Une étude américaine, publiée dans la revue Science en octobre dernier, avait suscité l'espoir d'un éventuel traitement antiviral du syndrome, en montrant la présence du virus chez 67% des personnes atteintes du syndrome comparativement à 3,7% des personnes en santé. Des anticorps étaient présents chez 95% des personnes atteintes du syndrome.
Ils soulignent que le syndrome de fatigue chronique comprend probablement un large éventail de maladies et qu'il est toujours possible que certaines d'entre elles soient associées à une infection par le virus XMRV.
Les conclusions de cette études vont dans le même sens que des travaux de l'Imperial College London publiés en janvier dernier qui n'avaient pas trouvé de lien entre l'infection au XMRV et le SFC.
Psychomédia avec source:
Science Daily
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