Une fusillade est survenue au Collège Dawson à Montréal aujourd'hui. Plusieurs personnes ont été blessées. L'évacuation de quelques milliers d'étudiants, dans des conditions non encore sécurisées, s'est faite dans la panique et les mouvements de foule. Plusieurs parmi eux ont été témoins directement ou indirectement de la violence.
On estime qu'environ 1/3 des gens directement exposés à un événement traumatique peuvent développer un
stress post-traumatique. Qui est le plus à risque ?
Selon une revue des recherches des quarante dernières années portant sur des événements traumatiques, le principal facteur de risque pour le développement d'un syndrome de stress post-traumatique est le degré d'exposition à l'événement.
D'autres facteurs de risque ressortent des résultats de recherches. Les gens ayant des troubles psychiatriques pré-existants ou ayant déjà vécu des événements traumatiques ou des stress importants sont particulièrement vulnérables. Les femmes présentent de façon consistante une plus grande prévalence de stress post-traumatique après un désastre que les hommes
Que faire pour réduire les chances de développer un stress-postraumatique? Voyez: