Bonjour,
J'ai 40ans et je n'ai jamais bu d'alcool avant 25 ans (ça devait faire de moi un homme). Je me bat comme un diable pour m' en sortir. Il y a des hauts et des bas mais n'hesites pas a te faire aider car l'alcool, c'est pire que le cancer.
Parfois on se sent fort et on se dit qu'on a besoin de personne; cependant, face a ce fleau, mobilise un maximum de moyens ( medecin, psy ...ect) sans hesiter à changer (psy) si le courant ne passe pas. Il ne t'en voudra pas.
Ce qu'il faut, c'est deculpabiliser ! (et ce n'est pas facile)
COURAGE
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Bonjour
Moi J,ai grandi dans une famille pour qui l'alcool était de mise pour n'importe quoi
je n'ai jamais consommé d'alcool j'avais trop vécu l'enfer , puis je me suis marié a un alcoolique quel hasard j'ai revécu l'enfer lui disait non je ne le suis pas après ma séparation j'ai élevé mes enfants
Ma fille il y a quelques mois me téléphone et me dis maman je m'en vais en cure de désintoxication je suis alcoolique toxicomane je suis tombée des nus je ne comprenais pas pourquoi elle ne venait plus me voir je pensais que c'était le fais que j'étais maintenant handicapée et que cela la perturbait je savais qu'elle étais en burnt out de son emploi son conjoint lui a annoncé après 14 ans de vie commune et 2 enfants qu'il ne l'aimait plus et c'est a ce moment que tout cela a commencé elle n,avais jamais bu les médicaments l'alcool lui rendait la vie plus rose a ce qu'il parait elle est descendu très vite et c'est une de ses amies qui lui a ouvert les yeux en lui disant tout ce qu'elle risquait de perdre je l'ai appuyée dans sa démarche elle a fais une cure de 21 jours elle a tenu le coup puis a sa sortie elle est venu chercher ses enfants qui était ici et elle leur a expliqué ce qu'elle avais vécue elle est sobre depuis ce temps elle fais des meetings le plus qu'elle peut elle a un conjoint aussi qui a vécue pire qu'elle ils ont du lui donner des piqures au cerveau pour le faire revenir il vont dans des soirées dansante ou il n'y a pas de boisson elle vit un jour a la fois.
Jamais je n'ai juger une personne qui avais ce problème car si ceux qui habitent avec eux vivent l'enfer eux aussi doivent le vivre d'un autre facon le pourquoi une personne est plus apte a devenir alcoolique qu'un autre est un mystère, je pense aussi que l'on doit commencer par s'accepter et s,aimer pour arriver a sortir de cet enfer et surtout de vivre ca un jour a la fois de toute facon qui sais ce qui arrivera demain personne et hier on ne peut plus le ratrapper alors aujourd'hui est ce que le doit vivre prendre le temps aussi tous courent après le temps et le temps qui passe ne peux jamais être rattrapé.
bonne chance
AngeBleue
Moi J,ai grandi dans une famille pour qui l'alcool était de mise pour n'importe quoi
je n'ai jamais consommé d'alcool j'avais trop vécu l'enfer , puis je me suis marié a un alcoolique quel hasard j'ai revécu l'enfer lui disait non je ne le suis pas après ma séparation j'ai élevé mes enfants
Ma fille il y a quelques mois me téléphone et me dis maman je m'en vais en cure de désintoxication je suis alcoolique toxicomane je suis tombée des nus je ne comprenais pas pourquoi elle ne venait plus me voir je pensais que c'était le fais que j'étais maintenant handicapée et que cela la perturbait je savais qu'elle étais en burnt out de son emploi son conjoint lui a annoncé après 14 ans de vie commune et 2 enfants qu'il ne l'aimait plus et c'est a ce moment que tout cela a commencé elle n,avais jamais bu les médicaments l'alcool lui rendait la vie plus rose a ce qu'il parait elle est descendu très vite et c'est une de ses amies qui lui a ouvert les yeux en lui disant tout ce qu'elle risquait de perdre je l'ai appuyée dans sa démarche elle a fais une cure de 21 jours elle a tenu le coup puis a sa sortie elle est venu chercher ses enfants qui était ici et elle leur a expliqué ce qu'elle avais vécue elle est sobre depuis ce temps elle fais des meetings le plus qu'elle peut elle a un conjoint aussi qui a vécue pire qu'elle ils ont du lui donner des piqures au cerveau pour le faire revenir il vont dans des soirées dansante ou il n'y a pas de boisson elle vit un jour a la fois.
Jamais je n'ai juger une personne qui avais ce problème car si ceux qui habitent avec eux vivent l'enfer eux aussi doivent le vivre d'un autre facon le pourquoi une personne est plus apte a devenir alcoolique qu'un autre est un mystère, je pense aussi que l'on doit commencer par s'accepter et s,aimer pour arriver a sortir de cet enfer et surtout de vivre ca un jour a la fois de toute facon qui sais ce qui arrivera demain personne et hier on ne peut plus le ratrapper alors aujourd'hui est ce que le doit vivre prendre le temps aussi tous courent après le temps et le temps qui passe ne peux jamais être rattrapé.
bonne chance
AngeBleue
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Maintenant……. Je sais..
L'alcoolisme je connais, je suis tombé dedans. Je m'en suis sortie avec « La volonté d'en sortir Seul », sans l'aide de mon entourage, sans suivit psy... j'ai 52 ans et depuis environ 20 ans je "picolais". Mon travail commençait a s'en ressentir et mon entourage aussi. Depuis quelques temps je savais que je courrais a ma destruction physique. Comment j'ai fait ? J'ai commencé par retirer toutes les bouteilles du bar et tout ce qui était alcool. J'ai arrêté de fréquenter « Ceux qui se disent pas alcooliques mais qui le sont quand même » (c'est eux qui le pensent) C'est très dure mais j'y suis parvenu. Ma femme m'a quittée 8 mois après. J'aurais certainement repris mais j'ais dit "NON". Maintenant j'ais retrouvé une vie normale. Je n'ais qu'un seul regret: Avoir perdu du temps et "de bons amis".J'ais rencontré des moments de déprime, mais seule la force de volonté m'a permis de sortir de l'enfer alcoolique. C'est inutile de boire et l'on n'est pas plus mal vue quand on rencontre des personnes qui vous demandent : Vous prenez un apéritif ? Et de s’entendre répondre: Non merci, je ne bois pas d'alcool.
Seuls les ignorants vous proposent " Juste une petite goutte ".
La peur du Gendarme….
Je me suis fais arrêter lors d’un control d’alcoolémie…
0,80 grs ! plus qu’il ne faut pour se faire retirer son permis de conduire sans compter les risques encourus, amende, accident et pourquoi pas prison. Je ne devrais pas l’écrire mais, je connaissais les gendarmes et surtout le chef de brigade. Mon véhicule a été emmené a la gendarmerie et moi reconduis a mon domicile bien entouré, comme un « vulgaire malfaiteur ». Rentrer chez soi encadré par la Maréchaussée, n’est pas une fierté, du moins pour moi . J’ais eu droit au sermon mais aussi a la « prévenance » du Chef de Brigade. Tout le monde ne peux avoir cette chance. Je ne reprendrais jamais le dive bouteille, c’est trop difficile d’en émerger… Mais surtout a savoir que: Tout se qui se passe est dans la tête, la volonté et le désir de s’en sortir pour ne pas devenir un déchet humain. Malheureusement cela devient la dernière dérivée de l’alcoolisme, être muté en moins que rien et finir par tout perdre.
Si je peux aider quelqu'un a s’en sortir c’est volontiers que je lui propose mon aide.
Maintenant je peux dire « JE SAIS, JE CONNAIS, J’ETAIS UN POIVROT »
Et c’est aussi vrai que l’on se sent fier quand on est sevré.
Je termine pas cette petite phrase :
« SE BATTRE CONTRE SON CORPS ET OBTENIR LE SUCCES EST LA PLUS BELLE DES BATAILLES QUE L’ON PEUT SE LIVRER ».
L'alcoolisme je connais, je suis tombé dedans. Je m'en suis sortie avec « La volonté d'en sortir Seul », sans l'aide de mon entourage, sans suivit psy... j'ai 52 ans et depuis environ 20 ans je "picolais". Mon travail commençait a s'en ressentir et mon entourage aussi. Depuis quelques temps je savais que je courrais a ma destruction physique. Comment j'ai fait ? J'ai commencé par retirer toutes les bouteilles du bar et tout ce qui était alcool. J'ai arrêté de fréquenter « Ceux qui se disent pas alcooliques mais qui le sont quand même » (c'est eux qui le pensent) C'est très dure mais j'y suis parvenu. Ma femme m'a quittée 8 mois après. J'aurais certainement repris mais j'ais dit "NON". Maintenant j'ais retrouvé une vie normale. Je n'ais qu'un seul regret: Avoir perdu du temps et "de bons amis".J'ais rencontré des moments de déprime, mais seule la force de volonté m'a permis de sortir de l'enfer alcoolique. C'est inutile de boire et l'on n'est pas plus mal vue quand on rencontre des personnes qui vous demandent : Vous prenez un apéritif ? Et de s’entendre répondre: Non merci, je ne bois pas d'alcool.
Seuls les ignorants vous proposent " Juste une petite goutte ".
La peur du Gendarme….
Je me suis fais arrêter lors d’un control d’alcoolémie…
0,80 grs ! plus qu’il ne faut pour se faire retirer son permis de conduire sans compter les risques encourus, amende, accident et pourquoi pas prison. Je ne devrais pas l’écrire mais, je connaissais les gendarmes et surtout le chef de brigade. Mon véhicule a été emmené a la gendarmerie et moi reconduis a mon domicile bien entouré, comme un « vulgaire malfaiteur ». Rentrer chez soi encadré par la Maréchaussée, n’est pas une fierté, du moins pour moi . J’ais eu droit au sermon mais aussi a la « prévenance » du Chef de Brigade. Tout le monde ne peux avoir cette chance. Je ne reprendrais jamais le dive bouteille, c’est trop difficile d’en émerger… Mais surtout a savoir que: Tout se qui se passe est dans la tête, la volonté et le désir de s’en sortir pour ne pas devenir un déchet humain. Malheureusement cela devient la dernière dérivée de l’alcoolisme, être muté en moins que rien et finir par tout perdre.
Si je peux aider quelqu'un a s’en sortir c’est volontiers que je lui propose mon aide.
Maintenant je peux dire « JE SAIS, JE CONNAIS, J’ETAIS UN POIVROT »
Et c’est aussi vrai que l’on se sent fier quand on est sevré.
Je termine pas cette petite phrase :
« SE BATTRE CONTRE SON CORPS ET OBTENIR LE SUCCES EST LA PLUS BELLE DES BATAILLES QUE L’ON PEUT SE LIVRER ».
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
salut.Moi j'ai 19 ans et je suis sorti ,a peut pres depuis 5 mois,d'un sevrage.Depuis que j'ai 16 ans,je buvais tous les soir,et ca n'a fait qu'empirer.Je suis aller voir une psy,mais c'etait parce que j'etais en depression,et elle me disait quema consomation d'alcool n'etait pas normale.Bien sur,j'en avais rien a foutre,jusqu'au jour ou je buvait au petit-dejeuner(a 17h!).Maintenant j'ai arreté,mais ce n'est pas l'envie qui manque!En fait,c'est un putain de cercle vicieux,l'alcool!Tu bois a cause de tes probleme,et ca t'en cré d'autres.Et quand t'arrete,t'es perdu,y faut que tu t'accroche a quelque chose,et le plus simple, c'est la copine"bouteille"!Le pourquoi,moi je pense que c'est fort different d'une personne a l'autre,mais je crois que pour la plupart des gens,c'est plutot de l'auto-destruction,une envie d'en finir sans vouloir mourir(bien qu'a la fin,trop c'est trop......).
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Je suis désolée pour le délai de réponse, j'ai eu beaucoup de travail ces derniers temps. Je suis d'accord pour dire que ça revient toujours, et je pense que c'est l'histoire de notre vie de se battre. C'est une dépendance sans pitié qui frappe quand on ne s'y attend le moins. C'est difficile lorsqu'on est quelqu'un de tellement rationnel : il est supposé y avoir une réponse et une solution à tout ! Ce que je n'aime pas des AA c'est qu'on nous dit " abstiens-toi et tout irs bien " oui c'est vrai que tout va bien quand on est abstinent mais pourquoi ne pas chercher plus loin quelle est la cause réelle du problème ? Si la cause est réglée, traitée, alors le problème en soi disparait non ? Je ne lacherai jamais mon combat pour comprendre à fond ce phénomène de l'alcoolisme je le sais, au grand désespoir des gens qui me cotoient ! Je suis interressée à correspondre, alors je reviendrai bien vite prendre mes messages ! Merci de l'intérêt pour mon article !
Athomas
Athomas
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Je suis alcoolique (57 ans) mais abstinent depuis 5 ans, j'ai arrêté de boire suite à une crise de delirium. j'ai fréquenté les AA mais leur message ne passe plus. Ils associent la sobriété au bonheur automatique.
Moi, j'estime que l"abstinence ne règle que le problème de dépendance à la boisson. Je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me permettre le moindre verre si je ne voulais pas être entraîné à en boire beaucoup d'autres. Je suis comme un diabétique qui se passe de sucre. Je ne me pose plus de question, l'alcool est un poison pour moi, c'est tout, les problèmes de la vie quotidienne sont d'une autre nature, bien sûr on en a moins quand on ne se saoule plus, on a retrouvé la liberté de vivre sans ce besoin impérieux de la bouteille. je suis malade alcoolique, le remede est l'abstinence et j'évite avec intransigeance les occasions, les endroits, les fêtes,etc où on consomme de l'alcool et où le motif de la réunion n'est pas la fête mais bien un alibi pour boire. Je sais que l'alcoolique est deux fois disqualifié, comme le dit le Dr Morenon, s'il boit, c'est un ivrogne et un emmerdeur, s'il ne boit pas, c'est un trouble-fête et un pisse-vinaigre. Tant pis, ma survie est à ce prix
Merci de m'avoir lu.
Moi, j'estime que l"abstinence ne règle que le problème de dépendance à la boisson. Je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me permettre le moindre verre si je ne voulais pas être entraîné à en boire beaucoup d'autres. Je suis comme un diabétique qui se passe de sucre. Je ne me pose plus de question, l'alcool est un poison pour moi, c'est tout, les problèmes de la vie quotidienne sont d'une autre nature, bien sûr on en a moins quand on ne se saoule plus, on a retrouvé la liberté de vivre sans ce besoin impérieux de la bouteille. je suis malade alcoolique, le remede est l'abstinence et j'évite avec intransigeance les occasions, les endroits, les fêtes,etc où on consomme de l'alcool et où le motif de la réunion n'est pas la fête mais bien un alibi pour boire. Je sais que l'alcoolique est deux fois disqualifié, comme le dit le Dr Morenon, s'il boit, c'est un ivrogne et un emmerdeur, s'il ne boit pas, c'est un trouble-fête et un pisse-vinaigre. Tant pis, ma survie est à ce prix
Merci de m'avoir lu.
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
SALUT,MOI AUSSI JE SUIS COMME TOI MES AVEC LE TEMPS SA PASSE MAIS LA PEUR REVIEN NOUS VOIR ET LA PEINE,MOI AUSSI JE CHERCHE A COMPRENDRECELA ET JAVOUE QUE JE SUI TRES FRAGILE QUAND JE TROUVE UNE REPONSE ,CES UN PROBLEME QUI NOUS FAIT ENCORE PLUS GRANDIR ,PARCE QUE NOTRE CHEMINEMENT EST FORT TRES DOULOUREUX PSYCOLOGIQUEMENT.EN TOUT CAS PREND LE TEMPS ET ECRIT MOI ON POURRAS SAIDER SI TU VEUX
BYE ZACH1
BYE ZACH1
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Beaucoup de gens sont dans la même situation que toi. ils se disent que c'est assez, pu jamais, pourquoi suis-je pas comme les autres, l'alcool est pas bon, ect, ect... . Selon ma perception, nous sommes responsable à part entière de notre comportement et de nos pensées. Les gens qui "rechute" après quelques temps d'abstinence sont tout simplement responsable de leur choix. Il sont incapable de désassocier le sens de BESOIN DE PLAISIR avec alcool (ou drogue). l'être humain a besoin de plaisir, toutefois, notre socièté associe le plaisir avec alcool... .
Alors la question est : Est-ce que je veut être comme tout le monde pour être accepter socialement où est-ce que je veuts être moi-même(avec mes forces et faiblesses) pour fonctionner adéquatement dans un société qui m'apparaît avoir des valeurs pûrement illusoires???.
Quel rang social que je choisis???
Alors la question est : Est-ce que je veut être comme tout le monde pour être accepter socialement où est-ce que je veuts être moi-même(avec mes forces et faiblesses) pour fonctionner adéquatement dans un société qui m'apparaît avoir des valeurs pûrement illusoires???.
Quel rang social que je choisis???
Re: Alcoolisme : Incompréhensible !
Moi j'ai 48 ans et je le suis aussi. J'ai été sobre 23 ans et au mois de décembre 2002 je me suis séparer et j'ai recommencer à boire et aussi fûmer que j'avais arrêter pendant 21 ans, je pensais bien que je pourrais boire socialement sans me mettre ivre mais j'aime l'effet de l'alcool (du moins je crois) et quand je commence je n'arrête pas. Je n'ai pas le contrôle alors l'alcool n'est pas pour moi et c'est tout. J'ai arrêter depuis 3 jours entier en ce moment et je suis fier de moi, je me revoyais encore pris avec ce problème et je n'osais pas ne pas en prendre. C'est fou comme on pense des fois mais j'ai vécu sans boissons et aussi sans fûmer pendant toutes ces années sans en souffrir et maintenant que j'ai fais ces 3 jours je suis certain que je n'y retoucherai pas. Je sais que ce n'est pas pour moi mais il y a bien d'autre choses dans la vie... La semaine dernière je suis tomber par hazar sur un livre "Aime-toi,La vie t'aimera" après l'avoir commencer j'ai repris le goût de m'en sortir car je ne me voyais pas de futur, seulement mes problèmes. Je termine de pleurer sur mon sort et j'accepte, comme j'ai déjà entendu il n'y a pas de problèmes mais seulement des solutions. Bonne chance!
