Il n’existe actuellement aucun traitement curatif de la maladie, ni même permettant de ralentir l'évolution mais seulement des médicaments qui limitent les symptômes.
Les chercheurs espèrent qu'augmenter la production de FKBP52 empêcherait les effets de la protéine Tau. Mais les travaux pour le développement de médicaments "anti-tau" nécessite un financement. Pour poursuivre ses recherches, le professeur Baulieu a expliqué, en conférence de presse, avoir besoin d'au moins cinq millions d'euros sur trois ans et en a appelé aux financements privés.
Âgé de 83 ans, endocrinologue et biochimiste, le professeur Baulieu est mondialement connu pour ses travaux sur la "pilule du lendemain" et la DHEA, dite hormone de jouvence, indique le Nouvel Observateur (Reuters).
Psychomédia avec sources: Le JDD.fr, Le Nouvel Observateur (Reuteurs).
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