'autre à l'air plus méchant que moi.
À la maison, j'engueulle ma femme de temps en temps... mais surtout si elle s'affirme avec impolitesse. Je risque alors de tout cassé autour de moi, je ne me generais pas pour casser des objects comme une télé ou un truc gros.
La où je suis fier de moi est que je réussi a garder le controle de moi devant la police car je sais que je ne gagnerai pas contre la police.
Aussi, je ne veux pas aller en prison car je sais qu'en prison il y a des individus qui ont le même trouble que moi, mais avec des troubles de comportement ou psychopatique pire que moi...
Lorsque je regarde les émissions de prison, je remarque que ces prisoniers me ressemblent parfois.
Donc je suis satisfait de mon auto-control à l'age de 40 ans. Mais je sais que j'ai encore beaucoup de travail devant moi.
Mes trucs. J'ai réorienté ma carriere, je fais maintenant un métier qui aide les autres et qui nous force à nous connaitre nous.. Je suis un psycho-intervenant.
J'ai quelques moyens pour me calmer... et j'esai de rire de moi et de ne pas chercher a tout prendre au sérieux... j'apprend à me foutre de certain truc.
Finalement je fais attention aux conséquence, comme la prison. Je n'ai pas peur de m'attaquer à plus gros que moi... ce n'Est pas la personne devant moi qui me fait vraiment peur... c'est la prison et les conséquences juridiques..(avocats, dossier criminel, perte de mon emplois) ce genre de truc qui pourrait m'arriver si j'explose de colère.
Donc je pense a tout ca pendant que je suis enragé...et ca me contient.
!! et pas de solutions proposées !!!
il faut tenir le coup pour
TPL+Trouble d'anxiété généralisé
Travail personnel
Après, il ne faut pas prendre comme prétexte qu'on a une maladie diagnostiquable et attendre qu'ON vous soigne, pour ne pas faire un vrai travail sur soi et sur la logique.
Premier gros conseil : dans toutes situations, se demander de l'intérêt et de l'utilité de telle ou telle réaction, ou peur, ou toute autre émotion envahissante. Cela demande de l'effort et de NE SURTOUT PAS être superficiel(le) lors de son analyse.
Le maître-mot : Logique.
Deuxièmement : Maîtrise de l'émotion, surtout les excessives. Le mieux, au lieu de réagir, c'est de parler.
Vous avez le droit de défendre votre individualité face aux autres, mais n'oubliez pas la leur aussi et les conséquences que cela aura forcément. Toutes les conséquences. Ce qui revient au point premier.
On peut être maître de soi, si on n'attend pas, dans le parfait assistanat qui caractérise le monde moderne (et surtout français), que quelqu'un d'autre le fasse à sa place.
De cette manière, j'ai su éviter beaucoup de situations critiques. J'ai très facilement des excès de colères intenses et ça pourrait aller loin, si je n'avais pas fini par comprendre ce que je viens d'exposer.
tpl
Pour ma vie, moi aussi, c'est un vraiiiiiiiiiiiiii combat de tout les jours.
oh que oui!
Borderline
Personnalité Borderline : Je suis une et ce n'est pas facile.
Présentement, je traverse un mauvaise passe assez dépressive car les changements m'affecte beaucoup donc fin d'année scolaire, début de l'été, variation dans les horaires des enfants.
Être constante au travail, je me lève le matin et je suis déjà fatiguée.
La vie est vrrrrrrrrrrrrraiment un combat pour moi.